France: Pour la protection juridique de l'enfant non-né

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CITE DU VATICAN, Mercredi 25 septembre 2002 (ZENIT.org) – Selon le Dr Lafont, un projet de loi permettant de sanctionner au pénal une atteinte à l’embryon dans un cadre distinct de celui qui est fixé aujourd’hui par la loi Veil, permettrait de donner à l’enfant non-né une protection juridique.

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Le Docteur Henri Lafont, Président de l’Association des médecins pour le respect de la vie (AMRV), revient dans un communiqué sur le récent arrêt de la Cour de cassation stipulant que « le foetus ne devient une personne humaine qu’après la naissance ».

Un tel arrêt remet en cause, explique le médecin français, ce qui jusqu’ici allait de soi : l’être humain devait être respecté, et ce dès le commencement de sa vie.

Il cite le professeur de droit Daniel Vigneau. Celui-ci considère « qu’il est tout à fait possible, en droit, de distinguer l’interruption de grossesse, intervention médicalisée et toujours volontaire, des atteintes aux foetus réalisées hors de ce cadre ».

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ZENIT Staff

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