La Mère de la Paix

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Solennité de la Mère de Dieu – Année B – 1er janvier 2015

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Rite romain:

Nb 6, 22-27; Ps 66; Ga 4,4-7; Lc 2,16 à 211

Sainte Marie, Mère de Dieu

Rite ambrosien:

Nb 6, 22-27; Ps 66; Phil 2,5-11; Lc 2,18 à 21

La circoncision du Seigneur – Solennité

1) La Mère.

À Noël, nous avons célébré la naissance du Fils. Aujourd’hui, nous célébrons la Mère. On ne peut pas séparer la mère de son enfant. L’Église célèbre la solennité de Marie, Mère de Dieu, pour nous rappeler que nous avons en elle un guide fiable et maternel sur notre chemin ici-bas. En elle, dans son amour et dans son obéissance, nous trouvons le chemin du retour à Dieu. C’est vers Elle que l’Eglise se tourne parce que Marie, la Mère du Seigneur, est dans le Christ, la Mère de toute l’humanité puisqu’elle participe du prolongement de l’amour que Dieu le Père a voulu nous donner à travers son Fils.

Dans l’étonnement et la joie, nous célébrons le fait que de la tendresse de la Mère de Dieu naît la paix pour tous les hommes: Marie, par la grâce de l’Esprit Saint, a donné au monde le Prince de la Paix, Jésus, rédempteur de l’humanité. Notre paix, le Christ, est dans les bras d’une mère: Marie, l’une de nous. La Paix, Jésus, né d’une femme, est le plus beau cadeau de Noël qui nous a été mis dans les bras. Il est le visage de la Paix qui brille pour éclairer nos visages, mendiant la paix. Nous mendions cette paix de la Vierge Mère et nous la trouverons, comme les bergers qui «sont allés, en hâte, et trouvèrent Marie et Joseph, et le nouveau-né couché dans une mangeoire. Après avoir vu, ils firent connaître ce qui leur avait été dit au sujet de cet enfant. Tous ceux qui les entendirent furent étonnés de ce que leur disaient les bergers. Quant à Marie, gardait toutes ces choses en son cœur, et les méditait. Les bergers s’en retournèrent, chantant la gloire et les louanges de Dieu pour tout ce qu’ils avaient entendu et vu, en accord avec ce qui leur avait été annoncé» (Luc 2, 16-20 – l’Evangile d’aujourd’hui). Ils avaient rencontré le Prince de la Paix, qui avait fait d’eux des hommes justes.

Si nous voulons un monde d’hommes justes, d’hommes qui sentent et vivent la fraternité, nous ne devons pas oublier le chemin de la crèche. La crèche nous parle de Dieu qui se fait Enfant et de sa Mère, qui nous Le donne. Elle Le met au monde la nuit, parce que l’amour est toujours un don qui fait naître le jour.

Et devant la crèche, l’Homme découvre qu’il est aimé, attendu, désiré: il comprend qu’il vaut la peine d’être un homme si Dieu lui-même s’est fait homme, il retrouve l’espoir et la joie de se sentir un frère parmi les frères.

Dans cette crèche se trouve le Fils de Dieu. Sans Jésus la crèche n’est que peu de chose: une étable avec des bêtes qui réchauffent un couple de pauvres parents d’un pauvre bébé. Si Jésus n’était pas le Fils de Dieu, le Roi des rois, les rois mages ne seraient pas entrés dans une étable. Ceux-ci, comme les bergers, ont vu, ont cru, se sont agenouillés et se sont prosternés. Faisons-le nous aussi !

Ils ont vu de la vraie paille et du vrai fumier, ils ont senti l’odeur de l’étable, mais surtout ils ont vu la Parole de Dieu faite chair, et ils ont été étonnés par l’Amour, dont la puissance se manifeste sans force violente. Dieu s’est «servi» d’un enfant.

L’émerveillement des bergers, des rois mages, de Joseph et de Marie n’était pas dû à l’intimidation que l’on éprouve habituellement devant un prodige – quelque chose de beau, d’exceptionnel, d’extraordinaire, ou de majestueux et, en général, d’impressionnant – mais cela venait de la présence du Prince de la paix, de l’Enfant Jésus, d’où émanait quelque chose de si spécial que tout le monde s’agenouilla devant Lui qui était couché sur la paille dans une étable.

