Roi de tout, et réellement nouveau

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Fête du Christ Roi de l’univers, dimanche, 23 novembre 2014

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Rite Romain

Ez 34,11-12.15-17; Ps 22; 1Co 15,20-26.28; Mt 25,31-46

1) Roi Pasteur.

En ce dimanche du Rite romain, nous célébrons le Christ Roi de l’Univers (1), souverain 

d’un Règne de miséricorde, de justice et de paix, fondé sur le don de lui-même pour nous, sur la 

Croix.

Jésus n’est pas descendu du trône de la croix parce que c’est à partir de la croix qu’il règne et gouverne le Règne nouveau et heureux. De son scandaleux trône, le Seigneur Jésus nous regarde droit dans les yeux comme il regarda le bon larron et il nous dit : « Aujourd’hui, tu seras avec moi au Paradis, dans le Royaume éternel, dans l’amour infini ».

Le Royaume de la Terre devient le Royaume du Ciel grâce à la croix, d’où Il nous offre son amour de Roi Pasteur, comme nous l’indique la première lecture du livre d’Ezéchiel.

En effet, Ezéchiel (34,11-17), déçu par les pasteurs d’Israël (rois, prêtres et maîtres) qui pensent à eux-mêmes au lieu de penser au troupeau, rêve d’un pasteur différent : un pasteur qui ne « disperse » pas mais qui « rassemble », un pasteur qui conduit ses brebis dans les pâturages et les fait reposer ; un pasteur qui va à la recherche de la brebis égarée et panse celle qui est blessée. 

Ce sont des traits que nous retrouvons dans les évangiles, appliqués à Jésus.

Le Christ est le vrai pasteur qui s’occupe de son troupeau et qui va à la recherche de toutes les brebis égarées parce qu’aucune d’elles ne peut être isolée de son amour et de son regard de bonté divine. Le Christ exerce sa royauté comme bon pasteur parce que sa royauté que nous célébrons aujourd’hui est la royauté de l’amour et du service, du don, de miséricorde.

2) Roi de la vie.

Dans la deuxième lecture, le passage de la première lettre aux Corinthiens nous aide à comprendre succinctement la signification de la solennité du Christ Roi. L’Apôtre Paul nous parle de la vraie royauté du Christ qu’Il exerce dans le mystère de sa mort et de sa résurrection. Après avoir surmonté la barrière de la mort corporelle, Il exercera cette royauté pleinement, lorsqu’Il fera surmonter cette barrière à toute l’humanité lors du jugement universel. En effet, la mort sera pour nous le dernier « ennemi » à abattre, tandis qu’aujourd’hui, nous y pensons comme à une transition vers l’éternité dont il ne faut pas avoir peur parce que le Christ a vaincu la mort. Il a tout gagné.

Inspirés donc par Jésus, notre Roi bien aimé et Seigneur de l’univers, prions Dieu le Père, qui a inauguré son Règne d’amour avec la résurrection du Christ pour qu’Il nous rende ouvriers passionnés et sincères afin que la royauté de Son Fils soit reconnue dans chaque coin de la terre. 

A la fin de l’année liturgique, temps de sainteté er de perfection dans la charité, unissons-nous à la prière du prêtre célébrant et, avec lui, disons : « Dieu tout-puissant et éternel qui a voulu renouveler les choses en Christ ton fils, Roi de l’univers, fais que chaque créature, libre de l’esclavage du péché, te serve et te loue sans fin ».

3) Roi Juge.

C’est la troisième lecture liturgique, l’Evangile selon St Mathieu (25,31-46), qui nous montre le côté le plus surprenant de la royauté de Jésus. La parabole du jugement (Mt 25,31-36) est une page intéressante non seulement pour la force de son message, mais aussi pour la suggestion de sa mise en scène. Il y a trois parties : l’introduction qui présente l’arrivée glorieuse du Fils de l’homme, la convocation des peuples et leur séparation (25,31-33); le dialogue du roi qui parle d’abord avec ceux de droite et ensuite avec ceux de gauche (25,34-45); enfin la conclusion qui décrit l’exécution des sentences (25,46).

Dans cette parabole, nous voyons le Roi Juge qui juge avec amour et avec compréhension, mais aussi avec des règles bien précises qu’Il a lui-même dictées pour le salut éternel de ses fils.

