Rédaction, Author at ZENIT - Français https://fr.zenit.org/author/redaction/ Le monde vu de Rome Mon, 30 Dec 2024 08:52:32 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.1 https://fr.zenit.org/wp-content/uploads/sites/4/2020/07/9e4929ea-cropped-dfdb632a-favicon_1.png Rédaction, Author at ZENIT - Français https://fr.zenit.org/author/redaction/ 32 32 « Témoins courageux de l’Évangile » – 4 titres, samedi 28 décembre 2024 https://fr.zenit.org/2024/12/28/temoins-courageux-de-levangile-4-titres-samedi-28-decembre-2024/ Sat, 28 Dec 2024 08:58:17 +0000 https://fr.zenit.org/?p=204208 Épiphanie : un enfant confié par sa Mère à notre amour

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Toute l’équipe de Zenit vous souhaite une belle octave de Noël et une sainte année 2025. Un bulletin d’information spécial sera diffusé le mercredi 1er janvier 2025. Vous retrouverez vos bulletins habituels à partir du lundi 6 janvier 2025.

 

https://fr.zenit.org/2024/12/29/de-la-sainte-famille-apprendre-lecoute-reciproque/

 

« Témoins courageux de l’Évangile »

« La cathédrale de la douleur et de l’espoir »

Épiphanie : un enfant confié par sa Mère à notre amour, par Mgr Follo

Nostra ætate relu 60 ans plus tard

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« La cathédrale de la douleur et de l’espoir » https://fr.zenit.org/2024/12/28/la-cathedrale-de-la-douleur-et-de-lespoir/ Sat, 28 Dec 2024 08:54:01 +0000 https://fr.zenit.org/?p=204213 Paroles du pape après l'Angélus du jeudi 26 décembre 2024

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Je vous renouvelle tous mes vœux de saint Noël. Ces jours-ci, j’ai reçu de nombreux messages et signes de proximité. Je vous remercie. Je vous remercie tous de tout cœur : chaque personne, chaque famille, les paroisses et les associations. Merci à tous !

Hier soir a commencé la fête des lumières, Hanoukka, célébrée pendant huit jours par nos frères et sœurs juifs du monde entier, à qui j’adresse mes vœux de paix et de fraternité.

Je vous salue tous, Romains et pèlerins d’Italie et de divers pays. Je pense que beaucoup d’entre vous ont fait le voyage de pèlerinage qui mène à la Porte Sainte de la Basilique Saint-Pierre. C’est un bon signe, un signe qui exprime le sens de notre vie : aller vers Jésus, qui nous aime et ouvre son cœur pour nous faire entrer dans son Royaume d’amour, de joie et de paix. Ce matin, j’ai ouvert une Porte Sainte, après celle de Saint Pierre, dans la prison romaine de Rebibbia. C’était, pour ainsi dire, « la cathédrale de la douleur et de l’espoir ».

L’une des actions qui caractérisent les jubilés est la remise des dettes. J’encourage donc tout le monde à soutenir la campagne de Caritas Internationalis intitulée « Turn debt into hope », pour soulager les pays opprimés par des dettes insoutenables et promouvoir le développement.

La question de la dette est liée à celle de la paix et du « marché noir » des armes. Finie la colonisation des peuples par les armes ! Travaillons pour le désarmement, travaillons contre la faim, contre la maladie, contre le travail des enfants. Et prions, s’il vous plaît, pour la paix dans le monde ! La paix en Ukraine tourmentée, à Gaza, en Israël, au Myanmar, au Nord-Kivu et dans tant de pays en guerre.

Je souhaite à tous une belle journée de célébration. N’oubliez pas de prier pour moi. Bon appétit et arrivederci !

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La cause de béatification du roi Baudouin avance – 8 titres, mardi 24 décembre 2024 https://fr.zenit.org/2024/12/24/la-cause-de-beatification-du-roi-baudouin-avance-8-titres-mardi-24-decembre-2024/ Tue, 24 Dec 2024 10:32:20 +0000 https://fr.zenit.org/?p=204140 Où et quand Jésus est-il né ?

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La cause de béatification du roi Baudouin avance

Une lettre de sainte Bernadette Soubirous a été retrouvée 

« Écoutons la voix des innocents ! »

Terre Sainte : Une « attention particulière » aux enfants de Gaza ce Noël

Les pêcheurs sri-lankais attendent Noël avec espoir

Où et quand Jésus est-il né ?

