Pour le “vaticaniste” et historien italien Andrea Tornielli – dans Vatican Insider – la soi-disant « correction » d’Amoris laetitia contient “7 présumées fausses affirmations que les signataires déduisent de leur interprétation du document papal”. Autrement dit, sept fausses interprétations.
A minuit, heure de Rome, le 23 septembre 2017, le texte a été publié en six langues, et accuse “Amoris laetitia”, l’exhortation apostolique qui noue la gerbe de deux synodes (2014-2015) sur la famille, de contenir “sept hérésies”.
Le texte a été remis au pape le 11 août. Parmi les 62 signataires de 20 pays (22 se sont ajoutés aux 40 premiers) le banquier italien Ettore Gotti Tedeschi, ancien président de l’institut financier du Vatican (IOR), congédié sous Benoît XVI en 2012.
“Aucun cardinal ou évêque en communion avec Rome” ne l’a signée, souligne Andrea Tornielli, mais des prêtres, des chercheurs, des journalistes, des bloggers “anti-François” et le supérieur de la Fraternité Saint-Pie X, Mgr Bernard Fellay.
Dans l’entretien dont nous publions des extraits, le philosophe italien Rocco Buttiglione au contraire avait mis en avant la doctrine « traditionnelle » mise en oeuvre par le document du pape François.
Amoris laetitia, ZENIT - HSM
Dans la soi-disant “correction”, sept fausses interprétations d'Amoris laetitia
“Aucun cardinal ou évêque en communion avec Rome” ne signe