Mgr Francesco Follo, eglise.catholique.fr

Mgr Francesco Follo, eglise.catholique.fr

"L’Agneau de Dieu, le Sauveur", par Mgr Follo

Print Friendly, PDF & Email

Commentaire des lectures du dimanche 15 janvier 2017

Share this Entry
Print Friendly, PDF & Email

« L’Agneau de Dieu, le Sauveur » : c’est le titre de la réflexion de Mgr Francesco Follo, Observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO, à Paris, sur les lectures de la messe de dimanche prochain, 15 janvier 2017 (II Dimanche du Temps ordinaire – Année A ; Is 49, 3.5-6 ; Ps 39 ; 1Cor 1, 1-3 ; Jn 1, 29-34).
« Jésus-Christ est l’Agneau immaculé et porte sur ses épaules la croix de nos péchés. Il monte sur la croix et s’immole comme un Agneau sur cette croix. Il porte sur ses épaules nos péchés, absolument tous, et, sur la croix, ils sont lavés par son sang, brûlés par le feu du Saint Esprit qui se propage avec son sang », écrit Mgr Follo.
Et « cette montée sur la croix se renouvelle sacramentellement à chaque Messe », ajoute-t-il. C’est porquoi la « façon privilégiée » d' »introduire cet amour en l’homme est celle de la communion », explique Mgr Follo : « Le but de cette communion est l’assimilation de ma vie à la sienne, ma transformation et conformation à celui qui est Amour vivant ».
Méditation de Mgr Follo 
1) L’Agneau de Dieu et la colombe au Jourdain  et à la Messe.
 Après le temps de Noël qui s’est conclu avec la célébration des trois épiphanies de Jésus (à Bethléem avec les Rois Mages, sur les rives du Jourdain avec le Baptême, à Canaan avec le miracle des 600 litres d’eau transformée en vin), voici le temps ordinaire1 qui, dans le langage courant, évoque non seulement quotidienneté mais répétitivité et monotonie. Au contraire, avec sa liturgie, l’Eglise nous invite à vivre le temps ordinaire comme un prolongement quotidien2 – dans notre humanité, dans notre humble histoire de chaque jour – de ce que nous avons vécu à Noël.
Pour nous aider à prolonger dans notre vie ordinaire ce qui a été célébré dans le temps de Noël désormais terminé, l’Evangile d’aujourd’hui nous propose la rencontre entre Jean Baptiste et le Christ qui commence, au Jourdain, son travail quotidien de sauveur. En effet, Il nous sauve du péché en le prenant sur Lui : « Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde » (Jn 1, 29)3
Un jour qui se présentait comme un jour ordinaire, pendant son « travail quotidien » de prédicateur et de baptiseur, Jean vit parmi les personnes qui allaient chez lui, le Messie tant attendu. Il distingua en un homme dont il ne connaissait pas l’identité, quelque chose de vraiment exceptionnel. Il vit que l’Esprit de Dieu descendait comme colombe sur cet Homme, qu’Il restait sur Lui (cf Jn 1, 32). Il dit à voix haute « Voici l’Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde ».
Deux animaux doux et innocents, images de non-violence et de douceur, sont au coeur de cette révélation: l’agneau et la colombe.
Jésus est l’Agneau doux et innocent qui se laisse conduire à la  mort (cf. Jr 11,19; Is 53,7), en s’offrant à Dieu pour le péché du monde. Cet Agneau qui est l’Aimé, le Bien aimé, est aussi le serviteur du Seigneur (cf. surtout Is 53, 5-6.13) qui prend sur son dos le péché du monde, pour l’enlever de nos épaules et l’effacer des yeux du Père duquel il invoque et obtient la miséricorde et le pardon.
L’Esprit Saint descend sur Jésus comme une colombe parce que l’esprit trouve son nid d’amour en Jésus. Demeurant en Jésus, cette colombe montre que l’amour du Père est établi en Jésus comme en une habitation permanente (cf. Mt 3,16; Mc 1,10; Lc 3,22). Avec les yeux du corps, Jean voit un « simple » homme qui allait chez lui, parmi d’autres hommes qui étaient des pécheurs repentis. Grâce à l’indication de l’Esprit, avec les yeux de l’esprit, le Baptiste reconnaît en son cousin Jésus : le Messie ; il l’indique à tous à haute voix comme l’Agneau de Dieu, en proclamant qu’il venait effacer le péché.
Mais pourquoi ce doux et innocent Agneau doit-il mourir ? De qui est-il victime ? De la colère de Dieu qui s’apaise seulement avec le sang des sacrifices ? De la justice de Dieu, celle qui exige qu’un innocent verse son sang pour payer les offenses ?
