Mgr Francesco Follo @ UNESCO 2019

Mgr Francesco Follo @ UNESCO 2019

UNESCO: "Travailler tous ensemble pour le bien commun", par Mgr Follo (texte complet)

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« Dans le respect de la dignité de chacun »

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« Les chrétiens avec leur frères en humanité, croyants ou pas, inspirés par leur foi désirent et ont le devoir de contribuer à la « polis » avec le sens de la liberté et la capacité à dialoguer entre les différentes composantes sociales, afin de travailler tous ensemble pour le bien commun dans le respect de la dignité de chacun », déclare Mgr Follo.
L’Observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO à Paris, Mgr Francesco Follo est en effet intervenu lors du « Débat politique » de la 40e Session de la Conférence générale de l’UNESCO le 16 novembre 2019.
Voici l’original en français de l’intervention de Mgr Follo.
AB
Intervention de Mgr Francesco Follo
Monsieur le Président,
C’est pour moi un grand honneur de prendre la parole devant cette Assemblée prestigieuse et de vous présenter les félicitations les plus vives de Sa Sainteté le Pape François pour votre élection à la présidence de la 40ème Session de la Conférence Générale de 1’UNESCO.
Le Saint-Père invoque sur chacun de nous les bénédictions de Dieu Tout-Puissant, pour bâtir la justice et la paix dans les esprits des hommes et des femmes par l’éducation, les sciences et la culture (cf. Prologue de l’Acte Constitutif de l’UNESCO). Sa Sainteté est convaincue que seule la paix donne la possibilité d’un avenir plus prospère pour tous. Pour atteindre ce but «il faut écouter les Organisations Internationales» (Pape François, 10 septembre 2019) où se trouve 1’UNESCO. Notre Organisation a la spécificité d’être une Agence intellectuelle spécialisée pour favoriser la gouvernance, la coordination et la coopération. Elle agit non pas seulement à travers des programmes et des conventions, mais elle est aussi une « intelligence collective en action » (Mme Audrey Azoulay, Directrice Générale de 1’UNESCO, le 13 novembre 2017). A cet égard 1’UNESCO est un laboratoire d’idées, un récepteur des tendances intellectuelles globales et un facilitateur des bonnes pratiques dans le monde entier.
Je voudrais également exprimer les remerciements et l’appréciation du Saint-Siège pour les travaux du Secrétariat de 1’UNESCO. Le Saint-Siège apporte son appui aux documents 40 C/3, C/5, C/6 et C/31 qui ont retenu son attention. Ils manifestent les réalisations et les défis majeurs que le travail de chacun des cinq secteurs de 1’UNESCO a eu à étudier. Ils mettent, entre autre, l’accent sur le développement durable (40 C/23), comme le soulignent, par exemple, certains thèmes des Conférences sur l’Education, afin de tenter d’apporter une réponse aux défis qui touchent notre monde, et surtout au respect de la planète, tout en œuvrant en faveur d’une écologie humaine, donc intégrale.
Dans cette contribution du Saint-Siège à la quarantième Conférence Générale, je voudrais reprendre la citation suivante : « Pour affronter les problèmes de fond qui ne peuvent pas être résolus par les actions de Pays isolés, un consensus mondial devient indispensable ». Cette phrase figure dans l’encyclique du Pape François sur l’écologie, Laudato si’. Elle est vraie et incontestable, elle justifie et guide tout l’effort de dialogue et de coopération auquel nous nous livrons ici. Nous avons pour but de traiter des problèmes de fond : ceux sur lesquels reposent les autres problèmes. Nous savons qu’ils existent à l’échelle mondiale et que nous ne pouvons pas nous contenter de solutions simplement régionales. S’ils sont les problèmes de tous, et concernent la vie de tous, alors la recherche d’un consensus n’est pas utopique. Il s’agit de ce que nous sommes tous, lorsque nous sommes confrontés aux difficultés les plus graves et lorsque nous réfléchissons aux réponses à apporter. Il faut donc parler et faire en sorte que nos paroles portent du fruit.
