Le vrai Pasteur qui donne la vie

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IVe dimanche de Pâques – Année B – 26 avril 2015

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Lectures: Ac 4,8-12; Ps 117; 1 Jn 3,1-2; Jn 10,11-18

            1) Le Christ, Pasteur bon et un Homme nouveau

            En chaque personne humaine il y a le désir de vaincre la mort et de vivre pour toujours. Le Christ ressuscité se manifeste comme réponse vraie et concrète à ce désir et le récit de l’évangile (Jn 10, 11 – 18) d’aujourd’hui nous apprend que, si nous voulons la vie, nous devons suivre le Bon Pasteur qui est la Vie et qui la donne incessamment.

            En fait, dans ce récit, Jésus lui-même explique non seulement   la signification de l’image du Bon Pasteur, en décrivant l’identité (vv 11-13) et la connaissance qui existe entre le pasteur et son troupeau (vv 13-16), mais surtout en soulignant le geste le plus beau : le don de la vie. Par  cinq fois (Jn 10, 11.15.17.18),  Jésus révèle être le Pasteur par excellence à travers le don de sa vie qui est complètement offerte.

            Par  l’expression « donner la vie », Jésus ne parle pas uniquement de sa mort sur la croix pour nous ; en effet, il parle aussi du fait que les brebis sont abandonnées et le loup les enlève, tue et gagne si le Pasteur meurt.

L’expression « donner la vie » s’entend avant tout dans le sens du cep de vigne qui donne la sève aux sarments ; dans le sens de la mère qui donne la vie à l’enfant ; dans le sens l’eau qui donne la vie à la terre aride. Le Christ aime ce don de vie pour nous  à un point tel  qu’il est prêt à sacrifier sa propre vie sur la croix.

            Donc, quand le Christ affirme : « J’offre la vie », cela veut dire : « Je vous donne ma façon d’être et d’aimer ». Donc, il nous propose un modèle d’ « homme nouveau » qui n’est pas le fruit d’une abstraction : c’est Lui-même, le Fils qui se sait aimé du Père, qui aime ses frères et leur propose cette liberté d’aimer et de servir. Les autres – dit Jésus – sont simplement des voleurs et brigands. Ils prennent la vie des brebis, ils ne la leur donnent  pas.

            Le bon pasteur est le pasteur qui aime. L’homme bon est l’homme qui aime, en imitant le bon pasteur.

            En  se définissant lui-même comme « bon pasteur » et en demandant de le suivre, Jésus indique un modèle d’homme nouveau qui, d’une part, est désarmant  et désarmé. D’autre part, il est plein de courage parce qu’il affronte les loups et la croix. Jésus est le beau pasteur (en grec « kalòs » signifie beau et la version française de la bible traduit ce mot par « bon ») parce que sa beauté de pasteur est le charme de sa bonté et de son courage.

            Avec quelle beauté est-ce que le Christ nous attire ? Comment est-ce que le beau  pasteur nous charme? Avec le don de sa vie. En effet dans le récit de l’évangile d’aujourd’hui  le verbe: je « donne »  ma vie est répété cinq fois.

            Jésus nous fait cette proposition : « Ma vie  en échange de la tienne ». Le Dieu incarné est attrayant et saint Augustin explique : « Si le poète a pu dire (il cite Virgile, Egl. 2) : « Chacun est attiré par son plaisir, non par la nécessité mais par le plaisir, non par la contrainte mais par le ravissement »,  à plus forte raison nous pouvons dire que, s’il se sent attiré par le Christ, l’homme trouve son délice dans la vérité, dans la béatitude, dans la justice, dans la vie éternelle, en somme en tout ce qui est « le Christ ». Saint-Augustin écrivait encore en se référant à la beauté du Christ : «Pourquoi y avait-il de la beauté même sur la croix? Parce que la folie de Dieu est plus sage que les hommes et que la faiblesse de Dieu est plus forte que les hommes (1 Co 1,23-25) … Dieu est beau, Verbe auprès de Dieu; beau dans le sein de la Vierge Marie où il ne perdit pas la divinité et se fit homme ; le Verbe qui est nait enfant est beau … Donc, Il est beau au ciel, beau sur la terre; beau dans le sein, beau dans les bras des parents ; beau dans les miracles, beau dans les supplices, beau en invitant la vie et beau en la reprenant, beau en ne s’occupant pas de la mort, beau en abandonnant la vie et en la reprenant; beau sur la croix, beau dans le sépulcre, beau dans le ciel …  La justice est suprême et vraie beauté; tu ne le verras pas beau, si tu le considères injuste; si il est juste partout, il est beau partout. Qu’il vienne à nous pour se faire contempler par les yeux de l’esprit. »

         2) La vocation est un don à partager.

