Le 27 février dernier, le Conseil des Ministres du gouvernement socialo-communiste espagnol a approuvé un décret royal développant la structure organique de base du ministère de la Présidence, de la Justice et des Relations avec les Tribunaux.
La principale nouveauté est la création de la Direction générale de la liberté religieuse comme organe compétent pour garantir l’exercice du droit à la liberté religieuse et au culte.
Mercedes Murillo, professeur de droit ecclésiastique à l’université Rey Juan Carlos et jusqu’à présent directrice générale adjointe de la liberté religieuse en sera la responsable.
Cette nouveauté apparaît au moment où quelques mois auparavant le gouvernement a interdit que l’on prie le rosaire dans les rues en Espagne, et que des personnes prient devant des cliniques où on tue des bébés au moyen de l’avortement.
Dans le passé, ce service administratif s’occupait de l’élaboration d’un rapport sur la liberté religieuse en Espagne. La dernière publication remonte à 2018.