Mgr Follo, 2016 © courtoisie de la Mission du Saint-Siège à l'UNESCO

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Lectures de dimanche : « confiante impatience dans l’épreuve »

Comment vivre l’atmosphère de joie en temps de pandémie

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 » Il faut vivre en communion d’émerveillement et de confiante impatience dans l’épreuve », écrit Mgr Francesco Follo dans sa méditation des lectures de dimanche prochain, 19 avril 2020, IIe Dimanche de Pâques – de la Divine Miséricorde[1] (Année A – Actes 2, 42-47 ; Ps 117 ; 1 Pierre 1, 3-9 ; Jean 20, 19-31).

« En ces jours de grande inquiétude pour la pandémie qui continue de semer la douleur et la mort, nous avons du mal à pour accueillir la joie qui vient de Pâques que nous avons célébrée il y a une semaine », fait observer l’observateur permanent du Saint-Siège à l’Unesco à Paris : « Comment est-il possible de vivre l’atmosphère de joie qui vient de la foi dans le Christ ressuscité, s’il y a de la maladie, de la mort et de la peur autour de nous ? »

« Humainement parlant, il y a des signes d’espoir, mais il est difficile d’entrevoir la la lumière au bout du tunnel… Mais en ce dimanche de la Miséricorde, la lumière de la compassion divine illumine le chemin des hommes d’aujourd’hui. »

  • La miséricorde de Dieu.

En ces jours de grande inquiétude pour la pandémie qui continue de semer la douleur et la mort, nous avons du mal à pour accueillir la joie qui vient de Pâques que nous avons célébrée il y a une semaine.

Comment est-il possible de vivre l’atmosphère de joie qui vient de la foi dans le Christ ressuscité, s’il y a de la maladie, de la mort et de la peur autour de nous ? Il faut vivre en communion d’émerveillement et de confiante impatience dans l’épreuve.

Que nous apporteront les prochains mois ? À quoi ressemblera l’avenir de l’humanité sur terre ? Il ne nous est pas donné de le savoir. Humainement parlant, il y a des signes d’espoir, mais il est difficile d’entrevoir la la lumière au bout du tunnel. Faible est cette lumière apportée par de nouveaux progrès dans la recherche du vaccin pour le Covid-19 et des remèdes pour les personnes gravement touchées. Malheureusement, il y aura d’autres expériences douloureuses. Mais en ce dimanche de la Miséricorde, la lumière de la compassion divine illumine le chemin des hommes d’aujourd’hui. Mais il ne suffit pas de dire que le Christ est le Fils de Dieu compatissant dont nous tirons nos sentiments de miséricorde et de fraternité. Il est également victime de notre mal. Il est l’Agneau innocent, immolé par nos péchés, qui surmonte le mal avec le don de soi-même sur la croix.

Comme les apôtres il y a environ deux mille ans, il est nécessaire que nous accueillions aujourd’hui dans le cénacle de l’histoire le Christ ressuscité qui montre les blessures de sa crucifixion et qui répète : « La paix soit avec vous ». Notre pauvre humanité doit se laisser atteindre et pénétrer par l’Esprit que le Christ ressuscité lui donne. C’est l’Esprit qui guérit les blessures du cœur, qui brise les barrières qui nous séparent de Dieu et qui nous divisent entre nous, en redonnant la joie de l’amour du Père et celle de l’unité fraternelle.

Il est donc important que nous acceptions dans son intégralité l’enseignement qui provient des trois lectures de la Messe de ce deuxième dimanche de Pâques. Aujourd’hui, la Liturgie montre le chemin de la miséricorde qui, tout en reconstruisant la relation de chacun de nous avec Dieu, suscite également de nouvelles relations de solidarité fraternelle entre les hommes. Le Christ nous a enseigné que « non seulement l’homme reçoit et fait l’expérience de la miséricorde de Dieu, mais il est aussi appelé à ‘utiliser la miséricorde’ envers les autres : bienheureux les miséricordieux, car ils trouveront miséricorde (Mt 5, 7) » (Saint Jean Paul II, Lettre encyclique Dives in misericordia, 14).