Dans l’Ancien Testament, comme le livre de l’Exode nous l’enseigne, le sang de l’agneau sur le jambage des maisons libéra le peuple juif de la mort, et, la viande de l’agneau, mangée au début de l’exode, devient une force pour le chemin d’Israël.
Dans le Nouveau Testament, l’Agneau de Dieu, le Fils  qui s’est fait serviteur, le bon pasteur qui s’est fait agneau, se fait garant non plus et non seulement de la libération  du peuple d’Israël, mais aussi du « monde » entier, de toute l’humanité.
L’Agneau de Dieu est victime de l’amour du Père pour l’humanité. Pour l’homme, Dieu sacrifie son Fils qui sacrifiera sa propre vie pour ses frères en humanité.
Cet Agneau qui conduit à la source de la vie, du bonheur et essuie chaque larme  de nos yeux (cf. Ap 7,14-17), montre une obéissance et un amour qui vont jusqu’à La Croix. Il est le serviteur de Dieu qui prend sur Lui le péché du peuple. Effectivement, « quand le temps de la Miséricorde de Dieu arriva, l’Agneau vint sur la terre et porta le pardon, emportant le péché » (Saint-Augustin d’Hippone, Comment. In Ioan., 7, 5-6)
 L’Agneau-Christ emporte  le péché du monde parce qu’il est le Serviteur innocent par antonomase et il est solidaire avec les pécheurs. Même s’il est conscient de son innocence et de son origine divine, il ne prend pas de distances par rapport aux pécheurs, il se mélange avec eux et, aujourd’hui, avec nous.
2) Le Sacrifice de l’Agneau est un sacrifice de communion.
Jésus-Christ est l’Agneau immaculé et porte sur ses épaules la croix de nos péchés. Il monte sur la croix et s’immole comme un Agneau sur cette croix. Il porte sur ses épaules nos péchés, absolument tous, et, sur la croix, ils sont lavés par son sang, brûlés par le feu du Saint Esprit qui se propage avec son sang.
Ceci qui arrive sur la croix, arrive de nouveau mystérieusement dans le baptême et dans la confession sacramentelle, où le pouvoir de son sang enlève mes péchés.
Cette montée sur la croix se renouvelle sacramentellement à chaque Messe et puisque nous sommes baptisés, nous faisons un seul corps avec lui et comme son corps est sacrifié à la messe, nous aussi nous le sommes avec lui. C’est pour cela que dans la Messe, nous rendons  grâce à Dieu, par Jésus Christ, l’Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde, notre sauveur, qui nous enlève les ténèbres et les ombres de mort, en se donnant lui-même en personne dans la communion eucharistique.
Entrer en communion avec lui, communier, signifie devenir ce que  (ou mieux Celui Qui) nous mangeons et renouveler cet acte d’abandon de nous-même et de notre péché Lui qui vient à nous comme un agneau pour le prendre sur Lui-même.
A chaque Messe, l’Eglise renouvelle le sacrifice  rédempteur du Christ et, par un acte d’un amour intense, Jésus prend sur ses épaules le péché pour l’enlever de nos épaules. Ce n’est pas une expiation4 de sa part. La sienne n’est pas une expiation dans le sens juridique du terme qui est la chose la éloignée du concret de l’amour de Dieu. Son expiation s’unit au pardon qui est la caractéristique du Dieu de Jésus Christ. Le péché est donc enlevé non seulement parce qu’il est supprimé mais parce que l’Amour est introduit en l’homme.
Pour continuer à introduire cet amour en l’homme, la façon privilégiée est celle de la communion : Communier en assumant la chair de l’Agneau de Dieu qui s’est fait nourriture pour nous et entrer dans la communion avec la personne du Seigneur vivant. Cette communion, cet acte du « manger », est réellement une rencontre de deux personnes, c’est un « laisser pénétrer » par la vie de celui qui est le Seigneur, de celui qui est notre créateur et rédempteur. Le but de cette communion est l’assimilation de ma vie à la sienne, ma transformation et conformation à celui qui est Amour vivant.
Dans ce contexte, je désirerais rappeler l’importance du témoignage virginal  en relation  avec le mystère de l’Eucharistie. En effet, le mystère eucharistique manifeste un rapport intrinsèque avec la virginité consacrée qui est l’expression de la consécration exclusive de l’Eglise au Christ qui l’accueille comme son Epoux avec une fidélité radicale et féconde.