Découvrir le vrai visage de saint Nicolas

 

Les États-Unis et leur ambassade au Vatican

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Découvrir le vrai visage de saint Nicolas https://fr.zenit.org/2024/12/23/decouvrir-le-vrai-visage-de-saint-nicolas/ Mon, 23 Dec 2024 19:38:09 +0000 https://fr.zenit.org/?p=204131 Un créateur brésilien reconstruit le visage du Père Noël 

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Le processus de reconstruction s’est appuyé sur des techniques d’approximation faciale qui utilisent les restes de squelettes pour en déduire les caractéristiques physiques. Cette méthode, largement utilisée en médecine légale, fait le lien entre l’archéologie et la visualisation moderne.

Pendant des siècles, Saint-Nicolas de Myre, un évêque d’Asie mineure du IVe siècle, a été entouré de mythes et de légendes. Largement reconnu comme l’inspirateur du Père Noël, sa réalité historique a souvent été éclipsée par l’image joviale de son homologue moderne vêtu de rouge. Mais maintenant, grâce au travail innovant du concepteur brésilien Cícero Moraes et de son équipe, l’homme derrière la légende a un visage, réellement.

Une fusion de la science et de la foi

Cícero Moraes, réputé pour ses reconstitutions numériques de figures religieuses, a collaboré avec des experts pour redonner vie à Saint Nicolas grâce à des techniques avancées de reconstitution faciale médico-légale. Le projet, qui allie la science aux riches traditions de l’Église Catholique, a pour but d’humaniser les reliques du saint vénéré et d’offrir un aperçu du passé. 

M. Moraes a travaillé avec le Dr José Luis Lira, spécialiste des saints catholiques, et le Dr Thiago Beaini, dentiste spécialisé dans l’analyse médico-légale. À partir des données crâniennes recueillies lors de la restauration de la crypte de la basilique Saint-Nicolas de Bari, en Italie, où se trouvent les restes du saint, dans les années 1950, l’équipe a méticuleusement recréé son visage.

Le processus à partir duquel le portrait a été réalisé 

Le processus de reconstruction est basé sur des techniques d’approximation faciale qui utilisent les restes de squelettes pour en déduire les caractéristiques physiques. Cette méthode, largement utilisée en médecine légale, comble le fossé entre l’archéologie et la visualisation moderne. 

« Nous rapprochons les visages des saints de la réalité, offrant un lien tangible avec leur existence historique », explique Moraes. « Il ne s’agit pas seulement de visualiser le passé, mais aussi de favoriser l’empathie et la compréhension. Si la foi transcende l’apparence, un visage peut générer un lien personnel ».

La recherche a été documentée dans un article scientifique publié par Ortog Online, qui détaille les étapes compliquées de la reconstruction.

 Au-delà de l’icône barbue 

Le résultat ? Une image étonnamment humaine de saint Nicolas, dont les traits correspondent à l’époque et à la région où il a vécu, loin du Père Noël jovial du folklore moderne. Cette nouvelle représentation montre un visage solennel et usé par le temps, reflétant la vie d’un homme connu pour son humilité, sa piété et ses actes de générosité.

La reconstitution offre plus qu’un portrait historique ; elle sert également d’outil pour examiner la vie et l’héritage du saint. « En étudiant ses restes, nous n’honorons pas seulement sa mémoire, mais nous découvrons aussi des détails sur sa santé physique, son régime alimentaire et même les conditions de son époque », explique M. Moraes. 

Un visage à retenir, pas à vénérer 

Si le projet a été accueilli avec fascination, M. Moraes s’empresse de souligner que l’image n’a pas pour but de modifier la foi. « La vénération des saints n’est pas basée sur leur apparence physique, mais sur leurs vertus et leurs œuvres », explique-t-il. « Il s’agit d’un pont vers la compréhension, et non d’un pilier de la dévotion.

Renouer avec l’histoire 

Moraes n’en est pas à sa première incursion dans le domaine des reconstitutions religieuses. Il a déjà recréé les visages de personnages tels que Saint Antoine de Padoue et Sainte Catherine de Gênes. Chaque projet rappelle l’interaction durable entre l’histoire, la foi et la science.

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Interview : Le vénérable Pierre Goursat, un humble fondateur – 6 titres, lundi 23 décembre 2024 https://fr.zenit.org/2024/12/23/interview-le-venerable-pierre-goursat-un-humble-fondateur-6-titres-lundi-23-decembre-2024/ Mon, 23 Dec 2024 15:46:20 +0000 https://fr.zenit.org/?p=204079 Dites du bien et non du mal

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Interview : Le vénérable Pierre Goursat, un humble fondateur

Dites du bien et non du mal

Travail et famille : la réflexion du pape aux employés du Vatican à l’occasion de Noël

Admiration et gratitude devant le mystère de la vie

« Ne perdons pas notre capacité d’émerveillement »

 

Le Réseau mondial de prière du pape a un nouveau directeur

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Les États-Unis et leur ambassade au Vatican https://fr.zenit.org/2024/12/23/les-etats-unis-et-leur-ambassade-au-vatican/ Mon, 23 Dec 2024 11:15:59 +0000 https://fr.zenit.org/?p=204069  Quelques éclaircissements

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Dans l’abréviation du département d’État américain, l’ambassade des États-Unis près le Saint-Siège (qui célèbre cette année son quarantième anniversaire) est désignée sous le nom d’« ambassade du Vatican ». Mais il s’agit bien d’une relation États-Unis – Saint-Siège, et non États-Unis – État de la Cité du Vatican.

