Mgr Follo, 2016 © courtoisie de la Mission du Saint-Siège à l'UNESCO

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Transfiguration pour l'Exode de la Lumière, par Mgr Follo

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La transfiguration de tout chrétien uni au Christ

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«Transfiguration pour l’Exode de la Lumière» : c’est le titre de ce commentaire des lectures de la messe de dimanche prochain, 12 mars 2017, 2e dimanche de carême (Genèse 12,1-4a ; Psaume 32 ; 2 Timothée 1, 8b-10 ; Matthieu 17, 1-9): «Avec l’invitation à  vivre le carême comme monté au Tabor, mont de la prière, pour voir sur le Visage du Christ la lumière de Dieu».
L’Observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO à Paris propose aussi comme lecture patristique une homélie de saint Léon le Grand (Ve s.).
Il évoque la transfiguration de tout chrétien uni au Christ: cette perspective donne aussi un sens à la pénitence de carême.
 
       Transfiguration pour l’Exode de la Lumière
1) La transfiguration du Christ
Dimanche dernier, la liturgie du carême nous a fait revivre le mystère des 3 tentations du Christ dans le désert et de sa victoire.
En ce 2ème Dimanche de Carême, il nous est demandé de comprendre que revivre le mystère de la vie du Christ par la conversion, c’est à dire en s’unissant au Rédempteur, nouveau Moïse, est un exode de libération. C’est une sorte de «voyage-retour» de l’exil en Egypte à la Terre Sainte. Un «voyage-retour», plus spirituel que physique qui va de l’exil du mensonge et du mal, causé par le pêché, à la vérité et à la bonté de la Maison du Père, prodigue en miséricorde.
Dans l’épisode de la Transfiguration, Jésus est présenté comme le nouveau Moïse qui rencontre Dieu «sur une haute montagne» (Mt 17,1) avec le visage qui «resplendit comme le soleil» (Mt 17, 2) dans une «nuée lumineuse» (Mt 17, 5).
Même Moïse rencontre Dieu dans une nuée sur le Mont Sinaï (v. Ex 24, 15-18), le visage rayonnant (v. Ex 34, 29-35).
Moïse était l’instrument et le collaborateur de Dieu dans la libération du peuple juif. Jésus-Christ ne se limite pas à libérer mais en plus il transfigure le peuple des repentis (ou rachetés).
Dans l’histoire du christianisme occidental, on pense plus souvent au Salut en termes de libération que de transfiguration. En réalité, la libération portée par Jésus se réalise vraiment seulement dans la transfiguration.
Jésus laisse l’être humain à ses faiblesses, ses souffrances, sa solitude et à sa mort, mais il transfigure tout cela en le prenant sur lui-même. Et en faisant de la condition humaine la plus pauvre le symbole même de la proximité de Dieu avec le monde.
Sur le Mont Tabor Jésus se transfigure : les vêtements blancs et le visage rayonnant du Fils de Dieu nous indiquent que Jésus, même s’il marche vers la Croix, est en réalité le Seigneur, le Ressuscité.
La «Via Crucis» que Jésus parcourt cache derrière elle un sens de Pâques car il s’agit en réalité d’une «Via Lucis».
La Transfiguration que nous célébrons aujourd’hui c’est une avance généreuse mais fugace : il reste encore à parcourir le chemin de la Croix.
A cette occasion en effet les apôtres Pierre, Jacques et Jean sont appelés à voir à l’avance la gloire de Dieu, ce qui leur permettra de tenir devant le drame de la faiblesse du Christ emprisonné dans le Gethsémani et crucifié sur le Mont du Calvaire.
La gloire du Fils Unique de Dieu, l’Aimé du Père, avait été comme voilée, cachée dans le mystère de son incarnation. Le Christ n’a pas considéré sa condition d’égalité avec le Père comme un trésor à entretenir, mais il s’est lui-même humilié (v. Phil 2). Dans la Transfiguration, cette gloire investit avec toute sa vigueur l’humble humanité du Christ et la comble de la splendeur de sa divinité. En dévoilant son visage rayonnant comme le soleil, plein de grâce et de vérité, aux trois disciples «privilégiés», Jésus les prépare au drame de la mort qui anticipe la résurrection.
Le fait de la Transfiguration, qui dévoile l’identité de Jésus et le résultat final et positif de son chemin, n’est pas seulement le moyen pour faire face à la passion et à la mort du Salvateur. Ce fait révèle aussi l’identité du disciple et le chemin que doit parcourir celui qui veut suivre le Christ. Même le chemin du disciple vise la croix et la résurrection.
La parole de Dieu d’aujourd’hui nous amène dans une nouvelle dimension de notre participation au mystère du Christ : le fait de revivre le mystère du Christ nous amène à renier nous-mêmes, notre égoïsme, mais aussi à être transfigurés dans le Christ et comme le Christ.
En ce dimanche, deuxième étape du chemin de pénitence, l’Evangile nous révèle le mystère de la transfiguration du Christ ainsi que de notre propre transfiguration. En effet, la Transfiguration est un événement qui nous concerne tous : non seulement parce que nous devons assister à la Gloire du Fils de Dieu ressuscité de la mort mais aussi parce que nous sommes « un seul » avec le Christ. Et sa gloire nous investit tous, en transformant notre corps, notre âme et surtout notre esprit.
