Le 26 juin, première fête liturgique de saint Josémaria Escriva

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CITE DU VATICAN, Mercredi 25 juin 2003 (ZENIT.org) – Neuf mois après la canonisation du fondateur de l’Opus Dei, par Jean-Paul II le 6 octobre dernier, l’Église célèbre pour la première fois la fête de saint Josémaria, que le pape a défini comme « le saint de l’ordinaire » jeudi 26 juin.

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À cette occasion, huit évêques de grandes villes de France célébreront une messe: le cardinal Jean-Marie Lustiger, à Paris le 26 juin ; Mgr Jean-Pierre Ricard, président de la conférence des évêques de France, à Bordeaux le 23 juin ; Mgr Louis Dufaux, à Grenoble le 25 juin ; Mgr Barbarin, à Lyon le 26 juin ; Mgr Bernard Panafieu, à Marseille le 26 juin ; Mgr Guy de Kerimel, évêque auxiliaire de Nice, le 25 juin ; Mgr Joseph Doré, à Strasbourg le 26 juin ; Mgr Émile Marcus, à Toulouse le 25 juin.

En effet, dans chacune de ces villes, depuis 1957 à Paris ou depuis 1986 à Nice, l’Opus Dei propose des activités de formation chrétienne.

Le 26 juin 1975, à Rome, Josémaria Escriva mourait subitement d’un arrêt cardiaque.

Cinq ans plus tard, à la demande de 1300 évêques et supérieurs d’ordres religieux, son procès de béatification s’ouvrait à Rome. Des milliers de faveurs et plusieurs miracles obtenus par son intercession étaient rapportés dans le monde entier. Les plus marquants sont consignés dans un livre, « Un monde de miracles », rédigé par Flavio Capucci, postulateur de la Cause (éditions Le Laurier, 2002).

Tenant compte de cette dévotion populaire et après l’examen de ses paroles et de ses écrits, l’Église a répondu en canonisant Josémaria Escriva le 6 octobre 2002 devant des centaines de milliers de personnes, venues des cinq continents.

Le pape a fixé la mémoire du nouveau saint chaque année au 26 juin.

L’Opus Dei compte actuellement 85.000 fidèles dans le monde dont 1.800 prêtres. En France, on dénombre 1.500 fidèles et coopérateurs, dont 25 prêtres.

Les coopérateurs sont des personnes qui, sans être membres de l’Opus Dei, c’est à dire sans être engagées dans l’œuvre – parce qu’elles n’ont pas la vocation ou simplement parce qu’elles ne sont pas catholiques- ont demandé à aider l’œuvre par leur aumône, leur prière ou leur travail, et elles participent à ses bienfaits spirituels.

Rappelons qu’après la reconnaissance des vertus héroïques du serviteur de Dieu, deux miracles sont nécessaires pour un serviteur de Dieu non-martyr soit officiellement canonisé: un avant la béatification et un pour la canonisation.

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ZENIT Staff

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