« Dans le silence et la prière, écrit le pape, les Carmélites rappellent le primat de Dieu à tous les croyants et, en particulier à ceux qui sont engagés dans un apostolat actif. En se consacrant totalement à la recherche de Dieu, elles témoignent de ce qu’il est la source où la personne se réalise pleinement et la source de toute activité spirituelle ».
Le pape citait en particulier l’exemple de la bienheureuse Françoise d’Amboise, « considérée comme la fondatrice des moniales carmélites en France », et son travail « en étroite harmonie avec le bienheureux Soreth ».
En Italie, le pape citait aussi celui de la bienheureuse Giovanna Scopelli, et la bienheureuse Girlani, « qui a choisi le nom « d’Arcangela » parce qu’elle désirait se consacrer complètement à la louange de Dieu comme les anges dans le ciel ».
A Florence, le pape citait sainte Marie Madeleine de’ Pazzi, comme « exemple éminent de zèle apostolique et ecclésial et miroir d’une recherche incessante de Dieu et de sa gloire ».