2) Mère de tous, chaque jour de l’année

Et Marie? Comment la Vierge a–t-elle vécu son premier Noël? Marie aussi a entendu les mots, expliquant l’événement qu’elle avait vu et vécu. Les mots et les actes que Marie a gardés2 dans son cœur, en elle-même, dans une écoute consciente, réfléchie et intelligente: le cœur signifie tout cela. L’écoute intérieure de Marie se prolonge, elle n’est pas éphémère.

L’expression de l’Évangile « Elle garde tout dans son cœur », nous dit que Marie ne conservait pas ces faits de façon passive, inerte, mais active et vivante, en reliant et confrontant une chose avec l’autre, en essayant de comprendre la logique profonde, la direction et la vérité des choses qui peuvent sembler sans rapport ou même contradictoires. Et c’est précisément ce que Marie a fait, d’une part, en écoutant les mots qui ont proclamé la gloire de l’Enfant (mots qu’elle avait elle-même entendus de l’ange à l’Annonciation) et d’autre part, en voyant « un bébé enveloppé de langes et déposé dans une crèche ». C’est la discordance habituelle entre grandeur et petitesse, gloire et pauvreté, qui constitue l’épine dorsale de l’événement chrétien. L’écoute de Marie devient ainsi une interprétation vraie et juste qui fait la lumière sur le mystère de Jésus.

Marie n’est pas seulement la mère de Jésus, elle en est aussi l’interprète la plus intime. Elle nous explique Noël, car Noël, ce n’est pas facile à comprendre. Donc, laissons-nous guider par Marie, qui gardait toutes ces choses, les méditant dans son cœur. Son cœur et son esprit cherchaient le fil d’or susceptible de réunir les contraires: une étable et « une multitude d’anges », une crèche et un « royaume qui n’aura pas de fin ». Comme elle, comme les bergers et les rois mages, nous aussi, conservons au moins l’étonnement: à Noël la Parole est un enfant qui ne peut pas parler, l’Éternel est seulement le matin d’une vie, le Tout-Puissant est un enfant qui ne sait que pleurer. Dieu recommence toujours ainsi, avec de petites choses et dans un profond silence.

Dieu a décidé de se révéler en naissant enfant. C’est là la profondeur du mystère de Noël racontée par la crèche de Bethléem, celle de nos églises et celle de nos maisons. Pendant trente ans, le Christ a vécu cette vie humble et simple pour nous sauver. La vie que Sa mère a embrassée. Cette vie cachée est vécue aujourd’hui, chaque jour, par les Vierges consacrées dans le monde. En plaçant leur espérance dans la Bienheureuse Vierge Marie, les Vierges consacrées dans le monde se tournent vers Marie comme «le prototype de la vie consacrée parce qu’elle est la mère qui accueille, écoute, intercède et contemple son Seigneur dans la louange du cœur» (Message du Synode sur la Vie Consacrée). Marie est modèle, guide et Mère dans tous les éléments fondamentaux de la vie consacrée: dans la suite des Evangiles, sous la forme du mariage avec le Christ (Jn 2,4-5. 11-12), « sans partage» (1 Co 7,. 32s); dans la pauvreté évangélique selon la vie à Bethléem et Nazareth (Luc 1-2; Mt 1-2); dans l’obéissance au dessein salvifique de Dieu (Lc 1,38); dans la virginité féconde spirituellement, sous l’action de l’Esprit Saint, pour être « la Femme » en union avec le Christ (Luc 1, 35; Jn 2, 4); dans la disponibilité au service et à la mission de l’Église pour une maternité nouvelle (Jn 19, 25, 27; Ap 12, 1 s); dans la vie de l’Eglise comme un lien de communion fraternelle et d’aide pour la vie spirituelle, apostolique, intellectuelle et humaine (Ac 1, 14).

C’est aussi ce que dit l’Évêque dans la messe de consécration des vierges dans le monde, lors du renvoi (rituel de consécration des vierges, n° 36) : « Que l’Esprit saint, qui fut donné à la Vierge Marie et qui a aujourd’hui consacré vos cœurs, vous anime de sa force pour le service de Dieu et de l’Église ».

Lecture Patristique

LETTRE DE SAINT ATHANASE À ÉPICTÈTE, ÉVÊQUE DE CORINTHE

En Marie, Dieu s’est vraimen
t fait homme.