Un changement d’administration présidentielle entraîne souvent des changements dans le personnel diplomatique américain à l’étranger, en particulier au niveau des ambassadeurs. Cela conduit alors à des spéculations, parfois farfelues, sur le poste d’ambassadeur des États-Unis auprès du Saint-Siège (généralement désigné à tort comme « ambassadeur des États-Unis auprès du Vatican »). Voici donc quelques éclaircissements et démystifications sur ce poste.

 L’entité qui envoie et reçoit les ambassadeurs n’est pas « le Vatican », mais le Saint-Siège. Le terme « Vatican » a plusieurs significations. Le « Vatican » peut être un synonyme du micro-État indépendant connu sous le nom d’«État de la Cité du Vatican » (Stato della Città del Vaticano), créé par les pactes du Latran de 1929. Il peut également désigner l’ensemble des bâtiments adjacents à la basilique Saint-Pierre. Mais l’entité qui envoie et reçoit les ambassadeurs – l’entité avec laquelle les États-Unis entretiennent des échanges diplomatiques complets au niveau des ambassadeurs – est le Saint-Siège.

Qu’est-ce que le « Saint-Siège » ? C’est l’incarnation, aux effets du droit international et de la diplomatie, du ministère de L’évêque de Rome en tant que pasteur universel de l’Église catholique. Le Saint-Siège possède ce que l’on appelle techniquement une personnalité juridique internationale depuis au moins 1500, ce qui signifie que le Saint-Siège a échangé des représentations diplomatiques avec d’autres acteurs souverains (rois, princes, etc.) bien avant que l’État-nation moderne n’existe. Le Saint-Siège a continué à être reconnu comme un acteur diplomatique international même lorsque l’évêque de Rome ne contrôlait aucun territoire souverain entre 1870 et 1929. 

Le Saint-Siège incarne donc le fait que l’évêque de Rome, en tant que pasteur universel de l’Église, est un souverain (bien que d’un genre particulier) qui n’est soumis à l’autorité d’aucun autre souverain.

Dans l’abréviation du département d’État américain, l’ambassade des États-Unis auprès du Saint-Siège (qui célèbre cette année son quarantième anniversaire) est désignée sous le nom d’«ambassade du Vatican ». Mais il s’agit bien d’une relation États-Unis – Saint-Siège, et non États-Unis – État de la Cité du Vatican.

L’ambassadeur des États-Unis auprès du Saint-Siège représente donc un acteur souverain – les États-Unis d’Amérique – auprès d’un autre acteur souverain, le Saint-Siège. Le rôle de l’ambassadeur américain est de transmettre et d’expliquer les points de vue de son gouvernement aux représentants du Saint-Siège et, à son tour, d’expliquer les préoccupations du Saint-Siège au gouvernement américain sur des questions d’intérêt mutuel relatives à la politique mondiale, à la diplomatie et à la vie publique internationale.

L’ambassadeur des États-Unis auprès du Saint-Siège ne représente pas l’Église catholique aux États-Unis auprès de l’autorité centrale de l’Église. Les évêques américains, représentés par le Président et le Vice-président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, se réunissent régulièrement avec le Pape et les hauts fonctionnaires de la Curie Romaine pour discuter des affaires ecclésiastiques américaines. C’est leur responsabilité, et non celle de l’ambassadeur. Tout ambassadeur américain auprès du Saint-Siège qui tenterait d’exercer une influence sur (ou au sein de) la relation entre le Pape et la Curie, d’une part, et l’Église aux États-Unis, d’autre part, serait rapidement déclaré persona non grata par le Saint-Siège et renvoyé chez lui.

Par conséquent, l’idée actuellement répandue par certains charlatans sur Internet et dans les médias sociaux – selon laquelle le candidat de l’administration Trump à l’ambassade du Vatican devrait, entre autres choses, expliquer les vérités sur l’Église catholique aux États-Unis au pape et aux responsables de la Curie Romaine – est totalement infondée, et repose sur une incompréhension fondamentale de la relation en question.

