L’article se fonde sur la récente décision du gouvernement britannique de distribuer la pilule abortive RU 486 dite « pilule du lendemain », aussi chez les conseillers familiaux.
Pour le quotidien italien, cette utilisation de la pilule revient à supprimer une vie, même précoce, et par conséquent, dans ce cas aussi se pose la question de l’objection de conscience de la part des personnes travaillant dans le domaine médical.