L'Avent: temps d'attente dans la joie

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Lectures du 1er Dimanche de l’Avent – Année B – 30 novembre 2014

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  1) L’attente permet la rencontre avec le Bien-Aimé.

    L’Avent qui est un temps fort du calendrier liturgique, commence aujourd’hui dans le rite romain. Il nous invite à une pause silencieuse pour accueillir et comprendre la présence du Christ. Il est une invitation à comprendre que chaque événement de la journée est un signe que Dieu nous envoie, un signe de l’attention qu’il porte à chacun d’entre nous.  L’Avent nous invite et nous stimule à contempler le Seigneur présent. La certitude de sa présence nous aide à changer notre regard sur le monde; à considérer notre existence comme une «  visite » de Dieu, venu se rapprocher de nous, pour rester à nos côtés dans chaque situation. Mais pour que cela arrive «  la liturgie de l’Avent nous répète constamment que nous devons nous détacher du sommeil de l’habitude et de la médiocrité, que nous devons abandonner la tristesse et le découragement; qu’il nous faut réconforter nos cœurs car ‘ le Seigneur est proche’ » (Benoît XVI).  

    Si nous vivons cet Avent comme le pape émérite le suggère, Noël ne sera pas seulement une fête pour rappeler un fait du passé mais la réalisation présente et active d’un événement. En effet, ce qui est arrivé un jour dans l’histoire se réalise dans la vie du croyant aujourd’hui même. Comme il y a plus de deux mille ans, le Seigneur est venu pour tous, Il vient et revient toujours pour chacun de nous. C’est pourquoi chacun de nous doit expérimenter cette attente et cette arrivée qui lui ouvrira les portes du Salut.

    L’attente est donc la toute première attitude qui caractérise le temps de l’Avent. Normalement, on attend avec joie une personne connue et cette période de quatre semaines nous est donnée pour nous familiariser avec la personne du Christ, le vrai Sauveur. Il vient en ami, le plus grand que l’on puisse avoir au monde: Il vient en vrai ami, car Il pense à ses amis plus qu’à lui-même.

    Nous devrions vivre l’attente de la venue de l’Enfant Jésus comme une mère attend l’enfant qu’elle porte dans son ventre: en méditant le miracle de la venue imminente d’une personne désirée mais inconnue, et pour qui nous pourrions nourrir de la crainte même s’il s’agit  d’un tout petit être qui a besoin de tendresse, fruit d’un amour à accueillir le cœur ouvert et sans peur.

    Le cœur, s’il n’est pas borné, peut et doit tendre vers le Christ. Notre attention au Seigneur doit être forte. Lui vient toujours, mais il n’y a souvent pas de rencontre car nous vivons une vie spirituelle superficielle, avec une certaine distraction. Malheureusement, nous sommes rarement dans les conditions spirituelles de percevoir cette «  venue » de Dieu.

    L’important est de vivre l’Avent comme une attente certaine de la «  venue » de Dieu, comme la Mère par excellence a vécu l’attente de la venue de son Fils, Jésus.

    Je pense que la Vierge Marie passa ces mois d’attente – tout d’abord – à chercher, à penser et à lire tout ce qui pouvait enrichir son savoir sur l’Attente des peuples, sur le Fils du Très-Haut qu’elle avait conçu, avec humilité et abandon.

    Puis, la Mère de Dieu pria intensément, autrement dit demanda que l’Esprit de Dieu l’éclaire dans la recherche du visage de son Fils et Seigneur. Alors Dieu, le Dieu proche,  instaura entre Lui et la Vierge des liens de fidélité, de confiance, d’accord, en un seul mot : de foi obéissante.

    Enfin, troisièmement, la Vierge Mère s’exerça à aimer le Fils qu’elle portait dans son ventre. Mais comment peut-on aimer quelqu’un qu’on ne connaît pas ? Elle mit en pratique ce que l’apôtre Saint Jean, quelques années plus tard, écrira dans sa première lettre: « celui qui n’aime pas son frère, qu’il voit, est incapable d’aimer Dieu, qu’il ne voit pas ». Elle partit rendre visite à sa cousine Élisabeth, dont l’enfant reçut ainsi la visite du Fils de Dieu. Marie n’aima pas par des mots mais par des actes ; pas par des sentiments mais en agissant, en se faisant pèlerine de charité, de la pitié de Dieu.

    2) La joie de la présence du Dieu proche.

    Si nous vivons l’Avènement du Christ, comme la Vierge Marie vécut l’attente de sa naissance, nous éduquerons notre cœur à une vraie attente, une attente quotidienne, chargée de tension, vers Celui qui s’est fait homme pour nous, afin de sauver notre vie. Et nous serons dans la joie, car – comme la Vierge Marie – nous aurons la certitude que Dieu est proche: Il était en elle et Il est en nous, toujours: dans la joie et dans la douleur, dans la santé et dans la maladie, en ami et en fidèle époux. Et cette joie demeure malgré l’épreuve, la souffrance, et elle  ne demeure pas en surface, mais au plus profond de la personne qui a confiance en Dieu et s’en remet à Lui.

