Un pape pauvre pour les pauvres

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Un an après l’élection, souvenirs du card. Barbarin

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Les prises de paroles du pape « sont incroyablement stimulantes » : « chacun en prend pour son grade… et c’est tant mieux ! », déclare le cardinal Barbarin pour qui le pape François est « un pape pauvre pour les pauvres ».

Un an après l’élection du pape François (13 mars 2013), le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, évoque le conclave et la première année du pape sur le site de l’Eglise catholique de France.

« Je garde précisément en mémoire le moment où le nom de Bergoglio a été cité pour la 77è fois, recueillant ainsi le nombre de voix suffisant pour être élu. »

Le cardinal se souvient des mots que le nouveau pape a prononcés pour accepter son élection : « Je suis un pécheur, mais puisque vous m’avez choisi… ». Vint ensuite le choix de son prénom, « François » en l’honneur de François d’Assise, « un pape pauvre pour les pauvres, un pape missionnaire, un pape de la joie », estime-t-il.

Pour le cardinal, les prises de paroles du pape François « sont incroyablement stimulantes : elles nous bousculent et nous réveillent. Chacun en prend pour son grade, si j’ose dire, et c’est tant mieux ! »

Il se dit « admiratif de son énergie, de sa simplicité, de sa façon si personnelle d’être le successeur de Pierre et de la manière dont il amorce les réformes : une réflexion longue, prudente puis des décisions fortes, difficiles, et par-dessus tout, des objectifs très clairs et qui sont partagés par tous ».

Évoquant l’exhortation apostolique Evangelii Gaudium, le cardinal y voit « une feuille de route pour toute l’Église » : « il nous replace dans un élan missionnaire et nous invite à cultiver la joie ». « La joie de l’Évangile qui se propage, c’est le sourire de Dieu sur notre monde », conclut-il.

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ZENIT Staff

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