            Jésus-Christ a reçu du Père ce commandement de « donner », ce qui rend la vie belle et heureuse : le don rend la vie heureuse parce que : « Il y a plus de joie à « donner » qu’à « recevoir » et, parce qu’on n’est jamais seul avec le don si l’on vit une expérience  joyeuse du partage et de la communion

            Mais le bon Pasteur, qui est beau et courageux, n’a pas uniquement un ordre à exécuter, il a un mobile pour le faire : l’amour pour le Père et pour nous. Cette charité est ce qui le fait « bouger ». Chaque être humain est important  pour Lui, et c’est la raison pour laquelle il donne sa vie pour nous tous et toutes. Les Apôtres crient sur le bateau en pleine tempête au Seigneur Jésus : « Seigneur, il ne t’importe pas si nous  mourrons? »  Le Seigneur répond en apaisant  la mer et en grondant le vent. Comme pour dire : « Oui, vous m’importez, votre vie m’importe, vous êtes importants pour moi ». Dans un certain sens, il répète à chacun de nous : « Les moineaux du ciel m’importent, mais toi, tu vaux plus que les moineaux. Les lys du champ m’importent, mais toi, tu es  beaucoup plus. J’ai compté tes cheveux, et je connais toute la peur que tu portes dans le cœur ». C’est une certitude : j’importe à Dieu. Nous nous tenons à cela, même lorsque nous ne comprenons pas, en souffrant de l’absence de Dieu, et en étant dérangés par son silence.

            Voilà le commandement du Père : la vie est un Don. Pour être bien, l’homme doit donner.  Car Dieu fait ainsi. Le pasteur ne peut être bien même siune seule de ses brebis n’est pas bien.

            La vocation est de vivre le Christ et de devenir comme Lui : un Don. Pour sauver les hommes et pour leur enseigner le vrai amour, le Fils de Dieu s’est « abaissé » jusqu’à eux, et, avec cet « abaissement » , il a offert l’agape, c’est à dire l’amour  « qui donne », oblatif,  et non pas possessif.

            C’est beau de dire oui à Dieu qui appelle. Il est vrai qu’il faut renoncer à soi-même et tout lui donner, mais en échange l’on en reçoit la vie éternelle et cent fois tout ce que nous avons laissé pour suivre le Seigneur.

            Comme l’a récemment rappelé  le Pape François, la vocation est un exode de soi-même vers Dieu en compagnie de nos frères et soeurs en l’humanité. A la source de chaque  vocation chrétienne -explique le Pape- il y a la sortie « de la commodité et rigidité du propre moi pour centrer notre vie en Jésus Christ ». Une sortie qui ne représente pas « un mépris de sa propre vie, de son sentir et de son humanité », bien au contraire. La vocation   – explique le Pape François en citant l’encyclique « Deus Caritas est »  de Benoît XVI –  est un appel d’amour qui attire et va au-delà de soi-même, déclenchant « un exode permanent du moi replié sur soi-même vers la libération du don de soi ».

            Avec l’offrande totale d’elles-mêmes, les Vierges consacrées dans le monde s’abandonnent totalement au coeur du Christ, leur époux, et témoigne
nt de cet amour oblatif.

            Elles montrent, d’une manière particulière, que le don reçu devient un don offert pour la louange de Dieu et le salut du monde. Comme le rappelle le rituel de consécration des vierges : « La virginité consacrée manifeste l’amour virginal du Christ pour l’Eglise son épouse et la fécondité surnaturelle de cette union spirituelle ». Parce qu’une vie non donnée est aride, une vie donnée est féconde de bien. Enfin, il est important de rappeler que cette vie donnée dans la spiritualité des vierges consacrées de l’Ordo Virginum  a des traits caractéristiques spécifiques. Ces traits sont reliés à trois images que la tradition a utilisé pour délimiter la figure spirituelle des Vierges consacrées et que le Rite de consécration se définit sur le modèle de l’Eglise  épouse, soeur et mère.

            La figure de l’épouse représente l’expérience  de l’union intime et indissoluble avec le Christ. La figure de la soeur recommande l’engagement du partage avec lequel les vierges consacrées se représentent dans le contexte social et ecclésiastique. La figure de la mère fait référence à la fécondité de la consécration qui voit en Marie, une icône splendide et éclairante.