A raison, la théologie orthodoxe enseigne qu’avec la Transfiguration rien ne change dans le Christ. Ce qui change est le regard des apôtres qui voient enfin celui que le Christ a toujours été : le Fils de Dieu.
Aujourd’hui l’Eglise, en célébrant le mystère de la Transfiguration du Seigneur, nous montre le but de notre chemin de pénitence. Par la Transfiguration en effet «on trouve un fondement à l’espoir de la Sainte Eglise, pour faire en sorte que le corps du Christ entier puisse connaître la transformation qu’il lui serait donnée, et les membres puissent être sûrs de participer de la même beauté qui avait brillé dans le visage» (S. Léon le Grand, Sermon, 38,3.4).
2) La Transfiguration de nous tous : nous participons de la beauté du Christ
Cela soulève une question : «Comment pouvons-nous nous transfigurer comme le Christ et faire rayonner en nous sa beauté ?». La réponse nous est donnée par Saint Paul dans la deuxième lecture de ce Dimanche. L’Apôtre des Nations nous apprend que notre transfiguration dans le Christ est possible «en vertu du pouvoir qu’il a d’assujettir toutes les choses». Le Christ exerce sur chacun d’entre nous le pouvoir qu’il possède de nous faire à sa forme en nous renvoyant le Saint-Esprit. Celui-ci est la force intime qui, habitant en nous, nous transfigure dans le Christ. Nous invoquons le Saint-Esprit pour qu’il remplisse nos cœurs et éloigne de nous tout ce qui nous empêche d’être pleinement transfigurés dans le Christ.
Il ne faut pas oublier que notre correspondance, c’est-à-dire le consentement de notre liberté à l’acte transfigurant, est nécessaire. Comme le disait déjà Saint Augustin : «Celui qui t’a créé sans toi, ne te sauvera pas sans toi».
Il ne faut pas oublier non plus de contempler le « grand sacrement », c’est-à-dire celui de Jésus Christ notre Seigneur qui se transfigure, alors qu’il est défiguré pendant la passion. Jésus Christ est le « grand sacrement » pas seulement car il donne le salut, mais parce-que, premièrement, il est la splendeur du Père dans notre humanité.
Ensuite nous contemplons la beauté rayonnante du Christ avec un regard spirituel, en analysant ce verset de Saint Jean de la Croix : « allons-nous voir en ta beauté ». C’est ainsi que ce Saint explique son verset : « Si vous me changez en votre beauté, je vous verrai en votre beauté, et vous me verrez aussi en votre beauté; vous vous verrez vous-mêmes en moi dans votre beauté, et je me verrai moi-même en vous dans votre beauté : de cette sorte il semblera que dans votre beauté je serai vous-même, et que vous serez moi-même; il semblera que votre beauté sera la mienne, et que la mienne sera la vôtre ; et que dans votre beauté je serai une même chose avec vous, et que vous serez une même chose avec moi » (Jean de la Croix, Cantique Spirituel, 35/3).
3) Transfigurées par l’amour
Jésus est « le plus beau fils de l’homme » (Ps 44,3), mais il est aussi, mystérieusement, celui qui « n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards » (Ex 53,2).
Pourquoi est-il raisonnable de regarder le Christ crucifié ? Car la Croix nous montre que la vraie beauté est l’amour de Dieu qui « sait transfigurer même le mystère obscur de la mort dans la lumière irradiante de la résurrection » (Pope émérite Benoît XVI). Pour accéder à la vie éternelle il faut donc écouter Jésus et le suivre sur le chemin de la croix.
L’écouter comme l’écouta la Vierge Marie, qui a offert sa chair à la Parole de Dieu.
Suivant l’exemple de la Mère du Rédempteur, les vierges consacrées dans le monde disent oui à Dieu en offrant leur corps comme un temple pur, comme abris pour l’Epoux Jésus et « sa (du Christ) pleine adhésion à la volonté du Père rend son humanité transparente à la gloire de Dieu, qui est Amour que tout transfigure » (Pape François). Le rituel de consécration des vierges ajoute aussi à travers la prière de l’Evêque n°11 : « Dieu qui as inspiré à nos sœurs le désir de garder la virginité, daigne achever en elles ton œuvre (de Transfiguration). Pour que leur offrande soit parfaite, donne leur de rester fidèles jusqu’au bout. » Ces vierges nous servent d’exemple dans l’écoute de la Parole de Dieu, gardée dans la Bible. La vie de ces femmes est aussi un témoignage de comment on peut écouter de Dieu dans les faits de la vie et essayer de lire en ceux-là le dessin de la Providence. Elles démontrent que leur amour virginal au Christ ne les éloigne pas du monde, mais les encourage à L’écouter parmi les frères et les sœurs en humanité, en particulier parmi les enfants et les pauvres que Jésus demande aux chrétiens d’aimer concrètement.
En conclusion, ces vierges nous montrent qu’écouter le Christ et suivre sa voix d’Epoux est la voie royale, la seule, qui conduit à la plénitude de l’amour. Amour qui transfigure et rend heureux pour toujours.
 