Elles le feront si nous voulons la vérité et je suppose que nous la voulons tous, et si nous cultivons un authentique amour pour l’homme, qui nous est certainement commun. Je pense qu’on pourrait mettre en comparaison deux tendances. Le principe des principes, pour d’autres générations, avait pour nom « espérance » ; son manifeste fut un grand livre du philosophe allemand Ernst Bloch qui fit quelque peu croire qu’une bonne politique conduirait à la réalisation de la cité idéale. Le livre de Bloch, tout fait d’enthousiasme, parût en 1959. Il ne fallut pas longtemps, toutefois, pour qu’un autre philosophe, allemand mais émigré aux Etats Unis, Hans Jonas, se réclame d’un autre principe, celui de « responsabilité ». Le livre parût en 1979. Il n’avait pas pour but d’éliminer l’espérance. Il donnait à ses contemporains, toutefois, et nous donne encore, la tâche de veiller sur le monde que nous léguerons a ceux qui nous succéderont. Nous en savons beaucoup sur ce qu’est l’aujourd’hui. Nous ne savons évidemment pas ce que sera demain. De ce que demain sera, cependant, nous sommes en partie les acteurs et les causes. Nous devons donc agir, aujourd’hui, comme responsables de ce qui sera demain. C’est une responsabilité morale : il s’agit de faire ce qui est bien pour que l’homme demeure homme, pour que sa terre lui demeure habitable, bref pour que nous ne soyons pas les derniers hommes. Répondre de ce que demain sera, dans l’espérance qu’il y ait un après-demain meilleur. Nous pouvons nous entendre sur ces mots simples et la vérité qu’ils expriment.
Demain arrivera vite. Il frappe déjà à notre porte, et c’est avec urgence que nous devons résoudre nos problèmes de fond. L’existence de l’homme implique celle de son lieu de vie, la terre. Il y a beaucoup à dire, et il ne suffit pas de nommer le réchauffement climatique et ses effets dommageables pour fournir une analyse adéquate. Le Pape François, dont l’autorité spirituelle et morale est reconnue par tous, a proposé une analyse détaillée des défis écologiques, et propose des mesures à prendre auxquelles on peut se rallier. Redisons-le simplement, les questions ne sont pas régionales, car si nous parlons d’écologie – de l’oikos, de la maison commune à tous les hommes — nous parlons de nous tous qui avons besoin de cette maison et qui devons prendre soin de cette maison pour nous-mêmes et à l’attention des générations à venir. Les hommes ont besoin de pain, « fruit de la terre et du travail des hommes ». Ils ont besoin d’eau, d’un toit, on dira donc que des « besoins élémentaires » doivent être satisfaits partout. S’ils ne le sont pas, l’accès à l’éducation sera en péril, la vie des familles sera fragile, la lutte pour la simple survie se substituera aux décisions politiques raisonnées – bref, l’écologie est par définition intégrale, car elle est portée par le souci d’un bien-être pour tous, et des conditions élémentaires selon lesquelles tous pourrons accéder à plus, à la culture, à un vrai repos, aux joies du dialogue, et à d’autres biens encore.
L’écologie, comme discours et comme travail, est l’œuvre de l’homme : les animaux respectent leur écosystème, ils lui nuisent rarement, mais c’est par instinct qu’ils en prennent soin. Cet instinct nous manque souvent et du coup, nous quittons le domaine du « faire » pour celui du « devoir ». Que devons-nous à la maison commune à tous les hommes ? Que devonsnous à l’homme né dans cette maison et à ceux qui y naitront demain ? Un mot nous vient alors, « anthropologie ». Nous faisons généralement de l’anthropologie sans le savoir, parce qu’il serait très difficile d’être des hommes sans se prononcer sur ce que nous sommes. Mais mieux vaut, au moins pour nous qui traitons des « problèmes de fond », savoir que nous ne parviendrons à un accord que si nous mettons au clair les soubassements anthropologiques de toute écologie. Il ne faut pas avoir peur des mots d’allure savante. La désinence qui unit écologie et anthropologie, « logie », signifie qu’il y a besoin ici et là de la parole et de la raison.