Que peut faire l’ambassadeur des États-Unis auprès du Saint-Siège lorsque l’administration qu’il représente a des points de vue très différents de ceux du Pape et de ses diplomates sur les questions de politique mondiale ? En fait, beaucoup de choses. La défunte ambassadrice Lindy Boggs, qui représentait la deuxième administration Clinton, et l’ambassadrice Callista Gingrich, qui représentait la première administration Trump, ont fait un excellent travail en se concentrant sur les questions sur lesquelles les deux entités souveraines étaient d’accord : la lutte contre la traite des êtres humains ; la liberté religieuse à l’échelle internationale ; les questions morales émergentes dans le domaine de la science et de la technologie ; l’éducation et les soins de santé pour les femmes et les jeunes filles dans les pays en développement. Dans une situation différente, où l’administration américaine concernée et le Saint-Siège étaient, sur la plupart des questions, plus étroitement alignés, l’ambassadeur James Nicholson a rendu un réel service au Saint-Siège et au monde en organisant une conférence à Rome exposant les mensonges scientifiques perpétrés par le mouvement alimentaire « anti-OGM ».

L’ambassadeur américain auprès du Saint-Siège doit-il être catholique ? Non. Et le département d’État pourrait prendre l’ambassade du Vatican plus au sérieux si l’ambassadeur était un fonctionnaire de carrière du service extérieur qui comprendrait le rôle du Saint-Siège dans les affaires mondiales et pourrait le transmettre aux laïcs qui dominent Foggy Bottom.

La chronique de George Weigel « The Catholic Difference » est publiée par Denver Catholic, la publication officielle de l’archidiocèse de Denver.

 *** George Weigel est Distinguished Senior Fellow au Ethics and Public Policy Center à Washington, D.C., où il est titulaire de la chaire William E. Simon en études catholiques.

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Le Réseau mondial de prière du pape a un nouveau directeur https://fr.zenit.org/2024/12/23/le-reseau-mondial-de-priere-du-pape-a-un-nouveau-directeur/ Mon, 23 Dec 2024 10:26:36 +0000 https://fr.zenit.org/?p=204058 Histoire et mission de ce réseau de prière

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Une partie importante du travail du Réseau mondial de prière du pape est la Vidéo du pape, un projet de communication innovant lancé en 2016. Ces vidéos, qui mettent en scène le Saint-Père lui-même, soulignent chaque mois une intention de prière. Elles sont officiellement traduites en 23 langues et adaptées dans au moins 20 autres, avec une portée de plus de 22 millions de personnes dans le monde.           

Le P. Cristóbal Fones, SJ, assumera le rôle de directeur international du réseau mondial de prière du pape © Jésuites À partir du 1er janvier 2025, le père Cristóbal Fones, SJ, assumera le rôle de directeur international du Réseau mondial de prière du pape. Cette œuvre pontificale, créée par le pape François en 2018, promeut la prière au cœur de la mission de l’Église ainsi que la spiritualité du Cœur de Jésus.

La nomination a été faite par le pape François, suite à une recommandation du père général Arturo Sosa. Le père Fones succède au père Frédéric Fornos, SJ, pour un mandat de cinq ans. Il dirigera une nouvelle structure organisationnelle pour le Réseau Mondial de Prière du Pape, conformément aux nouveaux statuts approuvés par le Saint-Père en juillet 2024, aux côtés de deux nouveaux directeurs adjoints : Mme Bettina Raed et le Père Miguel Pedro Melo SJ. 

La mission du Réseau mondial de prière du pape consiste à mobiliser les catholiques par la prière et l’action pour répondre aux défis auxquels l’humanité est confrontée et à la mission de l’Église. Il a été fondé en 1844 sous le nom d’Apostolat de la Prière dans une maison de formation pour jeunes jésuites. Aujourd’hui, elle a évolué pour devenir un mouvement spirituel qui relie des millions de Catholiques dans le monde entier, favorisant un sentiment d’unité et d’objectif commun pour relever les défis de notre temps. 

Le P. Cristóbal Fones, SJ, assumera le rôle de directeur international du réseau mondial de prière du pape © Jésuites Une partie importante du travail du Réseau mondial de prière du pape est la Vidéo du pape, un projet de communication innovant lancé en 2016. Ces vidéos, qui mettent en scène le Saint-Père lui-même, soulignent chaque mois une intention de prière. Elles sont officiellement traduites en 23 langues et adaptées dans au moins 20 autres, avec une portée de plus de 22 millions de personnes dans le monde. 

