« Ce matin, une chose merveilleuse s’est produite, j’ai pu embrasser le pape François et surtout capter son regard », a confié le prêtre à Vatican News.
Sa marche était « un chemin de pénitence » pour le prêtre : « En chemin, tout le monde m’a dit qu’il fallait du courage pour parcourir autant de kilomètres, a-t-il raconté. Et j’ai toujours répondu qu’il faut du courage pour vivre, pour surmonter la colère, les questions. C’est pourquoi je pense que le marcheur est celui qui essaie d’apprendre à vivre et qui participe à la souffrance et la transforme, passant de la souffrance à l’offrande. »