La règle fondamentale est la charité vécue, attestée et concrétisée par des comportements et des actions simples, comme celles de donner à manger, à boire, assister, être proche de celui qui est dans la douleur, dans la souffrance, dans la marginalisation. La chose émouvante est que Dieu ne nous juge pas en parcourant la liste de nos faiblesses mais celle de nos gestes de bonté. Il n’examinera pas nos ombres mais il tiendra compte des semences de lumière et du bien que nous avons semé. Si, comme David, dans le psaume des pleurs et du repentir, nous disons : « Détourne ton regard de mon péché », Dieu exauce notre cri de douleur, nous confirme dans son amour, et le dernier jour, il détournera son regard du mal et le fixera pour toujours sur le bien, simple et concret parce que Dieu a lié le salut au don d’un peu de pain, d’un verre d’eau, d’un vêtement, de pas pour aller visiter un malade ou un pauvre. Certes, Dieu ne s’est pas lié aux choses, mais au cœur de celui qui se sert des choses. Saint-Jean de la croix écrivit : « A la fin de la vie, nous serons jugés sur l’amour ».

C’est cela la grandeur de la foi chrétienne évangélique : la confrontation suprême entre l’homme et Dieu n’est pas le péché mais le bien. La mesure de Dieu est, par conséquence, la mesure de l’homme et celle de l’histoire est le bien, c’est l’amour de Dieu. Notre futur, ciel et paradis, est généré du bien que chacun de nous a donné aux innombrables « Lazare » de la terre, qui méritent bien plus que les miettes qu’ils demandent. Le jugement de Dieu est l’acte qui exprime la dernière vérité de l’homme, et pour la trouver, ce n’est pas nous qu’Il regardera mais regardera autour de nous : nos relations, la partie de pauvres, de larmes et d’amours qui nous a été confiée et que je dois garder avec ma vie. S’il y a quelque chose d’éternel en nous, si quelque chose de nous reste lorsqu’il ne reste plus rien, cette chose est l’’Amour.

4) Marie, Reine du Ciel et de la Terre.

Parmi toutes les créatures de l’univers, Dieu a choisi la Vierge Marie pour l’associer à la royauté de son Fils fait homme. Notre Dame distribue royalement et maternellement ce qu’elle a reçu de son Fils Roi. Avec sa puissance, Elle protège nous, ses enfants reçus aux pieds du Trône de la Croix et nous donne la joie avec ses dons, car le Roi a demandé que chaque grâce passe à travers ses mains de reine généreuse et maternelle.

Que Marie nous apprenne à témoigner avec courage du Règne de Dieu et à accueillir le Christ comme le Roi de notre existence et de l’univers entier.

Les vierges consacrées dans le monde sont appelées à ce témoignage d’une façon particulière. Comme le Catéchisme de l’Eglise Catholique aux numéros 922 – 923 nous l’apprend : « Depuis les temps apostoliques, il y eut des vierges chrétiennes qui, appelées par le Seigneur afin de se donner exclusivement à lui, dans la plus grande liberté de cœur, de corps et d’esprit, ont pris la décision, approuvée par l’église, de vivre l’état de virginité et de chasteté perpétuelle « pour le règne des cieux » (Mt 19,12). Emettant la sainte détermination de suivre Christ de plus près, les vierges sont consacrées, par l’Evêque, à Dieu selon le rite liturgique approuvé. Elles sont unies en des noces mystiques au Christ, Fils de Dieu et se consacrent au service de l’Eglise. A travers ce rite solennel (consecratio virginum), « la vierge est constituée personne consacrée », comme « signe transcendant de l’amour de l’église vers le Christ, image eschatologique de l’Epouse céleste et de la vie future ». La Vierge consacrée témoigne d’une façon particulière la royauté du Christ qui mérite tout, et, de sa personne, elle est l’annonce de charité et signe du caractère royal de la vie chrétienne. En fait, ceux qui garden
t la virginité sont semblables à la Vierge Marie. 

« Comme d’elle est né le Fils, le Verbe de Dieu qui régit le monde, ainsi toutes celles qui gardent la virginité aident le Christ à régir en générant des paroles efficaces qui instruisent les autres dans la vertu (Card. Spidlik, (2)) et les soutient dans leur vie quotidienne. »

En bref : la liturgie d’aujourd’hui nous invite à contempler la royauté du Christ et, ensuite, nous demande de vivre royalement, c’est à dire, de nous approprier d’un style de vie haut, 

noble, solennel comme la charité. Comment ne pas penser à cette femme, petite et fragile, qui 

était la Bienheureuse Mère Teresa de Calcutta? Sa vie a été celle d’une Reine qui suivait le Christ. 