« La miséricorde est, en fait, l’acte ultime et suprême avec lequel Dieu vient à notre rencontre et qui ouvre nos cœurs à l’espoir d’être aimé pour toujours, quelle que soit notre pauvreté, quel que soit notre péché. L’amour de Dieu pour nous n’est pas un mot abstrait. Il s’est rendu visible et tangible en Jésus-Christ. Pour cette raison, l’amour miséricordieux des chrétiens doit être orienté sur la même longueur d’onde » (Pape François, Audience aux réalités françaises dédiées à la miséricorde divine, 13 décembre 2019).

La miséricorde, enseignée et pratiquée par le Christ, pardonne non seulement les péchés, mais répond également à tous les besoins des hommes. Jésus s’est penché sur toute misère humaine, matérielle et spirituelle. L’expérience de la miséricorde continue d’atteindre l’humanité par le geste de nos mains tendues en Son nom vers les personnes qui souffrent.

La tendresse miséricordieuse et consolante du Christ s’adresse surtout à ceux qui, affligés par une épreuve particulièrement dure ou écrasés par le poids des péchés commis, ont perdu toute confiance dans la vie et sont tentés de céder au désespoir. Le doux visage du Christ lui est présenté, ces rayons viennent de lui qui partent de son cœur et illuminent, réchauffent, indiquent le chemin et insufflent l’espérance.

Pour expérimenter cette miséricorde, nous répétons souvent l’invocation : « Jésus, j’ai confiance en toi », que la Providence a suggérée à travers la sainte polonaise, sœur Faustine Kowalska (1905 – 1938). Ce simple acte d’abandon à Jésus perce les nuages ​​plus denses et fait passer un rayon de lumière dans la vie de chacun.

 

  • Le côté transpercé : source de lumière et de miséricorde.

Ce dimanche, que l’on appelait traditionnellement « Dimanche après Pâques », a été proclamé par Jean-Paul II, en l’an 2000, Fête de la Miséricorde. Ce Saint pape a ainsi voulu souligner le lien étroit qui existe entre le mystère de Pâques et la Fête de la Miséricorde : « L’œuvre de la Rédemption est liée à l’œuvre de la Miséricorde (Ste Faustine).

Il est vrai que selon une vieille tradition, ce dimanche était appelé Dimanche « in albis » (après Pâques), parce que, pendant les premiers siècles de l’Eglise, ce jour-là les baptisés de la Veillée pascale, revêtaient encore une fois leur vêtement blanc, symbole de la lumière que le Seigneur leur avait donnée au baptême. Par la suite, ils déposaient ce vêtement blanc [2], mais ils devaient introduire dans leur vie quotidienne la nouvelle lumière qui leur avait été transmise. Cette flamme délicate de la vérité et du bien que le Seigneur avait allumée en eux, ils devaient la garder avec soin pour porter dans notre monde d’aujourd’hui un peu de la lumière et de la bonté de Dieu.

Il est également vrai que le baptême [3]  est le sacrement de la miséricorde par lequel Dieu, non seulement nous pardonne le péché originel mais nous rattache au Christ et nous rend Temple de l’Esprit Saint. Ce sacrement « jaillit » du côté transpercé du Christ, « source de miséricorde, fontaine de pardon » (Syméon, le nouveau théologien, Hymne XLV) et l’évangile de ce jour nous montre l’apôtre Thomas qui a le don de la foi, enfonçant le doigt dans ce côté, comme pour toucher le Cœur compatissant du Christ d’où sortent le sang et l’eau de la grâce : la tendre miséricorde de Dieu.

