Mgr Francesco Follo, 17 déc. 2018 © Mgr Francesco Follo

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Lectures de dimanche : rencontrer l’extraordinaire du Christ dans notre vie ordinaire

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Nous devenons la parole que nous écoutons

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Jean le Baptiste indiqua Jésus comme Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde : c’est le thème de la méditation de Mgr Francesco Follo sur les lectures du dimanche 19 janvier 2020, IIème Dimanche du Temps Ordinaire (Année A – Is 49, 3. 5-6; Ps 39; 1 Cor 1, 1-3; Jn 1, 29-34).

L’observateur permanent du Saint-Siège à l’Unesco à Paris souligne aussi que « nous devenons la parole que nous écoutons ».

  • Rencontrer l’extraordinaire du Christ dans notre vie ordinaire.

Avec ce dimanche commence le Temps ordinaire de l’année liturgique, pendant lequel l’église ne célèbre pas un mystère particulier de la vie du Seigneur, mais le mystère du Christ dans sa totalité.

En ce Temps ordinaire, la liturgie nous invite à suivre quotidiennement le Rédempteur et elle le fait en commençant du baptême de Jésus dans le Jourdain. En cette Année A, elle nous propose la narration de l’apôtre Jean qui nous dit que le peuple venait de toute la Judée allait nombreux chez Jean le Baptiste pour l’écouter et se faire baptiser par lui dans le fleuve Jourdain, en avouant ses péchés. La renommée de ce « plus qu’un prophète » baptiste avait tellement grandi que beaucoup de monde se demandait s’il était lui le Messie. Mais lui répondait fermement : « Je ne suis pas le Christ » (Jn 1, 20). De toutes façons, il reste le premier « témoin » de Jésus, en ayant reçu l’indication par le Ciel : « L’homme sur lequel tu verras descendre et demeurer l’Esprit, c’est celui qui baptise dans l’Esprit Saint » (Jn 1, 33). Cela arriva exactement quand Jésus reçut le baptême et sortit de l’eau : Jean vit descendre sur Lui l’Esprit comme une colombe. C’est à ce moment-là que Jean connut la pleine réalité de Jésus de Nazareth, l’indiqua comme Fils de Dieu, rédempteur de l’homme, et dit : « Voici l’Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde » (Jn 1, 29).

La lecture de l’évangile d’aujourd’hui commence par ce verset et nous offre le témoignage du Baptiste qui indique avec son doigt et dit avec sa bouche qui est le Christ : l’Agneau qui porte sur lui, qui emporte le mal du monde, et libère l’homme.

Le témoignage commence toujours par un « dire », par un « dire » qui est le point d’arrivée d’une expérience. Au « dire » correspond l’« entendre ». Si un mot est dit mais n’est pas entendu, il n’existe pas. La parole est comme une semence, l’oreille est comme les entrailles maternelles (l’utérus) qui l’accueille, comme la terre accueille le petit grain. Le disciple est celui qui écoute la parole. Qu’est-ce que ce passe quand nous écoutons ? Nous comprendrons la parole, donc la parole donne des informations à notre intelligence.  Au cas où la chose soit vraie, elle nous intéresse, elle arrive à notre cœur. Donc, la parole n’informe pas seulement l’intelligence, mais aussi le cœur, l’amour et la volonté et, en conséquence, nous passons à l’action : la parole « forme » notre action.

De l’écoute tout vient pour l’homme : son intelligence, sa volonté, son action. Donc, la parole nous détermine complétement, nous devenons la parole que nous écoutons. En tant que disciples nous écoutons cette parole. « Ecouter » est le deuxième terme fondamental, sans l’écoute il n’y a rien.

 

2) L’Agneau de Dieu.

Pour une compréhension plus approfondie de ces évènements, la liturgie d’aujourd’hui nous propose de les examiner à la lumière de la divinité de Jésus dont l’incarnation rend la vie « sanctuaire de la divinité ». Ce n’est pas seulement sa vie qui est divine. C’est aussi notre vie quotidienne, notre travail, nos joies et tendresses qui deviennent le domaine de la sainteté divine, par le salut. Ce salut nous est apporté par Jésus qui enlève en portant sur Lui les péchés du monde,

En Jésus, Agneau de Dieu[1], la sainteté se révèle comme une « promotion »  importante de la vie et de l’homme.  Et l’homme, pardonné, est transfiguré, est rendu fils de Dieu et artisans de lumière par ses mains.

Lors d’une ordination, l’évêque consacre les mains du nouveau le prêtre. C’est magnifique ! Mais, dans le Christ, toutes les mains sont saintes, toutes les mains sont consacrées, toutes les mains peuvent devenir mains de lumière.

