France: Première Université d'été franciscaine : deuxième journée

Des voies de spiritualité franciscaine

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Il ne fait ni trop chaud, ni trop froid et après Chemin d’Assise, l’aventure intérieure, film et rencontre avec Olivier Lemire d’hier soir, nos participants parlent peu de la demi-finale de la coupe du monde de tout à l’heure. Ils préfèrent communiquer à propos de la table ronde de ce matin, qui réunissait Jean-Louis Gallaup, Emmanuel Marchand et Jérôme Vignon.

Après le déjeuner, ils ont écouté avec émotion le grand témoin du jour, Frédérique Bedos, auteur de La petite fille à la balançoire. Les ateliers, auxquels ils participent avec attention, leur offrent de débattre, de confronter leurs idées, de proposer des pistes sur tel ou tel thème.

Frédérique Bedos en anime un (sur le projet Imagine) ; Guillaume Goubert, rédacteur en chef de La Croix aussi (Les médias au cœur des mutations) ; le franciscain Jean-Louis Gallaup fait partager son expérience de vingt ans avec des personnes sans abri ; Jean Nicolas Moreau, directeur du Cabinet Res-Euro-Conseil est spécialiste des stratégies de régulation sociale ;  Emmanuel Marchant est DG délégué de Danone communitties, un incubateur d’entreprises sociales ; Jérôme Vignon, Président de l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale est ancien directeur à la Commission européenne chargé de la protection et intégration sociales…

A 20h30, tous attendent avec impatience un moment plus festif, le récital de Maxime Piolot, accompagné de quatre musiciens. Encore une voie qui mènera à la spiritualité franciscaine.

En attendant demain, un observateur (comme le sont les journalistes venus réaliser des reportages télé, radio ou écrit) voit la joie qui règne dans les cœurs et sur les visages des participants et des intervenants. D’ailleurs, il est beau de constater que Marie, 25 ans, jeune mère de famille habitant en Corrèze se lie d’amitié avec Christian, 65 ans, de Dijon ; ou que Julie de Mayenne découvre qu’elle a des amis communs avec Eric de Lille.

Parmi les personnes présentes, ceux qui ne sont pas chrétiens sont heureux de découvrir qu’il existe une spécificité chrétienne en général et franciscaine en particulier. Car, à parler avec tous ces spécialistes ou participants non chrétiens, on découvre que, majoritairement, eux-mêmes sont particulièrement désireux de découvrir le message chrétien.

A demain.

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Thomas Grimaux

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