France: Première Université d'été franciscaine : troisième journée

Un sermon décoiffant

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Hier soir, le Brésil a encore perdu mais pas l’équipe de la Famille Franciscaine qui célèbre ce matin l’eucharistie présidée par le Père Albert Rouet. L’église est comble : il y a les congressistes bien sûr mais aussi les familles et personnes habituées à venir ici le dimanche. Un peu plus d’enfants donc, une chorale étoffée et un sermon décoiffant sur la parabole du grain étouffé par les ronces ou qui croît dans la terre fertile. « Et si la terre fertile était l’autre », le pauvre, le banni, demande le Père Rouet ?

Le chant de sortie est repris, jusque dehors, en rythme, joyeusement.

Puis, en début d’après-midi, à nouveau ateliers avec Pauvreté et émerveillement chez Maurice Zundel et St François (José Kohler) ; Partager, épargner, financer : quand mon argent devient solidaire (Vincent Capou) ; Les nouveaux types de monnaies (Marc Tirel) ; Les évolutions du travail à la lumière de la Doctrine Sociale de l’Eglise (Jean-Nicolas Moreau) ; De Dun Scott à David Bohm (physicien-quantiste) : l’ouverture des possibles par la pratique du dialogue (Elisabeth Martini)…

Un peu plus tard, Mgr Albert Rouet, après sa réflexion de ce matin et ses séances de dédicaces, commente la journée comme Grand Témoin.

Dernier dîner en commun. La fatigue se lit sur certains visages certes mais on continue à blaguer, échanger, refaire le monde. Jeunes et moins jeunes s’écoutent et s’apprennent mutuellement. Vous avez dit « collaboratif » ? Ici, c’est vécu !

A demain.

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Thomas Grimaux

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