Tous ont rendu hommage à cette Reine sans sceptres, sans couronnes, mais qui a été rendue belle par les pauvres qu’elle a aimés. Et nous, nous savons qu’en chacun de ces pauvres, elle a aimé Jésus. Faisons de même.

Lecture Patristique

ORIGENE, TRAITE SUR LA PRIÈRE

« Que ton règne vienne »

Comme l’a dit notre Seigneur et Sauveur, le règne de Dieu vient sans qu’on puisse le remarquer. On ne dira pas : Le voilà, il est ici, ou bien : Il est là. Car voilà que le règne de Dieu est au-dedans de vous. Et en effet, elle est tout près de nous, cette Parole, elle est dans notre bouche et dans notre cœur. En ce cas, il est évident que celui qui prie pour que vienne le règne de Dieu a raison de prier pour que ce règne de Dieu germe, porte du fruit et s’accomplisse en lui. Chez tous les saints en lesquels Dieu règne et qui obéissent à ses ordres spirituelles, il habite comme dans une cité bien organisée. Le Père est présent en lui et le Christ règne avec le Père dans cette âme parfaite, selon sa parole : Nous viendrons chez lui, nous irons demeurer auprès de lui. 

Le règne de Dieu qui est en nous, alors que nous progressons toujours, parviendra à sa perfection lorsque la parole l’Apôtre s’accomplira : le Christ, après avoir soumis ses ennemis, remettra son pouvoir royal à Dieu le Père afin que Dieu soit tout en tous. C’est pourquoi, priant sans cesse et avec des dispositions divinisées par le Verbe, nous disons : Notre Père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton Règne vienne. 

À propos du règne de Dieu, il faut encore remarquer ceci : Comme il n’y a pas d’union entre la justice et l’impiété, entre la lumière et les ténèbres, entre le Christ et Bélial, le règne du péché est inconciliable avec le règne de Dieu. Si donc nous voulons que Dieu règne sur nous, que jamais le péché ne règne dans notre corps mortel. Mais faisons mourir nos membres qui appartiennent à la terre, et portons les fruits de l’Esprit. Ainsi, comme dans un paradis spirituel, le Seigneur se promènera en nous, régnant seul sur nous, avec son Christ. Celui-ci trônera en nous, à la droite de la puissance spirituelle, que nous désirons recevoir, jusqu’à ce que tous ses ennemis qui sont en nous deviennent l’escabeau de ses pieds, et que soit chassée loin de nous toute principauté, puissance et souveraineté.

Tout cela peut arriver en chacun de nous jusqu’à ce que soit détruit le dernier ennemi, la mort, et que le Christ dise en nous : Mort, où est ton dard venimeux ? Enfer, où est ta victoire ? Dès maintenant donc, que ce qui est périssable en nous devienne saint et impérissable ; que ce qui est mortel après la destruction, revête l’immortalité du Père. Ainsi Dieu régnera sur nous et nous serons déjà dans le bonheur de la nouvelle naissance et de la résurrection.

***

(1) Cette fête a été placée le dernier dimanche de l’année liturgique, de façon très opportune, pour mettre en évidence le fait que Jésus-Christ est le Seigneur du temps et qu’on trouve ne Lui l’achèvement du dessein entier de la création et la rédemption.

(2) Tomáš Špidlík, né le 17 décembre 1919 à Boskovice en Moravie (République tchèque) et mort le 16 avril 2010 à Rome, est un prêtre jésuite tchèque, théologien et professeur de patristique et spiritualité orientale et auteur spirituel de renom. 

En 1992, il fonde le Centre Aletti (à Rome), un centre jésuite pour l’étude de la tradition de l’Orient chrétien en relation aux problèmes du monde contemporain. Il y résidera jusqu’à la fin de sa vie. Le centre, grâce entre autres à son atelier de mosaïque religieuse, est un lieu important de contacts entre l’Orient catholique et orthodoxe. Il fut créé cardinal de l’Église catholique romaine en 2003.

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. 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En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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