Dieu ne peut trahir son nom : celui de l’Amour qui se donne et qui pardonne. Avec le Mystère de la passion, de la mort et de la résurrection du Christ, c’est une nouvelle création qui s’accomplit, et de même que de la côte d’Adam endormi Dieu le Père a façonné Eve, de même du côté du Christ endormi sur la Croix Dieu le Père a fait naître l’Eglise[4].

L’Eglise est née du cœur transpercé du Christ[5] : saint Thomas, pardonné de son incrédulité, reçut le don insigne de toucher de sa main le côté du Crucifié ressuscité et d’approcher de Son cœur. Il toucha l’homme et reconnut Dieu qui lui manifestait, encore une fois, sa miséricorde.

A nous, comme à Saint Thomas, Jésus dit : « Enfonce ton doigt ici, étends ta main, touche ! ». Ce geste suffit à Thomas. A nous aussi, il peut et il doit suffire de savoir et de faire l’expérience que notre prochain, notre frère et notre sœur, celui qui tend les mains vers nous, cette voix qui ne nous juge pas mais nous encourage et nous appelle, ce corps offert au doute de ses amis, c’est Jésus.

Non, il n’a pas pu se tromper. Il y avait un trou dans les mains du Christ, la blessure d’une lance sur son côté : autant de signes d’amour que Jésus ne cache pas, et même qu’Il expose à notre vue : le trou des clous, la déchirure de son côté.

Regardons souvent le crucifix qui se trouve dans chaque église et, je l’espère, dans chacune de nos maisons : avec nos yeux, nous verrons des plaies que nous ne nous attendions pas à voir, avec les mains du cœur, nous pourrons, nous aussi, toucher et croire.

Peut-être pensions-nous que la Résurrection aurait guéri à jamais les blessures du Vendredi Saint. Il n’en est rien. L’amour a écrit son histoire sur le corps de Jésus avec l’alphabet des blessures, indélébiles désormais, absolument comme l’amour. Mais des plaies ouvertes, ce n’est plus le sang qui jaillit, mais bien la lumière et la miséricorde. Et dans la main de Thomas, guidée par le Christ jusqu’à son côté, se trouvent toutes nos mains.

 

  • De la peur à la joie

« Par crainte des Juifs, les portes étaient verrouillées » (Jn 20,19). Peur improbable, presque toutes les peurs sont improbables mais elles existent et sont bien réelles. Ces peurs qui nous ferment complétement aux autres, qui assombrissent l’existence et qui font de leur cœur et du cénacle un tombeau. Le cénacle c’est là où Jésus avait donné le pain, là où il entrera maintenant. Désormais leur pièce est un tombeau, ils vivent avec la peur, la peur de la mort. Comme la pierre qui fermait le tombeau n’empêcha pas le Christ de sortir et de porter la lumière, les portes fermées du Cénacle ne l’empêchèrent pas d’entrer et d’affronter le risque du lieu et du cœur de ses disciples. Le Seigneur est ressuscité, il n’y a plus aucune raison d’avoir peur. La mort elle-même est vaincue : alors, de quoi avoir peur ? « Ils se réjouirent de voir le Seigneur » : les disciples passent de la peur à la joie. La joie, don du Seigneur ressuscité, est une participation à Sa joie.

Il n’existe pas deux joies différentes, une pour Dieu, une pour l’homme. Dans les deux cas, il s’agit d’une joie qui plonge ses racines dans l’amour. Cette joie ne s’inscrit pas dans l’éloignement de la Croix, mais dans notre capacité à comprendre que le Crucifié est ressuscité. La foi permet une vraie compréhension de la Croix et du drame de l’homme.

Avec la joie, le Ressuscité nous fait un autre don : la paix. N’oublions pas que la paix et la joie sont des « dons » du Christ et, en même temps, des « signes » permettant de Le reconnaître. Mais il est indispensable de briser l’attachement à soi-même. La paix et la joie fleurissent seulement dans la liberté et dans le don de soi.