Lecture Patristique: Saint Léon le Grand (+ 461)
Sermon 51, 3-4 (CCL 138 A, 290-300)
Le Seigneur découvre sa gloire devant les témoins qu’il a choisis, et il éclaire d’une telle splendeur cette forme corporelle qu’il a en commun avec les autres hommes que son visage a l’éclat du soleil et que ses vêtements sont aussi blancs que la neige.
Par cette transfiguration il voulait avant tout prémunir ses disciples contre le scandale de la croix et, en leur révélant toute la splendeur de sa dignité cachée, empêcher que les abaissements de sa Passion volontaire ne bouleversent leur foi.
Mais, il ne prévoyait pas moins de fonder l’espérance de l’Église, en faisant découvrir à tout le Corps du Christ quelle transformation lui serait accordée; ses membres se promettraient de partager l’honneur qui avait resplendi dans leur chef.
Le Seigneur lui-même avait déclaré à ce sujet, lorsqu’il parlait de la majesté de son avènement: Alors les justes brilleront comme le soleil dans le royaume de leur Père (Mt 13,43). Et l’apôtre saint Paul atteste lui aussi: J’estime qu’il n’y a pas de commune mesure entre les souffrances du temps présent et la gloire que le Seigneur va bientôt révéler en nous (Rm 8,18). Et encore: Vous êtes morts avec le Christ, et votre vie reste cachée avec lui en Dieu. Quand paraîtra le Christ qui est votre vie, alors, vous aussi vous paraîtrez avec lui en pleine gloire (Col 3,3-4).
Cependant, pour confirmer les Apôtres et les introduire dans une complète connaissance, un autre enseignement s’est ajouté à ce miracle. En effet, Moïse et Élie, c’est-à-dire la Loi et les Prophètes, apparurent en train de s’entretenir avec le Seigneur. Ainsi, par la réunion de ces cinq hommes s’accomplirait de façon certaine la prescription: Toute parole est garantie par la présence de deux ou trois témoins (Dt 19,15).
Qu’y a-t-il donc de mieux établi, de plus solide que cette parole? La trompette de l’Ancien Testament et celle du Nouveau s’accordent à la proclamer; et tout ce qui en a témoigné jadis s’accorde avec l’enseignement de l’Évangile.
Les écrits de l’une et l’autre Alliance, en effet, se garantissent mutuellement; celui que les signes préfiguratifs avaient promis sous le voile des mystères est montré comme manifeste et évident par la splendeur de la gloire présente. Comme l’a dit saint Jean, en effet: Après la Loi communiquée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ (Jn 1,17). En lui s’est accomplie la promesse des figures prophétiques comme la valeur des préceptes de la Loi, puisque sa présence enseigne la vérité de la prophétie, et que sa grâce rend praticables les commandements.
Que la foi de tous s’affermisse avec la prédication de l’Évangile, et que personne n’ait honte de la croix du Christ, par laquelle le monde a été racheté.
Que personne donc ne craigne de souffrir pour la justice, ni ne mette en doute la récompense promise; car c’est par le labeur qu’on parvient au repos, par la mort qu’on parvient à la vie. Puisque le Christ a accepté toute la faiblesse de notre pauvreté, si nous persévérons à le confesser et à l’aimer, nous sommes vainqueurs de ce qu’il a vaincu et nous recevons ce qu’il a promis. Qu’il s’agisse de pratiquer les commandements ou de supporter l’adversité, la voix du Père que nous avons entendue tout à l’heure doit retentir sans cesse à nos oreilles: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis tout mon amour; écoutez-le! (Mt 17,5).

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. 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Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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