Le Verbe a pris en charge la descendance d’Abraham, c’est pourquoi il devait se faire en tous points semblable à ses frères et prendre un corps pareil au nôtre. Aussi Marie est-elle vraiment nécessaire pour qu’il prenne ce corps en elle et l’offre en notre faveur comme étant le sien. L’Écriture rappelle son enfantement et dit : Elle emmaillota son fils ; le sein qui l’allaita a été déclaré bienheureux, et l’on a considéré qu’il est né d’elle comme pour l’offrande d’un sacrifice. Gabriel le lui avait annoncé en termes soigneusement choisis. Il n’a pas dit, de façon banale : « Celui qui va naître en toi » pour ne pas faire croire que ce serait un corps extérieur introduit du dehors ; il a dit : Celui qui va naître de toi, pour inviter à croire que celui qui allait naître sortirait d’elle.

Tout cela s’est fait ainsi pour que le Verbe, en assumant notre nature et en l’offrant en sacrifice, la fasse totalement sienne. Il a voulu nous revêtir ensuite de sa propre nature, ce qui permet à saint Paul de dire : Il faut que cet être corruptible revête l’incorruptibilité, que cet être mortel revête l’immortalité. Cela ne s’est pas fait de façon fictive comme certains hérétiques l’ont encore imaginé : jamais de la vie ! Le Sauveur est devenu vraiment homme, et le salut de l’homme tout entier est venu de là. Notre salut n’est pas une apparence, il n’est pas pour le corps seul, mais pour l’homme tout entier, âme et corps, et ce salut est venu du Verbe lui-même.

Ce qui est venu de Marie était donc humain par nature, selon les Écritures, et le corps du Seigneur était un vrai corps ; oui, un vrai corps, puisqu’il était identique au nôtre, car Marie est notre sœur, puisque nous descendons tous d’Adam.

Bien entendu, le Verbe ne s’est pas transformé en chair ; il seulement pris notre nature ; le mot de saint Jean : le Verbe s’est fait chair ne signifie pas autre chose, ainsi qu’on peut le voir à des expressions analogues, par exemple chez saint Paul : le Christ s’est fait malédiction pour nous. L’union du Verbe à la nature n’ajoute rien à la Trinité, tandis que le corps humain a reçu un grand avantage de sa communion et de son unité avec le Verbe : de mortel il est devenu immortel, de purement humain il est devenu spirituel et lui qui vient de la terre, il franchit les portes du ciel. Certes, même après que le Verbe a pris un corps en Marie, la Trinité demeure la Trinité, sans addition ni diminution. Elle est toujours parfaite : dans la Trinité on reconnaît l’unique divinité, et c’est ainsi que dans l’Église on proclame un seul Dieu, le Père du Verbe.

Les temps sont accomplis :
Aujourd’hui naît d’une femme,
celui qui nous rend fils de Dieu.
Son visage brille sur nous
et son Esprit pénètre nos cœurs.

1 En cette solennité, nous nous arrêtons ensemble sur le mystère de Marie, la Mère de Dieu. L’Evangile qui nous est proposé est celui de la messe de l’aurore du jour de Noël, c’est-à-dire celui de la visite des bergers à l’Enfant Jésus. Ce passage, cependant, offre deux petites variations : il n’est pas fait mention des anges qui disparaissent après avoir annoncé la nouvelle aux bergers, et à la fin, vient s’ajouter le verset 21 qui parle de la circoncision de l’Enfant et du nom qui lui est donné. En effet, chez les Juifs, les enfants étaient soumis à cette pratique qui montrait leur appartenance au peuple d’Israël et ils recevaient alors le nom par lequel ils seraient connus toute leur vie. Avant la réforme liturgique du Concile Vatican II, on célébrait ce jour-là la fête de la circoncision de Jésus et de Son Saint Nom, comme le rite ambrosien continue de le faire encore aujourd’hui. Après le Concile Vatican II, dans le rite romain, on a décidé de déplacer la fête de Marie Mère de Dieu, un dogme qui fut proclamé lors du Concile d’Ephèse en 431.

2Le verbe garder , seul verbe à l’indicatif qui, pour cette raison, régit toute la phrase, ne signifie pas uniquement se rappeler, mais il souligne le soin et l’attention, comme lorsque l’on tient entre ses mains quelque chose de précieux.

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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