Le martyrologe romain fait aujorud’hui mémoire de sainte Thérèse-Marguerite du Sacré Cœur de Jésus, vierge (1747-1770), l’une des grandes mystiques italiennes, canonisée en 1934 par le pape Pie XI.
Au siècle, Anne-Marie Redi était originaire d’Arezzo, dans le sud de la Toscane. Elle avait dix-sept ans lorsqu’elle entra au monastère Sainte-Thérèse des carmélites déchaussées de Florence, en 1764.
Sous son nom religieux de sœur Thérèse-Marguerite du Sacré Cœur de Jésus, elle vécut pendant cinq ans une vie de prière et de pénitence, d’offrande d’elle-même et d’humilité: de son vivant déjà, elle était en odeur de sainteté. Sa course fut brève: elle mourut à vingt-deux ans, le 7 mars 1770.
Son visage nous est connu par un « portrait authentique » de la jeune sainte toscane, commandé par son père, Ignazio Redi, et conservé à la maison mère des carmélites de Rome.