« Le bruit ne fait pas de bien. Le bien ne fait pas de bruit »

« Le bruit ne fait pas de bien. Le bien ne fait pas de bruit »
Saint François de Sales

Dans cette année jubilaire 2025 de grande joie, Martin Gardey de Soos  a produit son show immersif L’homme qui plantait des arbres de Giono à Rome sur la colline de l’Aventin.

Ce spectacle sur le texte manifestement poétique de l’écologie a été interprété devant les membres éminents du Festival de la beauté, sous l’égide de feu Mickaël Lonsdale et du bienheureux fondateur des « Types louches » Pier Giorgio Frassati.

M. Gardey de Soos

Martin interprète avec brio ce texte. Les sons de la nature sont portés par le public enthousiaste. Nous saluons la présence de Mgr Robert le Gal qui a apprécié le spectacle « une très belle manière d’entrer dans le jubilé : la voix de l’acteur nous conduit vers la joie, la paix, l’émerveillement ». Mgr Donatien évêque de Madagascar a aussi beaucoup aimé. Daniel et Anne Facérias, organisateurs, le P. Raquet, artiste dans le sacerdoce, Sœur Maria Luisa, Luz ont contribué à ce succès. M. Martin Gardey de Soos invite ses followers à la suivre sur les réseaux Linkedin et Instagram et à partager et commenter ses publications engagées.

Qui est Martin Gardey de Soos ?

Martin Gardey de Soos est né le 29 octobre 1979 à Carcassonne. Il a suivi entre 1999 et 2006 un cursus international en lettres modernes et sciences politiques, avec un an d’études en Angleterre et aux Etats-Unis. Il est passé par l’Institut Albert le Grand où il a obtenu une licence ès lettres, puis à l’IEP de Toulouse, pour un M2 en Relations Internationales.

Il enseigne les lettres depuis 2005. En 2009 il découvre le chef d’œuvre de Giono, L’homme qui plantait des arbres. Emu à l’intime par cette nouvelle et la mise en scène de Frédéric Back en film d’animation, avec la belle voix de Philippe Noiret, il n’a de cesse d’en faire goûter la beauté à ses élèves, à ses rencontres, à ses spectateurs.

En 2010 Martin de Soos, professeur et poète, fils de gentleman farmer s’est vu conseillé la lecture d’un livre par une bibliothécaire passionnée. C’est une nouvelle écrite en 1953. Il s’agit de Jean Giono, L’homme qui plantait des arbres. Le temps passait et le livre et l’adaptation dessin animé de Frédérick Back avec la voix de Philippe Noiret exceptionnelle, nourrissait son âme franciscaine, amoureuse de la nature. Il fallait qu’il en fasse quelque chose. C’est ainsi qu’il se mit à travailler sur une adaptation pour un seul en scène. Ce « spectacle » est une ode à la nature, un encouragement réel à planter des arbres. Aujourd’hui M. de Soos est artiste dramatique avec son spectacle mise en scène de la nouvelle de Giono. Il l’a joué à 70 reprises, au festival off d’Avignon en 2024, au centre pénitentiaire de Valence, à la cathédrale de Nanterre, récemment à Rome, bientôt à Genève.

Fidèle à l’esprit et au texte de Giono, M. de Soos interprète une mise en scène sobre et donne vie à cette nouvelle par sa présence et ses inflexions. Les spectateurs sont tenus en haleine par les modulations de sa voix : les images jaillissent au fil du récit. Martin a l’habitude à la fin de son spectacle d’offrir une graine, un pépin, un noyau à planter pour que le spectateur devienne l’homme qui plante des arbres. Après avoir salué, Martin en véritable showman offre un giant check en tapant la main de chaque spectateur.

Une ode à la nature, au travail, à l’opiniâtreté, à la patience, à l’humilité et à la ruralité

Martin Gardey de Soos, Mme Sylvie Giono et son petit-fils Timothé, arrière petit-fils de Jean Giono à Manosque

Jean Giono a écrit L’homme qui plantait des arbres pour « faire aimer planter des arbres ». Un randonneur rencontre Elzéard Bouffier, un berger planteur d’arbres qui fait revivre sa région, en Haute Provence. Avant l’invention du développement durable, la nouvelle livre une illustration poétique en même temps que ce que d’aucuns considèrent comme le manifeste de l’écologie. La nouvelle est également une ode au travail, à l’opiniâtreté, à la patience, à l’humilité, et à la ruralité.

