Le pape devant la crèche de la Salle Paul VI © Vatican Media

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La crèche et le sapin, reflets de la lumière et de la tendresse de Dieu

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Le tweet du pape quatre jours avant Noël

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« La crèche et l’arbre, symboles de Noël, peuvent apporter dans les familles un reflet de la lumière et de la tendresse de Dieu.
En recevant les donateurs de la crèche et du sapin de la place Saint-Pierre, le 7 décembre 2017, le pape avant souligné que « la crèche et l’arbre de Noël nous parlent par leur langage symbolique » : « Ils sont les signes de la compassion du Père céleste, de sa participation et de sa proximité à l’égard de l’humanité, qui fait l’expérience de ne pas être abandonnée dans la nuit des temps, mais visitée et accompagnée dans ses difficultés. »
En effet, « l’arbre tendu vers le haut nous stimule à tendre nous-mêmes vers “les dons les plus grands” (cf. 1 Cor 12,31), à nous élever au-dessus des brumes qui obscurcissent, pour expérimenter qu’il est beau et joyeux d’être immergés dans la lumière du Christ ». Et « dans la simplicité de la crèche, nous rencontrons et nous contemplons la tendresse de Dieu, manifestée dans celle de l’Enfant Jésus ».
De même devant les donateurs de la crèche et de l’arbre de Noël installés place Saint-Pierre, le 18 décembre 2015, il avait invité « à rester devant la crèche, parce que là, la tendresse de Dieu nous parle. Là, on contemple la miséricorde divine, qui s’est faite chair humaine et qui peut attendrir notre regard ».
« La crèche nous dit en outre qu’il ne s’impose jamais par la force, avait ajouté le pape. Souvenez-vous bien de cela… : le Seigneur ne s’impose jamais par la force. Pour nous sauver, il n’a pas changé l’histoire en réalisant un miracle grandiose. Il est venu, au contraire, en toute simplicité, humilité et douceur. Dieu n’aime pas les révolutions imposantes des puissants de l’histoire, et il n’utilise pas de baguette magique pour changer les situations. En revanche, il se fait petit, il se fait petit enfant, pour nous attirer avec amour, pour toucher nos cœurs par son humble bonté ; pour secouer, par sa pauvreté, ceux qui se fatiguent à accumuler les faux trésors de ce monde. »

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Anne Kurian-Montabone

Baccalauréat canonique de théologie. Pigiste pour divers journaux de la presse chrétienne et auteur de cinq romans (éd. Quasar et Salvator). Journaliste à Zenit depuis octobre 2011.

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