Une autre initiative clé du Réseau mondial de prière du pape est la plateforme Click To Pray, disponible sous forme d’application mobile et de version web en sept langues. Elle se veut un outil simple, mais concret, pour aider les gens à prier trois fois par jour, en s’inspirant de l’Évangile. Le profil de prière officiel du pape est également hébergé sur cette plateforme. 

Cette année marque le dixième anniversaire de la refondation de l’Apostolat de la Prière en tant que Réseau Mondial de Prière du Pape. En 2014, l’Apostolat de la Prière a subi une transformation significative, initiée en 2010 par le Supérieur Général de la Compagnie de Jésus de l’époque, le Père Adolfo Nicolás, qui a encouragé la réflexion et l’approfondissement de cette tradition spirituelle. Le père Nicolás a invité le père Fornos à Rome pour diriger ce processus de revitalisation. À l’époque, le père Fornos occupait le poste de Coordinateur Européen et avait été auparavant directeur national de l’Apostolat de la Prière en France, où il avait été fondé 180 ans plus tôt. 

Le P. Cristóbal Fones, SJ, assumera le rôle de directeur international du réseau mondial de prière du pape © Jésuites Le pape François a soutenu cette revitalisation, approuvant le processus en 2014 pour souligner que la prière est au cœur de la mission de l’Église. Il a nommé le père Fornos directeur international en 2016 et, en 2018, il a approuvé les statuts qui ont fait du Réseau Mondial de Prière du Pape une         Oeuvre Pontificale, soulignant le caractère universel de sa mission. En 2020, il a érigé le Réseau Mondial de Prière du Pape en une entité juridique canonique et vaticane ayant son siège dans l’État de la Cité du Vatican, pour une période ad experimentum de trois ans. Enfin, le 1er juillet 2024, le pape François a approuvé les statuts définitifs de cette Oeuvre Pontificale, marquant ainsi une nouvelle étape dans son histoire. Le Réseau mondial de prière du pape comprend également une branche jeunesse – le Mouvement eucharistique des jeunes (MEJ). Lors d’une réception organisée pour les médias le 5 décembre à la Curie générale de la Compagnie de Jésus à Rome, le Père Fones a souligné que le Réseau mondial de prière du pape est une mission ecclésiale et universelle. Se référant à la dernière encyclique du pape François, Dilexit Nos, il a souligné que la spiritualité du cœur de Jésus est importante dans un monde qui a perdu son cœur, afin de nous transformer pour construire un monde plus juste et plus fraternel face aux défis contemporains tels que les guerres et les inégalités socio-économiques. C’est dans cette optique que le Réseau mondial de prière du pape propose un itinéraire spirituel intitulé  Le Chemin du Cœur , un chemin de transformation intérieure pour vivre la mission de compassion dont le monde a tant besoin. Il est structuré en neuf étapes et s’inspire des Exercices spirituels de saint Ignace. 

Le P. Cristóbal Fones, SJ, assumera le rôle de directeur international du réseau mondial de prière du pape © Jésuites Le Réseau mondial de prière du pape est actif dans plus de 90 pays, avec des équipes nationales et diocésaines qui diffusent et promeuvent les intentions de prière dans les contextes locaux en utilisant différents moyens, notamment des magazines, des livrets, des dessins, des chants, du matériel éducatif, des activités dans les écoles, les paroisses et autres. De nombreuses congrégations religieuses soutiennent le Mouvement eucharistique des jeunes ou ont intégré l’apostolat de la prière au sein de leur charisme.

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« Je me sens lié à Notre-Dame comme à mon propre destin » https://fr.zenit.org/2024/12/20/je-me-sens-lie-a-notre-dame-comme-a-mon-propre-destin/ Fri, 20 Dec 2024 13:17:16 +0000 https://fr.zenit.org/?p=203937 Interview du cardinal Duka après la réouverture de Notre-Dame de Paris

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Parmi les assistants aux festivités de la réouverture de Notre-Dame de Paris, se trouvait le cardinal Duka, archevêque émérite de Prague. Il nous a accordé une interview que Zenit a l’honneur de publier.

Quelles sont vos impressions sur la réouverture solennelle de la cathédrale Notre-Dame de Paris ?

Mes premières impressions à l’arrivée à Paris étaient un peu compliquées, car nous avons voyagé en petit avion. Le vent a soufflé très fort, le vol a été quelque peu mouvementé et cela a causé du retard. Ensuite, dans le taxi, on avait des difficultés à arriver devant Notre-Dame (bouchons, routes fermées par la Préfecture). Après de longues discussions, nous sommes arrivés et j’ai même réussi à faire passer un confrère dominicain à la cérémonie, à titre d’exception. 

