Toute violence contre une femme est « un crime qui détruit l’harmonie que Dieu a voulu donner au monde : l’harmonie, la poésie et la beauté », déclare le pape François.
Au terme de son long discours au Corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège, qu’il a reçu ce 9 janvier 2020 pour les voeux du Nouvel An, le pape a évoqué le 70e anniversaire de la proclamation de l’Assomption de la Vierge Marie au Ciel. Il a alors adressé « une pensée particulière à toutes les femmes », vingt-cinq ans après la 4ème Conférence mondiale des Nations Unies sur la femme (Pékin, 1995).
Le pape a souhaité que, « dans le monde entier, le rôle précieux des femmes dans la société soit toujours plus reconnu et que cesse toute forme d’injustice, d’inégalités et de violence à leur égard ». « Toute violence faite à la femme est une profanation de Dieu », a-t-il insisté.
Vœux au Corps diplomatique près le Saint-Siège, 9 janvier 2020 © Vatican Media
Toute violence contre une femme est un crime qui détruit l’harmonie, la poésie et la beauté
Le pape devant le Corps diplomatique près le Saint-Siège