Dans le Christ, tous les corps sont appelés à devenir Temple du Saint Esprit et Membres de Jésus Christ. Le Temple que nous sommes est beaucoup plus beau que toute église faite de pierre et Dieu est en nous plus que dans une église parce qu’il est dans cette église pour être en nous.

Dans l’Evangile, tous les visages sont appelés irradier le Visage du Christ. L’invitation qu’Il nous fait, lorsqu’Il est présenté comme Agneau de Dieu n’est pas un appel à entrer dans un domaine interdit, mais c’est une proposition à nous recueillir dans l’unité : il nous invite à table où on mange « très simplement » du pain et du vin que le sacrement a rendu corps et sang de l’Agneau de Dieu. C’est pour cela que nous devenons Celui que nous mangeons et auquel nous sommes unis

 

3) L’Agneau de Dieu qui pardonne.

Dans le récit du passage de l’Evangile de ce dimanche (Jn 1,29-34), nous trouvons une profession de foi dans le Christ qui s’articule sur trois affirmations :

– « Voici l’Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde » (1,29), l’Agneau qui conduit à la source de la vie, du bonheur et essuie chaque larme de nos yeux (cf. Ap 7,14-17);

– « J’ai contemplé l’Esprit descendre comme une colombe et s’arrêter sur lui » (1,32);

– c’est « le Fils de Dieu » (1,34).

La déclaration sur laquelle je m’arrête en particulier est la première : « Voici l’Agneau de Dieu qui enlève les péchés du monde », péchés qu’il met sur lui. L’Immaculé, celui qui enlève le péché du monde avec ses souffrances et avec sa mort, révèle Son Cœur à ce monde qui veut tout mesurer, même Dieu et son don.  Il nous est demandé, aujourd’hui et à chaque messe, d’accueillir cette affirmation comme elle est : une indication du Don eucharistique que Dieu nous fait, et d’y répondre comme la liturgie nous le demande: « Seigneur, je ne suis pas digne de participer te recevoir, mais dis seulement une parole et je serai guéri ». En élevant l’hostie, le prêtre montre l’Agneau que nous devons adorer en toute Son divine humilité et manger en communiant à Son infinie charité.

Pour bien comprendre le récit de l’Evangile d’aujourd’hui, retournons à la scène qu’il décrit.           Après avoir passé 40 jours dans le désert où Il s’était rendu après le baptême de Jean, Jésus retourne chez le Baptiste. Celui-ci a du être perturbé en voyant le Fils de Dieu retourner auprès de lui. De plus, il avait l’aspect d’un homme éprouvé par le jeûne et par les tentations subies dans le désert. Jean sait que l’homme qui retourne auprès de lui est le Fils de Dieu, l’Aimé. Il voit le Messie, appartenant à la tribu de Judas. Mais il ne perçoit pas en Lui le Lion de Judas, il voit l’Agneau de Dieu, la victime qui s’offrait librement en sacrifice pour que le monde soit racheté.

Parmi la multitude sombre des pécheurs, Jean reconnut la splendeur innocente de l’Homme-Dieu, qui avait laissé la gloire du ciel pour aller à l’abattoir de la terre ; et il le montra aux disciples comme personne à suivre à sa place.

Les disciples ne comprirent pas ; ils n’étaient pas capables de comprendre ce que voulait dire leur maître Jean qui indiquait le Maître Jésus comme l’Agneau, une image que les Hébreux ne connaissaient pas clairement pour indiquer leur libérateur tant attendu. Cependant, nous, nous savons (du moins nous pouvons savoir) que, dans le Nouveau Testament, le mot « Agneau » revient quatre fois[2] et c’est toujours en référence à Jésus. Par ailleurs, depuis le début, l’Eglise regarde Jésus comme Jésus se voyait lui-même, c’est-à-dire comme le serviteur de Dieu – innocent, patient et souffrant – comme un agneau que l’on conduit à l’abattoir. Ensuite, en araméen « talja » signifie aussi bien « agneau » que « serviteur ». Enfin, Jean Baptiste compare Jésus à l’Agneau pascal. Nous pouvons bien comprendre cette prophétie parce que la crucifixion du Christ a eu lieu en même temps que la Pâques juive et à la même heure où des agneaux étaient immolés pour le sacrifice pascal, dans le Temple, (cf. Joseph Ratzinger – Benoit XVI, Jésus de Nazareth, Paris 2007, pp 446).

L’Evangile d’aujourd’hui nous renvoie à la mission de tendresse de Jésus qui demande la collaboration de notre amour. Cet Evangile met nos pas dans les pas de Jésus et nous demande de l’accompagner jusqu’à la fin, de réaliser ce mystérieux plan dans lequel le triomphe de Dieu doit s’accomplir dans « défaite » de la croix afin que nous sachions qu’il ne nous s’agit pas d’attendre, les bras croisés, la réalisation d’un destin qui se ne réalise pas sans nous.