J’ai été surpris par la réouverture. L’assemblée composée par de nombreux représentants de l’État était définitivement différent de ce à quoi on s’attendait. D’une certaine manière, étant à Notre-Dame pour la dixième fois, je dois constater que la cathédrale est à présent lumineuse. Elle a réellement retrouvé tout son éclat. Nous savons qu’avant l’incendie elle était en très mauvais état. C’était en partie une politique de certains gouvernements qui investissaient dans la construction de mosquées tout en négligeant la rénovation des cathédrales. Ce n’est donc qu’une remarque secondaire mais je pense que cette rencontre était très importante et magnifique.

Les vêpres à Notre-Dame ont une longue tradition. Paul Claudel y a retrouvé sa foi. C’est un lieu où a prêché l’un des grands réformateurs de notre ordre en Europe, le père Henri Lacordaire, qui était initialement avocat et athée, puis est devenu prêtre et prédicateur, avant de réformer l’ordre en France et dans le monde entier. Les dominicains tchèques ont également été influencés par le père Cormier, une figure marquante jusqu’à la fin du XXe siècle.

Et puis c’est également un temple où j’ai souvent rencontré et concélébré avec le cardinal Jean-Marie Lustiger. Sa visite avant novembre 1989 pour la Pentecôte reste inoubliable, notamment son sermon où il a présenté ses excuses pour Munich, même si cela n’était pas nécessaire. 

Pour moi, cette cathédrale est aussi liée au célèbre Te Deum célébré par l’illustre écrivain dominicain et réalisateur, oscarisé pour Le dialogue des carmélites, Raymond Léopold Bruckberger, avec qui j’ai échangé de nombreuses lettres. Charles de Gaulle était également présent à cet événement, et quand la fusillade a éclaté depuis la galerie, tout le monde était sous les bancs, sauf deux personnes : le père Bruckberger et Charles de Gaulle, car d’une manière ou d’une autre, il ne s’inclinait jamais et était toujours convaincu que son Dieu le protégeait, ce qui, nous le savons, a eu une signification après les cinquantaines d’attentats. 

Et puis, j’ai donné un sermon ici, la dernière fois, à l’occasion de l’anniversaire de l’ordre dominicain, car la première communauté, déjà organisée, se trouvait à proximité de la Sorbonne. Ils avaient même élu un seul abbé, car il n’y avait pas encore de constitutions. 

Ainsi, je me sens lié à Notre-Dame, comme à mon propre destin, car mon premier amour pour elle est né grâce à Quasimodo, le personnage du sonneur dans le roman Notre-Dame de Paris de Victor Hugo. Pour moi, Notre-Dame est un symbole. Quand elle a brûlé, je l’ai perçu comme un certain signal, une tentative de détruire cette culture et cette civilisation qui sont nées des cathédrales et des universités. Mais nous voyons aujourd’hui que ce n’est pas le cas. La participation de chefs d’État du monde entier, de pays relativement puissants, montre que ce combat culturel n’est pas encore perdu.

Quelle est la signification de la réouverture de la cathédrale pour les Tchèques ?
Le roi Charles IV de Bohème avait bien intégré une épine de la couronne d’épines du Christ, sauvée lors de l’incendie, dans notre couronne. 

Certains disent qu’il l’a achetée, d’autres qu’elle lui a été donnée par l’empereur byzantin. Louis IX l’a rapportée à Paris, et la Sainte-Chapelle a été construite pour elle.

Puis, sous Napoléon, lorsqu’il a construit une nouvelle cathédrale pour l’Empire, à savoir l’église de la Madeleine, celle-ci a inspiré l’église du Sacré-Cœur-de-Jésus à Vinohrady, à Prague. La cathédrale devait rester une cathédrale historique du royaume, car nous savons ce qui s’y est passé. Charles IV a pu la visiter plusieurs fois et a participé à de nombreuses célébrations. Contrairement à nous, qui avons une capitale et une cathédrale principales, les Français ont partagé cela : le couronnement se tenait à Reims, les funérailles à Saint-Denis et Notre-Dame était destinée aux solennités. C’est ici qu’a été couronné, entre autres, Henri IV de Navarre, l’un des protagonistes de la Nuit de la Saint-Barthélemy, lui qui passait d’une confession à l’autre. 

Nous savons que le couronnement de Napoléon a également eu lieu ici, mais le moment où il pose la couronne sur la tête de sa femme Joséphine est une représentation picturale, car elle avait refusé d’être présente à la cérémonie de couronnement, et le maître David, grand artiste, l’y a ajoutée. Grâce à son tableau, nous savons à quoi ressemblait l’autel. Tout comme nous, à Saint-Guy de Prague, nous n’avons pas l’autel gothique d’origine. À Notre-Dame de Paris, nous avons en fait un autel qui nous ramène à l’époque du cardinal Richelieu, qui a également contribué à la décoration de la cathédrale Notre-Dame.