    Jésus, en naissant, suscita la joie de Marie, de Joseph, des bergers, des Rois Mages et puis celles des personnes qui l’accueillirent, donc la nôtre aussi. Néanmoins, une question se pose: «  Cette joie est-elle encore possible aujourd’hui ? ». La réponse se trouve chez tant d’hommes et de femmes,  de tout âge et de toute condition sociale, dont la vie est de se consacrer aux autres par amour du Christ, incarné pour nous, et en sont heureux. La bienheureuse Mère Teresa de Calcutta ne fut-elle pas un témoin inoubliable de la vraie joie évangélique de notre temps ? Elle vivait quotidiennement en contact avec la misère, la dégradation humaine, la mort. Son âme a connu l’épreuve de la nuit obscure de la foi, et pourtant elle donnait le sourire de Dieu à tous. Un jour, Mère Teresa de Calcutta a dit : «  Nous attendons avec impatience le paradis, où il y a Dieu, mais il est en notre pouvoir d’être au paradis dès ici-bas, et dès ce moment-ci. Etre heureux avec Dieu signifie: aimer comme lui, aider comme lui, donner comme lui, servir comme lui ».

    La joie entre dans le cœur de celui qui se met au service des petits et des pauvres. En celui qui aime de cette façon, Dieu établit sa demeure – comme il le fit dans le ventre de la Vierge Marie – dans la grotte, dans la maison de Nazareth – et l’âme est dans la joie. Au contraire, si on fait du bonheur une idole, on fait fausse route et il devient alors vraiment difficile de trouver la joie dont Jésus parle. C’est pourtant ce que proposent, hélas, les cultures qui mettent le bonheur individuel à la place de Dieu, une mentalité qui trouve son effet emblématique dans la recherche du plaisir à tout prix. A Noël aussi on peut faire fausse route, changer la vraie fête en une fête qui n’ouvre pas les cœurs à la joie du Christ, et réduit tout à un échange de dons matériels.   

    3) L’Avent c’est Jésus qui vient.

    Que de siècles d’attente et que d’âmes consumées dans le désir de l’attente ! Que Jésus vienne! « L’Église épouse attend son époux ! Nous devons toutefois nous demander, avec une grande sincérité : sommes-nous véritablement des témoins lumineux et crédibles de cette attente, de cette espérance ? Nos communautés vivent-elles encore sous le signe de la présence du Seigneur Jésus et dans l’attente chaleureuse de sa venue, ou bien apparaissent-elles lasses, engourdies, sous le poids de la fatigue et de la résignation ? Courons-nous nous aussi le risque d’épuiser l’huile de la foi, et l’huile de la joie ? Faisons attention ! Invoquons la Vierge Marie, Mère de l’espérance et Reine du ciel, pour qu’elle nous maintienne toujours dans une attitude d’écoute et d’attente, afin de pouvoir être d’ores et déjà empreints de l’amour du Christ et de prendre part un jour à la joie sans fin, dans la pleine communion de Dieu, et n’oubliez pas, n’oubliez jamais : « Ainsi, nous serons pou
r toujours avec le Seigneur » (1 Th 4, 17)» (Pape François, 14 octobre 2014).

    Une autre question alors se pose: « Comment discerner les signes du « Veniente » ? « Et les pharisiens et les sadducéens s’approchèrent pour mettre Jésus à l’épreuve ; ils lui demandèrent de leur montrer un signe venant du ciel. Mais Il leur répondit : « Quand vient le soir, vous dites : « Voici le beau temps, car le ciel est rouge! Et le matin, vous dites : Aujourd’hui, il fera mauvais, car le ciel est d’un rouge menaçant. Ainsi l’aspect du ciel, vous savez en juger ; mais pour les signes des temps, vous n’en êtes pas capables ? » (Mt 16). « De même, vous aussi, lorsque vous verrez tout cela, sachez que le Fils de l’homme est proche, à votre porte. »  (Mt 24, 33).

    Ce reproche vaut aussi pour nous, car la sensibilité chrétienne incarnée et rédemptrice est en baisse. On court après des faits émouvants, soi-disant miraculeux et ne reconnaît pas le caractère exceptionnel de la réelle présence du Christ dans l’Hostie consacrée. Beaucoup d’entre nous veulent voir des foules à genoux et en prière, des miracles en tous genres: ces faits ont leur sens mais ils ne sont pas les seuls signes du Veniente. Il faut que nos cœurs se tendent vers les voix plus délicates et presque imperceptibles de notre génération qui, à côté de violents détachements, connaît les spasmes ineffables d’une attente, peut-être encore sans nom mais porteuse de tant d’espoir pour ceux qui peuvent voir.

    Les Vierges consacrées dans le monde, en imitant de plus près la Vierge Marie, sont appelées à incarner l’esprit de l’Avent, fait d’écoute de Dieu, de désir profond de faire sa volonté, de servir son prochain avec joie. Laissons-nous guider par leur exemple pour que Dieu qui arrive ne nous trouve pas fermés ou distraits, mais puisse, en chacun de nous, étendre un peu son royaume d’amour, de justice et de paix.

