Les armes chimiques n'ont rien à faire dans ce monde

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Le pape reçoit l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques

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Le pape François a reçu M. Ahmet Uzumcu, Turc, directeur général de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC), vendredi dernier, 27 septembre 2013, au Vatican.

D’après un communiqué de l’OIAC, cette rencontre a été l’occasion de souligner que « les armes chimiques n’ont pas leur place dans le monde », et que « la communauté internationale doit poursuivre ses efforts pour les éliminer et s’assurer qu’elles ne réapparaissent pas ».

La chimie « ne doit être utilisée qu’à des fins pacifiques, au service de l’humanité », ajoute la note.

Les parties ont estimé que l’étape « cruciale » de ce combat était la reconnaissance universelle de la Convention sur les armes chimiques (CIAC). 

Selon la même source, le pape a exprimé « son entier soutien » aux travaux de l’OIAC et a souligné ses impératifs humanitaires. Il a souligné que la communauté internationale devait être unie dans une « horreur des armes chimiques ».

Ahmet Uzumcu a présenté au pape les activités de l’OIAC, en particulier les tâches qui lui ont été assignées en Syrie, pour vérifier l’élimination des armes chimiques.

L’OIAC, fondée en 1997, est l’organisme chargé de faire appliquer toutes les dispositions de la Convention sur l’interdiction des armes chimiques, dont ses 188 États membres sont signataires. Elle a son siège à La Haye, aux Pays-Bas.

Le Saint-Siège a signé la Convention en 1993, dès sa rédaction. 

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Anne Kurian-Montabone

Baccalauréat canonique de théologie. Pigiste pour divers journaux de la presse chrétienne et auteur de cinq romans (éd. Quasar et Salvator). Journaliste à Zenit depuis octobre 2011.

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