Et puis c’est le XIXe siècle, où l’on sait qu’après les expériences de la révolution jacobine et des communards révolutionnaires, la cathédrale reçoit un tout nouvel aménagement. La Pietà réalisée par le sculpteur Nicolas Coustou en 1715, où une mère voit son fils mort dans ses bras. C’est en quelque sorte une certaine réminiscence de l’histoire française.

Quels autres éléments vous ont surpris ?

J’ai particulièrement apprécié les orgues. Les organistes ici comptent parmi les meilleurs au monde. Puis, il y a le conservatoire de la cathédrale, l’une des écoles les plus respectées. En écoutant l’orgue, je rêvais intérieurement qu’environ dans un an, j’entendrai aussi le nouvel orgue de la cathédrale Saint-Guy. Il sera un peu différent, avec légèrement moins de tuyaux, mais il restera le plus grand orgue de Prague. En République tchèque, le plus grand orgue se trouve dans l’église Saint-Maurice à Olomouc (l’orgue, l’un des plus grands au monde), mais le nôtre aura quelques éléments et innovations différents, ce qui en fera un grand cadeau pour Saint-Guy.

Notre cathédrale a toujours eu, même sous le communisme, de bons organistes. Je dirais que nous avons un peu de concurrence : les orgues dans le monastère des Prémontrés à Strahov, celles de l’église Saint-Jacques à Brno et parfois même celles de l’église Notre-Dame du Týn à Prague, mais cela dépend des caractéristiques de chaque orgue. 

À Notre-Dame, sous le régime de laïcité français, la réouverture montre une fonction différente. Le discours de président Macron, initialement prévu à l’extérieur, a finalement eu lieu à l’intérieur. C’est d’une certaine manière, je dirais, un dépassement du laïcisme. Comme si on le mettait de côté. Un grand candidat à la présidence, Dominique de Villepin, voulait en finir complètement avec le laïcisme et introduire une certaine éducation religieuse dans les écoles. Il considérait cela comme important pour l’enseignement de la culture et de l’histoire. Charles de Gaulle et François Mitterrand ont franchi les limites du laïcisme. Mitterrand, en tant que catholique, est revenu à la foi. Il rendait visite au cardinal Lustiger, qui était à ses côtés lorsqu’il est mort.

Y aurait-il une cérémonie d’ouverture des portes, où Mgr Ulrich frappe à la porte avec sa crosse, similaire en Tchéquie ? Avons-nous une cérémonie différente ?

Chez nous, en Tchéquie, nous avons une cérémonie simplifiée. Notre-Dame est une cathédrale, donc c’était un rite ancien abrégé, avec quelques ajouts modernes et, je dirais, même des éléments propres à Paris.

Comment se déroulera la suite de votre séjour à Paris ?

Demain, après la messe d’inauguration à Notre-Dame, j’ai prévu de visiter la tombe du cardinal Lustiger. Ce n’est pas communément su, mais il était, d’un point de vue ethnique, si je puis le dire ainsi, un pur Juif. Son père et sa mère étaient Juifs et venaient de Silésie, de notre Wrocław, avant de s’installer en France. Ce n’était pas seulement à Paris ou en France, mais une grande partie des jeunes gens qui avaient été sauvés (pendant la Seconde Guerre mondiale) par des familles catholiques ont ensuite choisi le catholicisme. Lustiger était l’un d’eux, mais il portait toujours le nom d’Aron Jean-Marie Lustiger. Aron signifiait qu’il appartenait à la tribu de Lévi, celle des prêtres de l’Ancien Testament descendants d’Aaron, et il mettait cela en avant.

C’était vraiment une personne qui savait vivre son identité, à la fois de Juif croyant et de chrétien croyant. Je ne l’oublierai jamais, car j’ai eu de nombreux échanges avec lui. C’était un homme très érudit. Je le respectais énormément.

Propos recueillis par Alice Muthspiel, radio tchèque

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Pour Noël, le Saint-Père enverra à nouveau son aumônier en Ukraine https://fr.zenit.org/2024/12/20/pour-noel-le-saint-pere-enverra-a-nouveau-son-aumonier-en-ukraine/ Fri, 20 Dec 2024 10:01:48 +0000 https://fr.zenit.org/?p=203912 Avec le don d'un petit hôpital mobile

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Pour les prochaines vacances de Noël, le Saint-Père enverra une nouvelle fois son aumônier en Ukraine.
Chaque jour, le pape François prie pour la paix dans ce pays déchiré par la guerre, mais concrètement, il veut être présent parmi eux en ces jours où nous célébrerons la naissance de Jésus.
Selon un communiqué du Dicastère pour le service de la charité, l’aumônier partira pour l’Ukraine avec le don d’un grand camping-car médical, un hôpital mobile, où l’on peut également pratiquer des opérations chirurgicales et de six échographes qui seront donnés aux hôpitaux détruits et bombardés.
Au cours de son voyage en Ukraine, le cardinal se rendra dans différentes communautés pour rencontrer les personnes qui souffrent.
Il tentera avec eux d’ouvrir la « porte de l’espoir » dans leur cœur et de prier pour la paix tant désirée.