Dans l’Eucharistie, les vierges consacrées trouvent l’inspiration et l’aliment pour leur dévouement total au Christ. En anticipant les « noces de l’Agneau » (Ap 19,7.9), ces femmes consacrées dans le monde se confient complètement à l’Agneau eucharistique et témoignent qu’Il est le confort et la raison pour être, même aujourd’hui, signe de l’amour gratuit et fécond que Dieu a envers l’humanité.(cf rituel de consécration des vierges n°24 : Et toi, Dieu toujours fidèle, sois leur fierté, leur joie, leur amour ; sois pour elles consolation dans la peine, lumière dans le doute, recours dans l’injustice ; dans l’épreuve, sois leur patience, dans la pauvreté, sois leur patience, dans la pauvreté, leur richesse, dans la privation leur nourriture, dans la maladie leur guérison. »
Ces femmes témoignent que le Christ qui est la miséricorde de Dieu fait chair, nous transforme, en nous assimilant à Lui. Il nous rend capables de vivre selon sa même logique de donation et transfigure notre quotidien. Si nous avons besoin d’aide, Il est la force. Si nous avons peur de la mort, Il est la vie. Si nous désirons le ciel, Il est la vie. Si nous voulons fuir les ténèbres, Il est la lumière. Si nous cherchons la nourriture, Il est l’aliment « (cfr Saint-Ambroise).
Lecture Patristique
Saint Augustin d’Hippone
Homélie XVIII
1. L’homme est indolent et enclin à se perdre, non par la condition même de la nature, mais par une indolence volontaire. Voilà pourquoi elle a besoin de remontrances multipliées; et c’est pour cela que saint Paul, écrivant aux Philippiens, disait: «Il ne m’est pas pénible, et il vous est avantageux que je vous écrive les mêmes choses». (Ph 3,1) Quand une fois la terre a reçu la semence, elle porte aussitôt du fruit et n’a pas besoin de nouvelles semailles; mais il n’en est pas ainsi de notre âme: après y avoir souvent jeté la semence et l’avoir cultivée avec grand soin, on est trop heureux encore, si elle a reçu une seule fois la graine. En effet, ce qu’on dit ne s’imprime pas tout d’abord dans l’esprit, parce que le sol est très-dur, encombré d’épines, et que l’âme est entourée d’une multitude d’ennemis qui ne cherchent qu’à lui tendre des piéges et à arracher la semence. En second lieu, après que la semence est entrée et a jeté des racines, il faut les mêmes soins pour que la tige se fortifie, qu’elle croisse et porte son fruit et que rien ne l’en empêche. A l’égard des semences, on peut dire que l’épi une fois formé et parvenu à toute sa vigueur, n’a plus de peine à braver la nielle, la sécheresse, ni les autres dangers; mais à l’égard de la doctrine, il n’en est pas de même: même après que l’oeuvre est achevée, un orage qui survient, des difficultés, des troubles qui naissent, les embûches des méchants, une foule de tentations peuvent renverser tout l’édifice.
Ce n’est pas sans raison que nous disons tout ceci; mais, comme Jean-Baptiste répète les mêmes choses, c’est afin que vous ne le preniez pas pour un conteur importun. Il aurait bien voulu qu’il lui eût suffi de parler une fois pour se faire entendre; mais, s’apercevant que l’assoupissement où étaient plongés la plupart de ses auditeurs, les empêchait de comprendre sur-le-champ ce qu’il leur enseignait, il les réveille par ces répétitions; mais vous-mêmes, soyez attentifs, Jean-Baptiste a dit: «Celui qui vient après moi est avant moi». Et: «Je ne suis point digne moi-même de dénouer les cordons de ses souliers», et: «C’est lui qui vous baptisera dans le Saint-Esprit et dans le feu»; et qu’il «a vu le Saint-Esprit descendre comme une colombe et demeurer sur lui, et il a rendu témoignage qu’il est le Fils de Dieu». (Mt 3,11). Et personne n’y a fait attention, nul ne l’a interrogé ou lui a dit: Pourquoi dites-vous ceci, à quel sujet, pour quelle raison?
