Dans un monde blessé, « aux plaies encore ouvertes et suppurantes », en raison de tant de guerres, de violences et de diverses manifestations d’une fraternité fracturée, le symposium théologique, qui se tiendra du 4 au 7 septembre 2024 à Quito, se propose de réfléchir sur le thème « La fraternité pour guérir le monde ».
Cette rencontre académique, qui précède le 53e Congrès eucharistique international, cherche à proposer des pistes pour restaurer la fraternité, à partir de l’expérience de l’Eucharistie.
Le symposium est promu par la Commission d’organisation du 53e Congrès eucharistique international et le Comité pontifical pour les congrès eucharistiques internationaux, en collaboration avec la Conférence épiscopale équatorienne et l’Université pontificale catholique de l’Équateur. Y participeront des théologiens et des universitaires spécialisés en théologie sacramentelle et en théologie pastorale provenant de divers pays du monde.
Eucharistie et fraternité pour guérir le monde
Cette rencontre académique cherchera à approfondir le thème de l’Eucharistie et de la fraternité, à partir des orientations proposées dans le Document de base du Congrès eucharistique international, qui aura lieu du 8 au 15 septembre 2024.
Il est également proposé d’approfondir l’étude du rapport entre Eucharistie et fraternité, dans le contexte d’un monde blessé et le rapport de la foi chrétienne avec la réalité sociale, dans le cadre de la fraternité.
Le but de ce symposium est d’offrir à l’Église universelle une contribution théologique qui permette de développer la théologie eucharistique dans sa richesse théorique et dans son engagement exigeant pour la construction d’une fraternité universelle.
Le programme
Le colloque débutera le mercredi 4 septembre 2024, à partir de 15h00, avec le thème : « La fraternité sous différents angles : politique, littérature, histoire et peuples indigènes », qui sera analysé par les universitaires équatoriens Juan Carlos Holguín, Rosalía Arteaga et Gonzalo Ortiz Crespo.
Le deuxième jour, jeudi 5 septembre, à partir de 9h30, des réflexions seront menées sur les thèmes suivants : « De frères à ennemis », « Appels à la réconciliation », « Eucharistie : source et sommet de la fraternité » et « Dévotion eucharistique et piété populaire », avec des présentations du père Damian Howard, SJ, de l’Université d’Oxford, du père Pablo Blanco, de l’Université de Navarre et du docteur Rodrigo Guerra, secrétaire du Conseil pontifical pour l’Amérique latine.
Le vendredi 6 septembre, la troisième journée du symposium abordera les thèmes suivants : « La fraternité sans les derniers n’est pas fraternité », « Eucharistie et soin de la maison commune », « Église synodale : une tente pour tous » et « Cœur de Jésus et la source de la vie », avec la dissertation de Sr. Rosmery Castañeda, du Panama, le Père Fernando Roca, SJ, de l’Université Catholique Pontificale du Pérou, l’Archevêque Anthony Fisher, OP, Archevêque de Sydney, Australie et le Père Paolo Morocutti, de l’Université Catholique du Sacré-Cœur.
Le dernier jour du symposium, le samedi 7 septembre, une liturgie de la parole sur la protection de la création, présidée par le cardinal Pedro Barreto, archevêque de Huancayo (Pérou) et président de la Conférence ecclésiale de l’Amazonie (CEAMA), sera célébrée au monument du milieu du monde.
Un symposium théologique pour réfléchir à la fraternité dans un monde blessé
Dans un monde blessé, « aux plaies encore ouvertes et suppurantes », en raison de tant de guerres, de violences et de diverses manifestations d’une fraternité fracturée, le Symposium théologique, qui se tiendra du 4 au 7 septembre 2024 à Quito, se propose de réfléchir sur le thème « La fraternité pour guérir le monde ». Cette rencontre académique, qui précède le 53e Congrès eucharistique international, cherche à proposer des pistes pour restaurer la fraternité, à partir de l’expérience de l’Eucharistie.
Le symposium est promu par la Commission d’organisation du 53e Congrès eucharistique international et le Comité pontifical pour les Congrès eucharistiques internationaux, en collaboration avec la Conférence épiscopale équatorienne et l’Université pontificale catholique de l’Équateur. Y participeront des théologiens et des universitaires spécialisés dans la théologie sacramentaire et la théologie pastorale de différents pays du monde.