Au contraire, nous sommes impliqués dans le travail pour construire avec Dieu un monde fondé sur l’amour, un monde dont la dimension créatrice est une dimension de générosité et de don de soi, avec le Christ, pour le Christ et dans le Christ.

L’Eglise conserve toujours dans son cœur le cœur de l’époux et, dans le cœur de l’Eglise, il est toujours possible de vivre la sainteté et devenir la belle épouse de l’Agneau immolé.

Les vierges consacrées en sont un exemple. Elles ont répondu « oui » au Christ époux et grâce à ce « oui », leur présence dans l’Eglise et dans le monde est un Evangile vivant, un témoignage de Dieu, qu’elles offrent, révèlent et communiquent sans avoir le besoin de parler.

Leur vie est une vie de communion d’amour avec le Christ, qui appelle, pardonne et demeure avec nous en conformant nous à Lui : « Dans la vie consacrée, il ne s’agit donc pas seulement de suivre le Christ de tout son cœur, en l’aimant « plus que son père ou que sa mère, plus que son fils ou que sa fille » (cf. Mt 10, 37), comme il est demandé à chaque disciple, mais de vivre et d’exprimer cela par une adhésion qui est « configuration » de toute l’existence au Christ, dans une orientation radicale qui anticipe la perfection eschatologique » ( Jean-Paul II, Vita consecrata, n. 16).

 

Lecture Patristique

Saint Grégoire de Nazianze (330-390),

Discours théologique 4

Suivre l’Agneau de Dieu

« Jésus est Fils de l’homme, à cause d’Adam et à cause de la Vierge, dont il descend… Il est Christ, l’Oint, le Messie, à cause de sa divinité ; cette divinité est l’onction de son humanité…, présence totale de Celui qui le consacre ainsi… Il est la Voie, parce qu’il nous conduit lui-même. Il est la Porte, parce qu’il nous introduit au Royaume. Il est le Berger, parce qu’il guide son troupeau vers le pâturage et lui fait boire une eau rafraîchissante ; il lui montre la route à suivre et le défend contre les bêtes sauvages ; il ramène la brebis errante, retrouve la brebis perdue, panse la brebis blessée, garde les brebis qui sont en bonne santé et, grâce aux paroles que lui inspire son savoir de pasteur, il les rassemble dans le bercail d’en haut.
Il est aussi la Brebis, parce qu’il est victime. Il est l’Agneau, parce qu’il est sans défaut. Il est Grand prêtre, parce qu’il offre le sacrifice. Il est Prêtre selon Melchisédech, parce qu’il est sans mère dans le ciel, sans père ici-bas, sans généalogie là-haut car, dit l’Ecriture, « qui racontera sa génération ? » Il est aussi Melchisédech, parce qu’il est Roi de Salem, Roi de la paix, Roi de la justice… Voilà les noms du Fils, Jésus Christ, « hier, aujourd’hui, toujours le même », corporellement et spirituellement, « et il le sera à jamais ». Amen. »

(références bibliques : Mt 24,27 ; Mt 1,16 ; Jn 14,6 ; Jn 10,9 ; Jn 11 ; Ps 22 ; Is 53,7 ; Jn 1,29 ; He 6,20 ; He 6,20 ; He 7,3; Is 53,8 ; He 7,2 ; He 13,8)

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[1] La caractérisation de Jésus comme “l’Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde” est surprenante. Cette phrase peut également se traduire ainsi : “qui porte sur lui le péché du monde”. Le mot grec signifie « éloigner, ôter par ». Ce qui signifie que pour faire ce geste, la charge doit être mise sur le dos.

Pour enlever le péché du monde, l’Agneau prend sur lui les conséquences du péché expié à notre place, et enlève ainsi tout effet du péché, ou mieux il enlève le péché, le mettant de côté. C’est pourquoi l’expression réunit en elle-même les deux choses : la prise en charge du poids et son élimination. Cette exégèse illustre bien l’ambivalence de l’expression grecque ho airon ten hamartian tou kosmou (lat. qui tollit peccatum mundi., Ce verbe grec airo, analogue au latin tollere signifie et emmener, et prendre sur soi, charger sur le dos (alors que malheureusement cette ambivalence terminologique ne se rencontre pas dans la traduction française enlever). L’érudition philologique n’est pas une fin en soi. En fait, avec cette expression, l’Evangile fait référence tant au quatrième chant du Serviteur du Seigneur (Is 53,1-12), qu’à l’agneau expiateur du Lévitique 14, 12-13, et qu’enfin à l’agneau pascal (Ex 12, 1-14; Jn 19,36) qui devient le symbole de la rédemption.

[2] Jn 1,29.36; At 8,32; 1Pt 1,19.

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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