Le pape s’est encore arrêté sur le rôle des femmes dans l’Église et il a rappelé combien les sœurs sont aimées aux États-Unis.
« Elles sont courageuses, ce sont des femmes courageuses, courageuses, courageuses ! Chacune suit sa Congrégation, ses règles ; il y a des différences, mais elles sont courageuses et c’est pourquoi je ressens l’obligation de les remercier pour ce qu’elles ont fait. »
Quant au succès de cette visite, le pape reprend sa définition du pouvoir comme d’un service. « Je me sens toujours faible, avoue-t-il, dans le sens de ne pas avoir de pouvoir, le pouvoir est quelque chose de passager : aujourd’hui on en a, demain on n’en a pas… C’est important si, avec le pouvoir, tu peux faire du bien. »
Et quant à la question du sacerdoce pour les femmes, il redit que cela ne peut pas se faire, comme l’avait déjà affirmé saint Jean-Paul II. Toutefois, ajoute-t-il, dans l’Église, les femmes sont plus importantes que les hommes » ; nous devons avancer sur une « théologie de la femme ».
© Traduction de Zenit, Constance Roques