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Nonciature en Italie: le Saint-Siège n'a pas fait de rapprochement entre les fragments d’os humains et l'affaire Orlandi

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Mise au point du cardinal Parolin

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Le Saint-Siège n’a fait aucun rapprochement entre les fragments d’os humains retrouvés dans un local dépendant de la nonciature apostolique (ambassade du Saint-Siège) en Italie et l’affaire de la disparition, le 22 juin 1983, de la jeune italienne Emanuela Orlandi, alors âgée de 15 ans, fille d’un employé du Vatican. C’est ce qu’a affirmé le cardinal Secrétaire d’Etat Pietro Parolin, le 7 novembre 2018.
Une enquête a été ouverte et les autorités italiennes informées après cette découverte, afin d’établir l’origine de ces ossements.
En marge d’un Congrès de l’association Carità politica, le « numéro 2 » du Saint-Siège a affirmé à l’agence catholique italienne SIR : « De la part du Saint-Siège aucun lien n’a été fait avec Emanuela Orlandi”.
La Procure de Rome a été avertie « pour de simples raisons de transparence, a-t-il expliqué, pour qu’il n’y ait pas de récriminations sur le fait que le Saint-Siège ait tenu caché quelque chose. Les choses se font avec la plus grande ouverture et la plus grande transparence. On a trouvé des restes, on a voulu savoir exactement à qui ils appartenaient, par conséquent on a demandé de l’aide à l’Italie ».

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Anne Kurian-Montabone

Baccalauréat canonique de théologie. Pigiste pour divers journaux de la presse chrétienne et auteur de cinq romans (éd. Quasar et Salvator). Journaliste à Zenit depuis octobre 2011.

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