ROME, Vendredi 28 janvier 2011 (ZENIT.org) – En France, la commission parlementaire spéciale sur la bioéthique a adopté une « clause de conscience » pour les soignants et les chercheurs amenés à « travailler » sur les embryons humains et les cellules souches embryonnaires humaines, rapporte « Gènéthique », la synthèse de presse de la Fondation Lejeune.
Toutefois la commission maintient le principe d’interdiction de recherche sur les cellules souches assorti de dérogations.
« Aucun chercheur, aucun ingénieur, technicien ou auxiliaire de recherche quel qu’il soit, aucun médecin ou auxiliaire médical n’est tenu de participer à quelque titre que ce soit aux recherches sur des embryons humains ou des cellules souches embryonnaires autorisées », indique le texte de l’amendement UMP/NC adopté.
Source : Romandie news 27/01/11