Festival de musique et d'art sacré: hommage au pape François

Le Festival international de musique et d’art sacré 2013 rend hommage au pape François.

Sa douzième édition se déroulera à Rome et au Vatican, du 29 octobre au 10 novembre 2013 avec l’orchestre Philarmonique de Vienne.

La fondation « Pro Musica e Arte Sacra », qui organise depuis douze ans le Festival dans les basiliques papales de Rome, a décidé de dédier cette édition à l’élection du nouveau pape : le concert d’inauguration prévoit en effet l’exécution de la Misa a Buenos Aires (mardi 29 octobre, à 21h, en la basilique Saint-Ignace-de-Loyola-in-Campo-Marzio) du compositeur argentin Martin Palmeri, en hommage musical au pape François.

Le programme musical du festival aura une très forte dimension spirituelle, avec la participation, comme d’habitude, d’artistes de renommée internationale et en présence de hautes autorités de l’État italien et du Vatican.

Depuis 2002, le Festival international de musique et d’art sacré est organisé pour promouvoir les activités institutionnelles de la Fondation Pro Musica e Arte Sacra : celles-ci consistent dans la programmation et la diffusion de musique sacrée et la restauration de biens architectoniques précieux et de trésors artistiques contenus en partie dans les basiliques papales où auront lieu les concerts.

Pour les années 2013-2014, la Fondation Pro Musica e Arte Sacra soutient entre autres les projets de restauration de la façade ouest de la basilique Saint-Pierre, des statues des saints Pierre et Paul de la Place Saint-Pierre, de la Chapelle Sixtine dans la basilique papale Sainte-Marie-Majeure.

Elle contribuera également à la réalisation du clipeus en mosaïque du pape François pour la série des souverains pontifes dans la basilique papale Saint-Paul-hors-les-Murs et celle du panneau en mosaïque représentant Notre Dame Salut du Peuple, dans le sanctuaire du bienheureux Jean-Paul II à Cracovie (Pologne).

Enfin, elle soutient les projets musicaux et œcuméniques de la Chapelle musicale pontificale « Sixtine ».

Traduction d'Hélène Ginabat