Droit et bioéthique : L'enfant, « un être humain dès sa conception »

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Rencontres internationales du droit de la bioéthique et de la médecine

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CITE DU VATICAN, Lundi 22 septembre 2003 (ZENIT.org).- L’enfant est « un être humain dès sa conception » déclarent des participants des premières « Rencontres internationales du droit de la bioéthique et de la médecine » qui se sont tenues en France, à Marseille, du 16 au 18 septembre.

La Fondation Jérôme Lejeune évoque l’événement dans sa revue de presse quotidienne en français (http://www.genethique.org) mais une édition anglaise hebdomadaire est également disponible sur le site.

Le but de cette initiative était notamment de réfléchir aux évolutions « concevables et souhaitables » du droit, comme le soulignait Gérard Teboul, professeur à l’université Paris XII.

Parmi les intervenants, notons les présences de M. Jerry Sainte Rose, avocat général à la Cour de Cassation, M. Peter Liese, membre du Parlement européen (Allemagne), M. Carlos de Sola, Secrétaire général du Comité directeur de bioéthique du Conseil de l’Europe (Espagne) et de M. Didier Sicard, Président du Comité consultatif national d’Ethique.

Le titre « Procréation et droits de l’enfant » a amené les orateurs à débattre sur la question « qu’est-ce qu’un enfant et quel est son point de départ ? ». La plupart des orateurs se sont accordés pour dire que l’enfant était un être humain dès sa conception.

La question du diagnostic génétique fut également abordée au cours de ces assises. Le professeur Amos Shapira, professeur de droit et d’éthique biomédicale à l’université de Tel Aviv a rappelé le coût élevé des diagnostics pré-implantatoires et des fécondations in vitro pour un taux de grossesse faible.

Enfin, des débats ont eu lieu autour de la question des bébés « médicaments ».

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ZENIT Staff

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