Le porte-parole du département d’État Matthew Miller a déclaré que « les États-Unis continuent de promouvoir la responsabilité dans la défense des droits de l’homme en Chine » et des groupes religieux persécutés, tels que les Tibétains et les musulmans dans la région autonome du Xinjiang.
Le communiqué parle de « répression internationale » par les autorités chinoises et de violations « persistantes » des droits de l’homme dans la région du Tibet. Le vendredi 12 juin, le président Joe Biden a annoncé une « loi visant à promouvoir la résolution du conflit entre le Tibet et la Chine » afin de promouvoir les droits des Tibétains et la préservation de « leur héritage linguistique, culturel et religieux ».
Washington souligne que la République populaire de Chine ne respecte pas « ses engagements en matière de respect et de protection des droits de l’homme ». Il dénonce également un « génocide et des crimes contre l’humanité » dans la région autonome du Xinjiang, où la minorité musulmane des Ouïgours est réprimée en raison de ses pratiques religieuses.
Matthew Miller note que « les États-Unis continuent de promouvoir la responsabilité en matière de droits de l’homme en Chine ».
Le président Biden a déclaré dans un communiqué de presse : « Mon administration continuera d’exhorter la République populaire de Chine à reprendre un dialogue direct sans conditions préalables avec le Dalaï Lama ou ses représentants afin de rechercher un règlement qui résolve les différends et aboutisse à un accord négocié sur le Tibet. »
Le département d’État a exhorté les autorités chinoises à respecter les droits de l’homme et à libérer « sans condition » leurs citoyens détenus « arbitrairement et injustement », ce qui constitue l’une des recommandations présentées au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies cette année.