Le pape François assure de sa proximité ceux qui sont confrontés aux « conséquences économiques et sociales » du coronavirus Covid-19.
Après l’angélus de ce 19 juillet 2020 place Saint-Pierre, le pape a appelé à nouveau à « un cessez-le-feu mondial et immédiat, qui permette la paix et la sécurité indispensables pour fournir l’assistance humanitaire nécessaire ». Il avait déjà lancé cet appel le 29 mars et le 5 juillet derniers, soutenant une résolution de l’ONU.
Paroles du pape après l’angélus
Chers frères et sœurs,
En ce temps où la pandémie ne montre pas de signe d’essoufflement, je souhaite assurer de ma proximité ceux qui affrontent la maladie et ses conséquences économiques et sociales. J’ai une pensée spéciale pour ces populations, dont les souffrances sont aggravées par les conflits. Sur la base d’une récente Résolution du Conseil de sécurité des Nations unies, je renouvelle mon appel à un cessez-le-feu mondial et immédiat, qui permette la paix et la sécurité indispensables pour fournir l’assistance humanitaire nécessaire.
En particulier, je suis avec préoccupation, ces derniers jours, la reprise des tensions armées dans la région du Caucase, entre Arménie et Azerbaïdjan. Tandis que j’assure de ma prière pour les familles de ceux qui ont perdu la vie durant ces affrontements, je souhaite que, avec l’engagement de la Communauté internationale et à travers le dialogue et la bonne volonté des parties, l’on puisse parvenir à une solution pacifique durable, qui ait à cœur le bien de ces populations bien-aimées.
J’adresse mon salut cordial à vous tous, fidèles de Rome et pèlerins provenant d’Italie et d’autres pays.
Je souhaite à tous un bon dimanche. S’il vous plaît, n’oubliez pas de prier pour moi. Bon appétit et au-revoir.
Traduction de Zenit, Anne Kurian