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Belgique : L’Église publie son septième rapport annuel https://fr.zenit.org/2024/12/19/belgique-leglise-publie-son-septieme-rapport-annuel/ Thu, 19 Dec 2024 14:40:03 +0000 https://fr.zenit.org/?p=203803 
Le grand nombre de bénévoles et une expérience de foi pleine d'espoir pour les jeunes à l'honneur

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Communiqué de presse

18/12/2024 – La septième édition du rapport annuel de l’Église catholique en Belgique est publiée aujourd’hui. Le rapport se penche sur l’année civile 2023 et se concentre en particulier sur la contribution des bénévoles dans les paroisses et sur ce que l’Église offre aux jeunes croyants ou en quête de sens.

Les paroisses peuvent compter sur 3,5 millions d’heures de bénévolat par an

L’Église catholique peut compter sur de nombreux bénévoles pour son fonctionnement local dans les paroisses. Pour mieux évaluer le nombre d’heures de bénévolat réalisées dans les paroisses, la Conférence des Évêques de Belgique a commandé une étude. Celle-ci a révélé qu’en 2023, un total de 3.574.925 heures de bénévolat ont été effectuées dans les paroisses.

Le nombre total d’heures de bénévolat dans l’Église (pour les domaines couverts par l’étude) correspond à 2.103 équivalents temps plein. Cependant, une grande partie du bénévolat se déroule également en dehors des structures paroissiales de l’Église catholique.

L’enquête statistique a recensé 76.397 bénévoles actifs dans les services pastoraux au sein des paroisses. Cela correspond à 34 bénévoles pour chaque personne rémunérée par le gouvernement fédéral en tant que ministre du culte.

Sur une base mensuelle, ces bénévoles effectuent 297.910 heures de bénévolat, ce qui représente une moyenne de 3,9 heures par bénévole et par mois. Malgré ces chiffres impressionnants, certaines paroisses signalent des besoins de bénévoles sur le terrain.

L’Église soutient l’expérience de foi vibrante et pleine d’espoir des jeunes

Lors de la visite du pape François dans notre pays à la fin du mois de septembre, le festival de la jeunesse Hope Happening a eu lieu, en plus du programme officiel. Une telle initiative n’est pas un événement ponctuel. Avec un éventail permanent d’activités destinées aux jeunes, l’Église catholique – au niveau mondial, national mais aussi local – répond à la demande de sens et de spiritualité fortement ressentie par les jeunes. L’offre de l’Eglise dans ce domaine est très variée, et témoigne toujours d’une expérience de foi vivante et pleine d’espérance.

Les Journées Mondiales de la Jeunesse, organisées tous les deux ou trois ans dans une grande métropole, sont à cet égard les plus marquantes. Chaque année, un rassemblement de jeunes catholiques est également organisé dans chaque diocèse du monde. En Belgique, il s’agit des rassemblements annuels « Festival JMJ Belgique » et « Sterren van Hoop », qui ont mobilisé l’an dernier quelque 2.000 jeunes autour de marches pèlerines, d’ateliers, de concerts et de célébrations liturgiques.

Par ailleurs, tous les deux à trois ans, un événement international de grande ampleur est organisé dans une métropole. En 2023, c’était à Lisbonne, avec 2 000 participants belges sur un total de 1,5 million de participants. En 2027, c’est la capitale sud-coréenne Séoul qui accueillera les prochaines Journées mondiales de la jeunesse.

Outre ces événements à grande échelle et parfois même mondiaux, beaucoup de choses se passent au niveau diocésain et local. Cette proximité permet aux jeunes d’échanger des expériences avec d’autres croyants dans un environnement accessible et familier. Cela se passe aussi bien lors de moments ludiques qu’à des occasions plus discrètes. De leur côté, les écoles peuvent également être impliquées dans ces propositions pour les jeunes.

 

 

Peter Haegeman

Algemeen secretaris Interdiocesane Pers- en Informatiedienst (IPID)
Secrétaire général Service de Presse et d’Information Interdiocésain (SIPI)

  p.haegeman@interdio.be

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