« D’année en année, constatait Jean-Paul II, votre mission est devenue plus complexe: des épisodes de violence et de terrorisme ayant fortement ébranlé la sécurité de nos villes. Les moyens de surveillance s’intensifiant, éduquer à la paix apparaît chaque jour plus clairement comme une priorité ».
Le pape évoquait les « multiples drames de notre époque » et soulignait le « risque » de « céder au fatalisme, comme si la paix était un objectif pratiquement inaccessible ».
Il exhortait: « Ne succombons pas à cette tentation. L’éducation à la paix, avec ses exigences concrètes, doit continuer d’être l’objet de l’attention permanente de tous ».