Le pape François a expliqué[6] que l’offrande de soi à Dieu « concerne chaque chrétien, parce que nous sommes tous consacrés à Lui par le baptême. Nous sommes tous appelés à nous offrir au Père avec Jésus et comme Jésus, en faisant de notre vie un don généreux, dans notre famille, notre travail, dans l’Eglise, dans les œuvres de miséricorde ». Cependant « cette consécration est vécue d’une façon particulière par les religieux, par les moines, par les laïcs consacrés, qui, par la profession des vœux, appartiennent pleinement et exclusivement à Dieu. Cette appartenance au Seigneur permet à ceux qui la vivent de manière authentique d’offrir un témoignage particulier à l’Evangile du Royaume de Dieu. Totalement consacrés à Dieu, ils sont totalement donnés à leurs frères, pour porter la lumière du Christ là où les ténèbres sont les plus épaisses et pour répandre l’espérance dans les cœurs sans espoir ». Bien entendu, cette affirmation vaut aussi pour les Vierges consacrées du monde entier. Celles-ci sont un signe de Dieu dans tous les milieux, elles sont le levain qui favorise l’épanouissement d’une société plus juste et plus fraternelle, elles sont la prophétie du partage avec les petits et les pauvres. Comprise et vécue de cette façon, la vie consacrée nous apparaît telle qu’elle est réellement : un don de Dieu, un don de Dieu à l’Eglise, un don de Dieu à son peuple.

 

  • Le pardon comme mission

La rencontre de miséricorde du Christ avec Thomas fut possible parce que Jésus se trouvait au milieu de ses disciples. Non seulement Thomas, mais, avec lui, la communauté, reconnaissent le Seigneur à ses plaies, qui restent toujours ouvertes pour accueillir tout le monde. C’est d’elles que viennent la joie de celui qui est aimé et l’invitation à aimer comme nous sommes aimés. La mission de l’église est la même que celle de Jésus, envoyé par le Père auprès de ses frères. C’est ainsi que nous sommes des créatures nouvelles, vivifiées par son Esprit, qui est amour, don et pardon à offrir à tous. Si nous pardonnons, nous sommes comme Jésus Christ et nous aurons sa paix : « Paix à vous ».

C’est pourtant une paix différente de celle du monde. Différente parce qu’elle est don de Dieu et parce qu’elle va à la racine, là où l’homme choisit entre le mensonge et la vérité. Différente parce que c’est une paix qui sait payer le prix de la justice. La paix de Jésus ne promet pas d’éliminer la Croix – ni dans la vie du chrétien, ni dans l’histoire du monde – mais elle nous assure de Sa victoire : « J’ai vaincu le monde » (Jn 16,33).

Au don de la paix, Jésus ajoute le don de l’Esprit : « Recevez le Saint Esprit » : l’Esprit est le témoin de Jésus. Face à l’hostilité qu’ils rencontreront, les disciples seront exposés au doute, au scandale, au découragement : l’Esprit défendra Jésus dans leur cœur, il les rendra plus confiants, plus forts. A nous aussi, disciples de notre temps, l’Esprit offre cette certitude et donne la force de porter le pardon de Dieu dans le monde.

L’Eglise dans le Cénacle est née de la contemplation de l’amour du Christ crucifié et ressuscité ; elle est invitée à témoigner et à partager cet amour qui pardonne.

 

Lecture patristique

Saint Cyrille d’Alexandrie (370 – 444)

Commentaire sur l’évangile de Jean, 12

PG 74, 704-705.

En entrant dans le Cénacle toutes portes closes, le Christ a montré une fois de plus qu’il est Dieu par nature, et qu’il n’est pas différent de celui qui vivait auparavant avec les disciples. En découvrant son côté et en montrant la marque des clous, il manifestait à l’évidence qu’il a relevé le temple de son corps qui avait été suspendu à la croix, en détruisant la mort corporelle, puisque par nature il est la vie et il est Dieu.

