Sous ce titre : « Un tiers des femmes concernées, un évêque ose en parler », l’hebdomadaire France Catholique publie une réflexion (Natalia Bottineau) sur le « désenlisement » du synode des évêques sur la famille.
A partir de l’intervention de Mgr Paul-André Durocher au synode, et du § 29 de l’Instrument de travail, l’article propose une réflexion sur le silence qui entoure habituellement la violence faite aux femmes à l’intérieur des murs domestiques et l’urgence d’affronter la question pour que la famille soit vraiment une « bonne nouvelle » pour tous les enfants.
Une violence qui a des conséquences mortifères – meurtres, avortements… –, idéologiques – la théorie du genre – et de « désagrégation » de la famille – séparations, divorces…
En d’autres termes, pour l’auteur, la société se trompe de remède, alors, que propose le synode ? Pour exaucer ce vœu de saint Jean-Paul II : « Je demande à tous de s’engager dans une action pastorale spécifique plus vigoureuse et plus incisive afin que les offenses à la dignité de la femme soient définitivement éliminées. »
C’est plus qu’un billet d’humeur.