France: la philosophie sous-jacente à un amendement sur l'avortement

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Réaction du président de la Fondation Jérôme Lejeune

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Le Sénat français a voté hier soir, jeudi 17 avril, en deuxième lecture, un amendement banalisant davantage le recours à l’Interruption volontaire de grossesse (IVG) en France.

Jean-Marie Le Méné a expliqué les enjeux pour les lecteurs de Zenit dans un entretien publié hier.

Le président de la fondation Jérôme Lejeune a réagi dès jeudi soir à l’adoption de cet amendement, en synthèse, il titre: « Avortement de l’enfant : le Sénat s’en lave les mains ».

« Ce soir, le Sénat vient d’adopter en deuxième lecture la suppression de l’état de détresse comme condition pour avorter un enfant. La Fondation Jérôme Lejeune déplore un débat confisqué, écrasé par le tabou sur un sujet fondamental, un enjeu touchant à la vie et à la mort, noyé dans un texte relatif au droit du travail », déplore Jean-Marie Le Méné.

Le président de la Fondation Jérôme Lejeune épingle le relativisme et les positiosn philodsoiphiques sous-jacentes: « la gauche française a fait ce soir la moisson idéologique de ce qui a été semé en termes de relativisme, de libéralisme, d’utilitarisme, depuis plus de quarante ans sur le plan philosophique. »

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Anita Bourdin

Journaliste française accréditée près le Saint-Siège depuis 1995. Rédactrice en chef de fr.zenit.org. Elle a lancé le service français Zenit en janvier 1999. Master en journalisme (Bruxelles). Maîtrise en lettres classiques (Paris). Habilitation au doctorat en théologie biblique (Rome). Correspondante à Rome de Radio Espérance.

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