Le président du Conseil pontifical pour les communications sociales, Mgr Claudio Maria Cellli, a présenté au pape François l’application pour smartphones et tablettes « The Pope App », lundi dernier, 7 juillet 2014.
Lancée le 23 janvier 2013, « The Pope App » rassemble les contenus et les nouvelles de tous les médias du Saint-Siège – Radio Vatican, le Centre de télévision vaticane, l’agence Fides, L’Osservatore Romano, la salle de presse en partie, et les derniers textes publiés sur le site vatican.va.
L’application est multimédia : elle contient des textes, des vidéos, des photos, y compris celles du Service photographique. Depuis son lancement, elle a été améliorée : plus claire et plus facile à gérer, elle propose aussi de classer des nouvelles en « favoris ».
Selon Mgr Celli, plus de 400.000 personnes l’ont téléchargée sur leurs téléphones et sur leurs tablettes.
« Cette application permet au pape d’approcher les hommes et les femmes d’aujourd’hui, de se faire proche d’eux par ses messages, ses interventions et ses méditations », explique l’archevêque au micro de Radio Vatican.
Il fait observer que « des hommes et des femmes d’aujourd’hui, qui sont parfois loin de l’Église, ont trouvé dans le pape François un ami qui est à leurs côtés, qui dit des choses authentiques, qui sait parler au cœur, qui sait percevoir leur fatigue et qui sait dire une parole d’amitié, d’amour ».
Il s’agit, selon le désir du pape, de « révéler au monde d’aujourd’hui la dimension maternelle de l’Église » : « une Église qui a de la sympathie pour l’homme, qui se tient à ses côtés, comme « une mère qui aime toujours et de toute façon ses enfants ».
« L’homme doit toujours comprendre qu’il est accueilli, qu’il est accueilli par Dieu », ajoute Mgr Celli. De la même façon que « les portes de l’Église doivent toujours rester ouvertes », ainsi, à travers « The Pope App », « à tout moment, l’homme et la femme de notre temps peuvent avoir à leur disposition, sur leur téléphone ou leur tablette, les méditations, les paroles du pape, ses gestes ».
Avec une traduction de Constance Roques