Giampaolo Mattei écrit: « La « présence » spirituelle des sœurs cloîtrées au Gemelli est « visible » comme celle des enfants de l’école « Jeanne d’Arc » de Paris; des étudiants de l’université catholique franciscaine de l’Ohio; des pèlerins polonais venus de Chicago (avec un ostensoir qui sera exposé dans les paroisses de leur ville) et de Varsovie; des ambassadeurs près le Saint-Siège des pays à majorité orthodoxe qui ont apporté une icône de la Vierge ».
Parmi les contemplatives, l’auteur cite le monastère des carmélites de Cracovie, de la rue Lobzowska, mais aussi les clarisses, les dominicaines, les visitandines, et les bénédictines (à Staniatki), autant de « grands centres de prière, de pénitence et de catéchèse, qui ont gravé dans leur cœur cette recommandation de Jean-Paul II: « Que cette grille vous unisse au monde et ne vous en sépare pas. Couvrez le globe terrestre du manteau de la prière ».
Il cite aussi les carmélites de Haïfa, en Terre Sainte, le monastère « « Mater Ecclesiae » du Vatican, voulu expressément par le pape, les bénédictines de Santa Maria di Rosano, en Italie, à Pontassieve, les clarisses de Santa Chiara de la rue Vitellia de Rome, le carmel de Lisieux, celui de la vallée d’Auco au Chili, et les clarisses capucines de Cotonou, au Bénin, comme autant de « cénacles de prière ».