    Par leur exemple, celles-ci proclament à un monde souvent désorienté, mais en réalité toujours plus en quête de sens, que Dieu est le Seigneur de l’existence, que sa «  grâce vaut plus que la vie » (Ps 62,4). En choisissant l’obéissance, la pauvreté et la chasteté pour le Royaume des Cieux, elles montrent que tout attachement et amour aux choses et aux personnes est incapable d’assouvir définitivement la faim des cœurs; que l’existence sur terre est une attente plus ou moins longue qui précède la rencontre – le «  face à face » –  avec l’Epoux divin, une attente à vivre d’un cœur toujours en alerte pour être prêts à le reconnaître et à l’accueillir quand il viendra. De par sa nature, la vie consacrée constitue donc une réponse totale et définitive à Dieu, une réponse inconditionnelle et passionnée (cf. Vie consacrée, 17).

    Enfin, n’oublions pas de prier pour toutes les personnes de la vie consacrées, car en ce premier Dimanche de l’Avent 2014 s’ouvre l’Année de la Vie consacrée , qui se terminera le 2 février 2016. Au cours de cette année les fidèles sont invités à redécouvrir l’importance de cette forme de vie pour la vie de l’Eglise, et pour les quelques 800 mille consacrés dans le monde,  celle-ci sera l’occasion d’approfondir leur engagement d’être « Evangile », « Prophétie » et « Espérance » pour l’Eglise et pour le monde entier (cf logo ci-dessous)

Lecture Patristique

Geoffroy d’Admont

(Il entre dans le célèbre monastère de Saint-Georges en forêt hercynienne, où il fait profession de moine bénédictin à Hirsau. Il devient successivement abbé de Weingarten, prieur de Saint-Georges et, en 1137, abbé des deux communautés de moines et de moniales à Admont en Styrie. Sous sa règle, Admont devient bientôt une école de sainteté et de science ainsi qu’un centre réformateur. Pas moins de treize de ses moines deviennent abbés de divers monastères et d’autres viennent en aide à des communautés de moniales. Geoffroy est connu pour ses Sermons des dimanches et fêtes. Il meurt en 1165.)

Voyez, veillez et priez,

Homélies pour les fêtes, 23, PL 174, 725-726

Voyez, veillez et priez (cf. Mc 13,33; 14,38). Par ces paroles, le Seigneur notre Sauveur n’a pas averti seulement ses disciples auxquels il parlait physiquement, mais en outre, par ces mêmes paroles, il a révélé clairement à nous-mêmes ce que nous devons faire, comment nous devons veiller. Cette triple parole indique nettement comment doit se sauver chacun de nous qui, oubliant tout ce qui est en arrière, désire se lancer vers l’avenir (cf. Ph 3,14), voudrait saisir le sommet de la perfection auquel il tend.

Celui qui, saisi par l’inspiration divine, aura décidé de renoncer au monde et à ses convoitises, selon l’avertissement que la parole divine nous a donné au début de la lecture d’évangile, (Mc 13,33), doit avoir les yeux ouverts pour comprendre d’emblée, avec sagesse, ce qu’il doit faire ou ce qu’il doit éviter. <>

Mais, pour quiconque vient à la conversion, il ne suffit pas, pour devenir parfait, de comprendre ce qui est bien, s’il ne cherche ensuite à veiller pour agir de même. C’est pourquoi le Seigneur, après avoir exhorté ses disciples à voir, ajoute aussitôt: Veillez et priez (Mc 13,33). Il est prescrit à chacun de veiller, c’est-à-dire de s’appliquer à réaliser effectivement ce qu’il a bien compris, et de repousser la paresse d’une vie oisive dans laquelle il se trouvait jusque-là, par la recherche vigilante d’une activité vertueuse. A celui qui veille ainsi, par le zèle d’une vie fervente, le Seigneur indique une voie encore supérieure, puisqu’il ajoute aussitôt: et priez.

Priez est donc prescrit à tous les élus, c’est-à-dire qu’en désirant les biens éternels, on doit rechercher le fruit de son effort fervent dans la seule espérance de la récompense céleste. Il semble que saint Paul prescrivait à ses disciples cette obstination dans la prière, quand il disait: Priez sans relâche (1Th 5,17). En effet, nous prions sans relâche s i, lorsque nous faisons le bien, nous ne recherchons pour cela aucune gloire terrestre, mais nous nous préoccupons uniquement de désirer les biens éternels.

Voyez, veillez et priez. Voyez ce qu’il faut faire, en comprenant ce qui est juste; veillez en faisant le bien; priez en désirant les biens éternels. Pourquoi il est si important pour nous de voir, de veiller et de prier, on le voit clairement par les paroles qui suivent: Car vous ne savez pas quand viendra le moment (Mc 13,33). Donc, parce que no us ignorons quand sera le moment de cette visite, il nous faut veiller et prier sans cesse, c’est-à-dire préparer à cette grâce, par un zèle vigilant, le fond de notre coeur.

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). 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De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. 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De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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