Ce récit a une belle postérité, notamment à travers le film d’animation de Frédéric Back, avec la voix de Philippe Noiret.

En 2021-2022, il joue dans une troupe de théâtre amateur, Indice 2, dirigée par Lydia Héritier. Il monte sur les planches en se promettant d’apprendre de son côté, par la suite un texte qui lui tient à cœur.  Il s’attaque alors en juin 2022 à l’apprentissage de L’homme qui plantait des arbres. Grâce au concours bienveillant de Brigitte Couston, il affine son interprétation.

Il aime écrire : publication en 2012 du recueil de poèmes MMM IIIe Millénaire aux éditions Edilivre. En 2023 il prépare un deuxième recueil intitulé Impressions Photographiques. Il a suivi en 2022-2023 la Master class d’écriture The Artist Academy avec Eric-Emmanuel Schmitt, Bernard Minier, Bernard Werber. Il amorce l’écriture d’un roman, Vers une forêt méditerranéenne.

Pourquoi mettre en scène cette nouvelle L’homme qui plantait des arbres ?

Au festival Paysage in Marciac, été 2023

A l’heure des perturbations climatiques et de l’état de la planète aujourd’hui, Martin Gardey de Soos a décidé de faire connaître l’itinéraire exceptionnel de ce planteur d’arbres : Elzéard Bouffier. Ce spectacle, construit sur cette nouvelle inspirante, est une solution simple et ambitieuse : planter des arbres. Pragmatique, son héros aux vertus de constance et de générosité magnifiées colle au réel et aux défis actuels. C’est pour cela que ce texte est considéré de par le monde comme le manifeste de l’écologie.

En 1957, Jean Giono écrivait au Conservateur des Eaux & Forêts de Digne-les-Bains, Jean Valdeyron le but de sa nouvelle : « faire aimer l’arbre ou plus exactement faire aimer à planter des arbres (ce qui est depuis toujours une de mes idées les plus chères) ».  De son côté, l’artiste fait connaitre et aimer les arbres par son jeu.

Ici c’est le parti pris de la simplicité et de la sobriété.

Les réactions des spectateurs

« Superbe prestation ! Merci pour ce bon moment. » Gilles & Anne Contant, pharmaciens.

« Revue, magnifiée, amplifiée, une interprétation à partager pour un projet de société, un acte de civilisation » Alain Canet, agronome, agroforestier, Président d’Arbres & civilisation, du Centre national d’agroécologie.

« De la nouvelle à l’interprétation, de l’écriture à l’action, une invitation à se rapprocher des arbres » Jean Gersac.

« Bravo ! » Noël Lassus, administrateur d’Arbres et paysages 32.

« Un classique magnifié. » Florine Routier.

« Un spectacle tout public. Ça percute direct : les images défilent. » Paul Petit.

« Bravo ! Très beau spectacle » Marie de Habsbourg.

« On l’a étudié cette année au collège ! Pouvez-vous me le dédicacer ? » Valentina, 11 ans.

Agenda et disponibilités

Martin Gardey de Soos propose son spectacle pour tous : des prisons aux écoles, collèges, lycées, aux salles de théâtre et de cinéma, évènements privés (devis sur demande (prix : 10 à 20 euros par spectateur).

L’année 2025 est l’année des 10 ans d’anniversaire de Laudato Si mais c’est aussi l’année de la vertu de l’espérance.

Un nouveau spectacle est disponible à la vente : une lecture à voix haute à la Luchini de morceaux choisis du Porche du Mystère de la 2^e Vertu de Charles Péguy.

Pour faire jouer sur la scène la plus proche de chez vous, L’homme qui plantait des arbres de Giono ou le Porche du Mystère par M. de Soos, contactez-nous au 06 50 74 60 58 ou la compagnie versuneforet@gmail.com

Attention : écouter ce spectacle déclenche des vocations de planteur d’arbres.

Il prépare deux autre spectacles : en numéro 2 une lecture à voix haute à la Luchini de Charles Péguy, Le porche du mystère de la 2ème Vertu ;  en numéro 3 un stand up d’humour : l’homme-objet.

Toutes les dates sur www.martingardeydesoos.com

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