Natalya Yemchenko offre au pape une bague en acier « Azovsta ».

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Quels films regarde le pape François ?

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Deux films que le pape a regardés récemment et à voir pendant le Carême

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Le pape François a regardé deux films le dernier week-end de février. L’un était un documentaire et l’autre la vie d’une sainte, patronne des immigrés.

 

Comme le rapporte le bulletin du Bureau de presse du Saint-Siège, le Saint-Père a reçu en audience une délégation de la production du film Mother Cabrini. La délégation était conduite par l’homme d’affaires et producteur américain Eustace Wolfington et le réalisateur Alejandro Monteverde. Pour autant que l’on sache, le pape a vu une partie du film. Deux projections privées ont également eu lieu dans deux endroits différents de Rome : l’une à l’Athénée pontifical Regina Apostolorum, à laquelle a assisté le Supérieur général des Légionnaires du Christ, le P. John Connor, LC, et l’autre à l’Université pontificale du Latran, à laquelle a assisté le Pro-préfet du Dicastère pour l’évangélisation, Monseigneur Rino Fisichella. Dans les deux cas, les impressions sur la qualité photographique et narrative de l’histoire de la patronne des immigrés ont été très bonnes. Le film n’a pas encore de date de sortie.

 

L’autre film était « Freedom on Fire : Ukraine’s Fight for Freedom », un documentaire du réalisateur Evgeny Afineevsky (ZENIT a publié un article sur ce film il y a quelques jours ; il peut être vu ici). Ce documentaire traite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Le film a été projeté vendredi 25 février dans la nouvelle Salle du synode, en présence du Saint-Père et de 250 invités, en majorité ukrainiens. À la fin du film, le pape a pris la parole et a déclaré :

 

« Quand Dieu a fait l’homme, il lui a dit : prends la terre, fais-la pousser, fais-la belle. L’esprit de la guerre est le contraire : détruire, détruire, ne pas la laisser croître, détruire tout le monde, hommes, femmes, enfants, personnes âgées, tout. Aujourd’hui c’est le premier anniversaire de cette guerre. Regardons l’Ukraine, prions pour l’Ukraine, et ouvrons nos cœurs à la douleur. N’ayons pas honte de souffrir et de pleurer, car la guerre est destruction, la guerre nous diminue toujours. Que Dieu nous fasse comprendre cela. »

 

Comme on peut le voir sur Facebook, Natalya Yemchenko, une Ukrainienne, a offert au pontife une bague en acier « Azovsta ». Le pape a souhaité utiliser cette bague et se joindre à la prière pour la libération des prisonniers de guerre capturés dans la ville ukrainienne de Marioupol.

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Rédaction

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