« Je bénis les santons de l’Enfant Jésus qui seront placés dans la crèche. Lorsque vous priez à la maison, devant la crèche avec les membres de votre famille, laissez-vous attirer par la tendresse de l’Enfant Jésus, né pauvre et fragile parmi nous, pour nous donner son amour »: le pape évoque ainsi ses paroles après l’angélus de ce dimanche 13 décembre 2020, place Saint-Pierre, dimanche de « Gaudete », caractérisé par la joie et symbolisé par les vêtements liturgiques roses.
C’est en effet une tradition que le pape bénisse les santons des « Enfants Jésus » des crèches le troisième dimanche de l’Avent. Et des enfants des patronages de Rome représentaient ceux de leur âge Place Saint-Pierre tandis que d’autres suivaient la bénédiction par écran interposé.
Voici notre traduction rapide, de travail, des paroles du pape François près l’angélus.
AB
Paroles du pape François après l’angélus
Chers frères et sœurs,
Je vous salue tous, Romains et pèlerins.
Je salue ne particulier le groupe qui est venu représenter les familles et les enfants de Rome, à l’occasion de la bénédiction des « Enfants Jésus », rendez-vous organisé par le Centre des patronages romains. Cette année, vous êtes peu nombreux ici à cause de la pandémie, mais je sais que de nombreux enfants et des jeunes sont rassemblés dans des patronages et chez eux et nous suivent grâce aux médias.
Je salue chacun et je bénis les santons de Jésus, qui seront placées dans la crèche, signe d’espérance et de joie. En silence, bénissons les « Bambinelli »: Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Lorsque vous prierez chez vous, devant la crèche avec votre famille, laissez-vous attirer par la tendresse de l’Enfant Jésus, né pauvre et fragile parmi nous, pour nous donner son amour.
Je vous souhaite à tous un bon dimanche. N’oubliez pas la joie! Le chrétien a le cœur joyeux, même dans les épreuves; il est joyeux parce qu’il est proche de Jésus: c’est lui qui nous donne la joie. Et, s’il vous plaît, n’oubliez pas de prier pour moi. Bon déjeuner et au revoir!
(c) Traduction de l’italien par Zenit, Anita Bourdin