Il a dit encore: «Voilà l’agneau de Dieu, (183) qui ôte le péché du monde»: et ils n’en sont ni plus touchés, ni moins nonchalants. Voilà pourquoi il est dans l’obligation de répéter les mêmes choses, d’en user comme un laboureur qui voudrait amollir une terre dure et en friche à force de la remuer, de soulever par la parole comme avec la charrue leur esprit lourd et pesant, afin que la semence qu’il y jettera ensuite puisse pénétrer plus avant; voilà pourquoi il ne fait pas de longs discours, n’ayant en vue que de les amener à Jésus-Christ. Il savait bien que s’ils avaient une fois accueilli avec soumission sa parole, ils n’auraient plus besoin, à l’avenir, de son témoignage: comme effectivement il arriva. Car si les samaritains, aussitôt qu’ils l’ont entendu parler, disent à la femme qui le leur avait annoncé: «Ce n’est plus sur ce que vous nous avez dit que nous croyons en lui; car nous l’avons ouï nous-mêmes, et nous savons qu’il est le Christ, le Sauveur du monde» (Jn 4,42); des disciples devaient être encore plus promptement gagnés, comme véritablement ils le furent; puisque l’ayant suivi et entendu seulement un soir, ils ne retournèrent plus à Jean, mais s’attachèrent si fort à Jésus qu’ils en reçurent le ministère de leur premier Maître, et prêchèrent le nouveau. «André trouva», dit l’évangéliste, «son frère Simon et lui dit: Nous avons trouvé le Messie, c’est-à-dire le Christ». (Jn 1,41)
Ici, mes frères, je vous prie de considérer une chose avec moi; c’est que quand Jean-Baptiste disait: «Celui qui vient après moi est avant moi». Et: «Je ne suis pas digne de dénouer les cordons de ses souliers», il n’a gagné personne; mais que, lorsqu’il a parlé de l’incarnation et tenu un langage moins sublime, c’est précisément alors que les disciples l’ont suivi. Et ce n’est point là seulement à quoi vous devez vous arrêter; mais vous avez à observer encore qu’on n’attire point tant de gens lorsqu’on dit de Dieu des choses grandes et relevées, que lorsqu’on parle de sa clémence, de sa miséricorde, et de ce qui regarde le salut des auditeurs. En effet, ils ont ouï que Jésus ôtait le péché, et aussitôt ils sont accourus. S’il est possible de laver nos péchés et nos crimes, disaient-ils, pourquoi temporisons-nous? il y a quelqu’un ici qui sans peine et sans travail nous en délivrera; ne serait-il pas d’une extrême folie de remettre à un autre temps pour recevoir un si grand bienfait? Que les catéchumènes écoutent ceci, eux qui remettent leur salut, qui diffèrent de recevoir le baptême, jusqu’au dernier souffle de vie.
«Jean était encore là» (Jn 1,35), dit l’Ecriture, «et il dit: Voilà l’agneau de Dieu» (Jn 1,36). Jésus-Christ ne parle point, c’est Jean qui dit tout: l’Epoux a coutume de faire de même, il ne dit rien à l’épouse; mais il se présente et se tient dans le silence. D’autres l’annoncent et lui présentent l’épouse. Elle paraît et l’époux ne la prend pas lui-même, mais il la reçoit des mains d’un autre. Après qu’il l’a ainsi reçue d’autrui, il se l’attache si fortement qu’elle ne se souvient plus de ceux qu’elle a quittés pour le suivre. La même chose s’est passée à l’égard de Jésus-Christ. Il est venu pour épouser l’Eglise, il n’a rien dit lui-même, il n’a fait que se présenter. Jean, l’ami de l’époux, a mis dans sa main la main de l’épouse, en d’autres termes, les âmes des hommes persuadés par sa prédication; Jésus-Christ les ayant reçus, les a comblés de tant de biens, qu’ils ne sont plus retournés à celui qui les lui avait amenés.
2. C’est n’est point là seulement, mes frères, sur quoi vous devez porter votre attention: comme dans les noces, ce n’est pas l’épouse qui va trouver l’époux; mais l’époux qui court avec empressement vers l’épouse, fût-il lui-même fils de roi, et l’épouse fût-elle au contraire de basse condition, voire même une servante; ici de même la nature de l’homme n’est point montée au ciel, mais l’époux s’est lui-même abaissé jusqu’à cette vile et méprisable nature. Et après la célébration des noces, l’époux n’a pas permis qu’elle demeurât davantage ici-bas, mais l’ayant prise avec soi, il l’a menée dans la maison paternelle.
Mais pourquoi Jean-Baptiste ne tire-t-il pas ses disciples à l’écart, pour les instruire de ces grandes vérités, et les donner ensuite à Jésus-Christ? Pourquoi leur dit-il en public et en présence de tout le monde: «Voilà l’agneau de Dieu?» (Jn 1,36) C’est de peur que la chose ne parût concertée. Si ses disciples eussent été trouver Jésus-Christ à la suite d’exhortations particulières et comme pour lui faire plaisir, peut-être auraient-ils eu hâte de s’en aller mais s’étant au contraire portés à suivre Jésus-Christ sur ce qu’ils avaient publiquement ouï dire de lui, ils ont persévéré avec fermeté, et sont devenus de fidèles disciples; comme l’ayant suivi, non par complaisance pour leur [185] maître, mais pour leur propre utilité et leur avantage.