Mais alors que le moment était venu de transformer son corps par une gloire inexprimable et prodigieuse, on le voit tellement soucieux de fonder la foi en la résurrection future de la chair qu’il a voulu, conformément à l’économie divine, apparaître tel qu’il était auparavant. Ainsi ne penserait-on pas qu’il avait alors un corps différent de celui avec lequel il était mort sur la croix.

Même si le Christ avait voulu déployer la gloire de son corps devant les disciples, avant de monter vers le Père, nos yeux n’auraient pu en supporter la vue. Vous le comprendrez facilement si vous vous rappelez la transfiguration qui avait jadis été montrée sur la montagne. En effet, saint Matthieu écrit que le Christ fut transfiguré devant eux, que son visage resplendit comme l’éclair et que ses vêtements devinrent blancs comme neige. Quant à eux, ne pouvant supporter la vision, ils tombèrent la face contre terre.

C’est pourquoi, afin d’observer exactement le plan divin, notre Seigneur Jésus apparaissait encore, au Cénacle, sous sa forme antérieure, et non pas selon la gloire qui est due et convient à son Temple transfiguré. Il ne voulait pas que la foi en la résurrection se porte sur un aspect et sur un corps différent de ceux qu’il reçut de la sainte Vierge et dans lesquels il est mort après avoir été crucifié selon les Écritures. En effet, la mort n’avait pouvoir que sur la chair, dont elle allait être chassée. Car, si ce n’est pas son corps mort qui est ressuscité, quelle espèce de mort a donc été vaincue ? Ou encor e, comment le pouvoir de la corruption aurait-il cessé, sinon par la mort d’une créature raisonnable ? Car ce ne fut pas l’oeuvre de l’âme, ni de l’ange, ni même du Verbe de Dieu. Donc, puisque la mort ne peut exercer son pouvoir que sur ce qui est corruptible par nature, on aura raison d’estimer que la force de résurrection peut s’exercer aussi sur cela, pour que la tyrannie de la mort soit renversée.

Le Seigneur salue ses disciples en disant : Paix à vous. Il déclare ainsi que lui-même est la paix. Car ceux auprès desquels il est présent bénéficient d’un esprit parfaitement apaisé. C’est évidemment ce que saint Paul souhaitait aux fidèles quand il disait: Que la paix du Christ, qui dépasse tout ce qu’on peut imaginer, garde votre coeur et votre intelligence dans le Christ Jésus (Ph 4,7). Pour saint Paul, la paix du Christ, qui dépasse tout ce qu’on peut imaginer, n’est autre que son Esprit : celui qui participe à son Esprit sera rempli de tout bien.

 

[1] Dans ce mot de « miséricorde » Saint Jean-Paul II voyait un résumé et une interprétation nouvelle pour notre époque de tout le mystère de la Rédemption. Ce pape, qui aujourd’hui est proclamé saint en même temps que Jean XXIII, institua la Fête de la Divine Miséricorde et voulut qu’elle fût célébrée en ce Deuxième dimanche de Pâques.

[2] C’est pour cette raison que le premier dimanche après Pâques était appelé en latin : « in albis depositis ».

[3] Le baptême est le fondement de toute la vie chrétienne, le vestibule de la vie dans l’Esprit (« vitae spiritualis innua), et la porte qui donne accès aux autres sacrements. Par le baptême nous sommes libérés du péché et régénérés en tant que fils de Dieu, nous devenons membres du Christ ; nous sommes incorporés à l’Eglise et impliqués dans sa mission : »Baptismus est sacramentum regenerationis per aquam in verbo – on peut définir le baptême comme le sacrement de la régénération chrétienne par l’eau et la parole ». (Catéchisme de l’Eglise catholique, n.1213).

[4] Cf.Concile Vatican II, Cost. Sacrosantum Concilium, 5 :AAS 56 (1964) 99.

[5] Cf. Saint Ambroise, Expositio evangelii secundum Lucam, 2,85-89 : CCL 14, 69-72 (PL 15, 1666-1668)

[6] Discours du 2 février 2014

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. 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En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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