CITE DU VATICAN, Lundi 1er juillet 2002 (ZENIT.org ) - L'Osservatore Romano en italien des 1er-2 juillet consacre sa Une à la solennité de saint Pierre et saint Paul avec deux gros titres reprenant des paroles de Jean-Paul II:
"Le message des saints Pierre et Paul est clair: par la grâce de Dieu, dans toute circonstance, l'homme peut devenir signe de la puissance victorieuse de Dieu";
et:
"J'ai toujours besoin de votre prière! Sans elle, comment pourrais-je répondre à la parole du Seigneur qui commande à Simon-Pierre: "Avance au large!"?"
Du discours du pape lors de l'audience à la délégation de Constantinople, l'OR retient cette phrase: "La précarité de la paix rend nécessaire que nous unissions nos forces et que nous agissions ensemble"
De l'audience aux archevêques qui ont reçu le pallium, le quotidien du Vatican retient: "Soyez des serviteurs passionnés de l'unité de l'Eglise"
Et de l'angélus du 29 juin, l'OR retient: "Rome, sois fidèles à ta dignité chrétienne".
Dans les pages vaticanes, le quotidien publie l'homélie du pape le 29, l'audience avec la mention de la précarité de la paix en Terre Sainte, et le discours au métropolites ce 1er juillet.
L'OR reprend aussi intégralement les textes des angélus du 29 et du 30 juin.
Le quotidien publie le décret d'approbation des statuts du Chemin néo-catéchuménal "ad experimentum".
Dans les pages internationales, l'OR mentionnne l'accusation de la Corée du Nord par les Etats-Unis pour la "provocation armée" contre la Corée du Sud.
L'Or annonce aussi la mise en place de la première Cour de justice internationale permanente à la Haye, en Hollande.
Pour l'Afghanistan, l'OR mentionne les funérailles nationales de la reine.
A noter, dans les pages italiennes, ce commentaire repris par tous les journaux télévisés italiens: selon L'Osservatore Romano, la "politique en Italie perd de plus en plus son coeur".
En effet, après l'assassinat à Bologne du professeur Marcio Biagi, alors que l'enquête se poursuit, les comemntaires des hommes politiques se succèdent, et à la suite d'une phrase du ministre de l'Intérieur critiquant le défunt professeur et qui a fait scandale, une note de l'OR proteste: "Le respect de la personne n'existe plus. Mais peut-être en une telle circonstance les morts, et pour être plus précis, les morts tués par les terroristes sont été traités de cette façon".
Le président de la République a téléphoné à la famille du professeur pour la réconforter et le ministre a présenté ses excuses.
DERNIÈRES NOUVELLES
Jul 01, 2002 00:00