1 L’année liturgique est composé par le Temporal et le Sanctoral. Le premier comprend le cycle de Noël avec les temps de l’Avent et de Noël ; le cycle de Pâques avec le Carême et Pâques; et les 34 dimanches du Temps Ordinaire. Le Sanctoral comprend les jours dans lesquels la liturgie célèbre la mémoire des Saints.Le Triduum de Pâques, dès qu’il rappelle la passion, la mort et la résurrection de Jésus, est le centre et le sommet de l’année liturgique. L’année liturgique commence avec l’Avent et se termine avec la Solennité du Christ Roi, qui est célébrée le 34e dimanche du Temps Ordinaire.
2 Le temps ordinaire est le temps de la marche vers le Royaume en tant que condition quotidienne. En ce que l’on appelle «moments forts», nous restons toujours pèlerins, mais avec des arrêts marqués par un engagement à la connaissance et la participation aux mystères de Jésus que nous célébrons; chaque dimanche du temps ordinaire nous fait célébrer la Pâque du Seigneur, l’événement qui nous permet la foi, l’espérance et la charité sur la route qui conduit au Royaume de Dieu.
3 La phrase «Voici l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde» peut aussi être traduite par: «Voici l’Agneau de Dieu qui prend sur lui le péché du monde». Le verbe « airo » grec que l’Evangéliste et Apôtre Jean met sur les lèvres de Jean-Baptiste «Voici l’Agneau de Dieu qui enlève les péchés du monde » ne signifie pas seulement « conduire », « prendre sur ses épaules » mais aussi « enlever ».Avec ces mots, l’Evangéliste Jean fait référence au quatrième chant du Serviteur du Seigneur (Is 53,1 à 12), au bouc émissaire (Lv 14: 12-13) et à l’agneau pascal (Ex12: 1 -14; Jn 19,36) qui devient le symbole de la rédemption.
4 Dans le langage courant, le verbe «expier» a acquis un sens négatif, au sens de « s’acquitter d’une pénalité». Peu importe si le coupable accepte ou pas le jugement de condamnation: s’il souffre, il expie. Tandis que l’idée biblique de «l’expiation» est celle de «mettre fin au mal ». Dans la première lettre de Jean, nous lisons: «En ça c’est l’amour: ce n’est pas nous qui a aimé Dieu, mais c’est Dieu qui nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime de l’expiation pour nos péchés» (1 Jn 4,10). Toutefois, il serait plus juste de rendre « victime de l’expiation » avec « outil de pardon. » Ici, l’expiation doit être comprise comme purification, et non pas comme une punition de remplacement et comme sacrifice « en compensation » pour les dommages causés par le péché. Jésus n’a pas été condamné par Dieu à notre place, même s’il a souffert à notre place et pour notre bénéfice. L’amour du Père a fait du Fils sur la croix un instrument de purification de nos péchés, le pont de réconciliation avec nous, pécheurs.
Share this Entry

Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

FAIRE UN DON

Si cet article vous a plu, vous pouvez soutenir ZENIT grâce à un don ponctuel