Lecture Patristique:

Basile de Séleucie (+ 459), Discours 26, 2, PG 85, 306-307

Le Pasteur se fait égorger pour son troupeau, comme s’il était une brebis. Il n’a pas refusé la mort, il n’a pas anéanti ses bourreaux comme il en avait le pouvoir, car sa Passion ne lui a pas été imposée. C’est en toute liberté qu’il a donné sa vie pour ses brebis. J’ai le pouvoir de donner ma vie, et le pouvoir de la reprendre (Jn 10,18). Par sa passion il expiait nos passions mauvaises; par sa mort il guérissait notre mort; par son tombeau il anéantit le tombeau; par les clous de sa croix il ruinait jusqu’aux fondements de l’enfer.

La mort a gardé son empire jusqu’à la mort du Christ. Les tombeaux sont restés écrasants, notre prison indestructible, jusqu’à ce que le Pasteur y descende pour annoncer aux brebis qui s’y trouvaient enfermées la joyeuse nouvelle de leur libération. Son apparition au milieu d’elles leur donnait la garantie de leur appel à une vie nouvelle. Le Bon Pasteur donne sa vie pour ses brebis, et c’est ainsi qu’il cherche à s’attirer leur amour. Or, on aime le Christ si l’on écoute attentivement sa voix.

Le pasteur sait bien séparer les chèvres des brebis. Selon l’Évangéliste, toutes les nations seront rassemblées devant lui; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres: il placera les brebis à sa droite, et les chèvres à sa gauche. Alors le Roi dira à ceux, qui seront à sa droite: Venez, les bénis de mon Père, recevez le Royaume préparé pour vous depuis la création du monde (Mt 25,32-34).

Qu’avaient-ils donc fait pour mériter cette invitation? J’avais faim, et vous m’avez donné à manger; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli (Mt 25,35). Ce que vous avez donné aux miens, c’est moi qui vous le revaudrai. C’est par eux que moi je suis nu, étranger, errant et pauvre. C’est à eux que l’on donne, c’est moi qui suis reconnaissant. C’est moi qui suis dans la peine quand ils vous supplient.

Gagne le juge à ta cause par tes présents, avant que vienne le procès. Donne-lui une raison d’être indulgent, donne-lui matière à pardonner. Ne nous préparons pas cette sentence sévère: Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel, préparé pour le démon et ses anges. Quels sont donc ces crimes qui nous feraient condamner avec le démon! J’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger; j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire; j’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli; j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillé (Mt 25,41-43).

Qui donc est passé à côté de son Pasteur, qu’il voyait affamé? Qui a méprisé, en le voyant nu, celui qui sera bientôt son juge? Qui va condamner à la soif le juge de l’univers? Le Christ se laissera gagner par les services et les présents des pauvres, il dispensera d’un long supplice en récompense d’un petit présent. Éteignons le feu par notre miséricorde. Soyons compatissants envers les autres, faisons-leur grâce comme Dieu nous a fait grâce dans le Christ. A lui gloire et puissance pour les siècles des siècles.

[1] Dans l’Evangile d’aujourd’hui, Jésus se définit lui-même, pour la première fois et explicitement, comme « le bon pasteur ». Le terme « bon » (traduit par l’adjectif grec “kalòs” qui signifie “beau”) est entendu dans le sens de « généreux, idéal, naïf, vrai» : il est le pasteur idéal annoncé par les Ecritures. Cet appellation lui appartient parce qu’il « (dé) pose la vie pour ses brebis». L’expression est répétée cinq fois dans la lecture (Jn 10,11.15.17.18), avec des variations. Le verbe « (dé) poser (tithemi) est utilisé dans le sens “d’offrir de manière consciente et libre”. Jésus dépose/ expose sa vie pour ( = hyper) ses brebis. Cette phrase rappelle Mc 10, 45 où l’on dit que Jésus donne « sa vie en rançon pour (anti) la multitude ». Toutefois, tandis que la préposition “hyper”, utilisée par Jean, signifie expressément « en faveur de », dans Marc l’utilisation de “anti” (au lieu de) fait penser à l’idée de substitution, même si, dans le grec hellénistique, une distinction précise entre prépositions similaires était disparue : en pratique les deux expressions vont être équivalentes.   En plus, le texte grec utilise le mot « psyche », qu’on traduit avec « vie », mais littéralement cela veut dire « âme ». L’expression « donner l’âme » existe encore dans les langues modernes. Donc on peut légitimement entendre l’expression « donner la vie » : 1.comme offre de soi, 2.   comme mettre au monde, 3. comme donner la vie éternelle, car elle est spirituelle et pas seulement matérielle. 

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. 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En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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