Le facteur islamique politique menace la liberté de l’Afrique

Print Friendly, PDF & Email

Selon un évêque tanzanien

Share this Entry
Print Friendly, PDF & Email

ROME, Mercredi 14 octobre 2009 (ZENIT.org) – Mgr Norbert Wendelin Mtega, archevêque de Songea (Tanzanie), a affirmé, au cours de la 12e congrégation générale du Synode des évêques, que le « facteur islamique politique » menaçait la « liberté de l’Afrique ». 

« Nous aimons les musulmans », a-t-il affirmé. « Cela fait partie de notre histoire et de notre culture de vivre avec eux ». « Mais le danger qui menace la liberté de l’Afrique, la souveraineté, la démocratie et les droits de l’homme est tout d’abord le facteur islamique politique, comme par exemple le plan délibéré et le processus clair ‘d’identification de l’islam avec la politique et vice-versa’ dans chacun de nos pays africains », a-t-il affirmé.  

Mgr Mtega a aussi évoqué « le facteur monétaire islamique par lequel d’immenses sommes d’argent provenant de pays étrangers sont investies dans nos pays afin de déstabiliser la paix et d’éradiquer le christianisme ». 

« L’ethnicité est un cancer qui tourmente l’Afrique », a-t-il ajouté. « Nous devons immédiatement inculquer la réconciliation comme appartenant à notre spiritualité et à notre existence, tout comme à notre action immédiate ». 

Mgr Robert Muhiirwa, évêque de Fort Portal (Ouganda), a quant à lui affirmé l’importance de « mettre en place des programmes pour les jeunes afin qu’ils ne soient pas attirés par les musulmans et les Eglises pentecôtistes qui injectent des millions de dollars dans nos pays pour les attirer vers leurs religions ».

Share this Entry

ZENIT Staff

FAIRE UN DON

Si cet article vous a plu, vous pouvez soutenir ZENIT grâce à un don ponctuel