La pensée est à l’œuvre en l’homme, et nous pouvons tout au plus regretter que nous ne pensions pas assez. Mais il y a d’autres œuvres dont, parfois, nous sommes tentés de regretter qu’elles existent. L’œuvre de nos mains est bienvenue s’il s’agit de l’outil et de la machine, que nous concevons nous-mêmes pour qu’ils facilitent notre travail. Elle est bienvenue, d’autre part, si elle se substitue à nous pour accomplir une tâche que nous accomplirions nous-mêmes plus lentement : depuis Blaise Pascal, nous nous en remettons volontiers à des machines capables de calculer… Elle est bienvenue, précisons-le, parce que nous exerçons un droit de contrôle perpétuel sur les machines : nous les concevons, elles font ce que nous décidons qu’elles fassent, et il n’y a pas à craindre qu’elles empiètent sur nos prérogatives, à commencer par notre pouvoir de décision, et de décision plus ou moins Libre. Il faut admirer les ordinateurs, par exemple ceux qui font des prouesses aux échecs, en admirant au premier chef ceux qui les ont conçus — notre admiration va donc en priorité au génie d’Alan Turing et de tous ceux qui ont rendu possible, d’étape en étape, ce que nous connaissons sous le nom d’ « intelligence artificielle ». Je peux admirer une œuvre d’art en ignorant tout de l’artiste, je peux utiliser une machine sans rien savoir des ingénieurs qui l’on programmée, et sans rien savoir des logiciens et mathématiciens sur lesquels repose le travail des ingénieurs. Mais l’éventualité d’une ignorance doit aussi ménager un devoir de reconnaissance : derrière la machine, il faut savoir toujours que des hommes ont travaillé pour rendre notre travail plus facile. A ce titre, le Saint-Siège soutient le débat sur le document 40 C/67 concernant une « Etude préliminaire concernant un éventuel instrument normatif sur l’éthique de l’intelligence artificielle ».
Les personnes qui utilisent intelligemment les machines savent qu’ils n’ont pas à les craindre. Elles ne sont rien de moins que des auxiliaires souvent indispensables, mais elles ne sont rien de plus que des auxiliaires. Il y a toutefois des usages sans intelligence. Le langage produit souvent des mythes en accordant souvent une identité personnelle à ce qui n’est qu’une chose, et nous finissons parfois par faire « comme si » les utilisateurs de machines étaient eux-mêmes des machines. Donner un nom à une machine, échanger des informations verbales avec elle, pourquoi pas ? Mais attention, nous faisons alors ce que l’enfant fait avec son ours en peluche, jouer ; et il faut savoir quelles sont les limites du jeu. Si l’enfant persistait après l’enfance à croire que Teddy Bear est un être vivant, doué de volonté, d’affectivité, quelqu’un qu’on puisse rencontrer face à face comme on rencontre un autre homme, il faudrait s’inquiéter. Si l’enfant, d’autre part, joue avec un petit ordinateur en croyant qu’il a affaire à une personne, il faut le détromper au plus vite et lui apprendre qu’il n’a pas affaire à du vivant mais a du mécanique. Et si, enfin, des adultes adoptent une même conduite et font comme si la machine vivait et pensait, alors il faut leur faire comprendre que leur comportement est infantile. Prêter des traits humains a ce qui n’est pas humain a un nom classique, « anthropomorphisme ». Il fut initialement utilisé pour parler des idoles, des dieux fabriqués par l’homme et à l’image de l’homme. Les réactions irrationnelles de ceux qui idolâtrent les machines sont un nouvel anthropomorphisme. Parce qu’elles sont plus puissantes que nous, certains voient en elles des surhommes. Après l’homme viendrait le robot. Et lorsque l’imaginaire collectif en arrive là, il est grand temps de démythologiser. Les machines ne sont rien de plus que des machines. Elles sont l’œuvre de nos mains. Et puisque culture et éducation sont notre priorité, les enfants devraient, dans tout établissement scolaire, acquérir une conception non mythologique de nos plus beaux outils techniques. Nous-mêmes, adultes, devrions d’ailleurs posséder, si ce n’est déjà le cas, les rudiments de logique et de mathématique grâce auxquels l’utilisation des calculateurs les plus intelligents cesse d’être une pratique quasi-magique.
Nous ne sommes pas des machines — et dans bien des cas cela nuit à notre efficacité… Mais la machine, efficace et inanimée, est dépourvue de liberté. Il y a de l’intelligence seulement matérielle, puisque nous confions des tâches heuristiques à des ordinateurs. Notre propre intelligence est liée à notre corps. Notre intelligence, toutefois, dépasse tout ce qui est matériel et charnel. Et lorsque nous voulons donner un nom précis à ce, c’est à un mot très vieux et très actuel qu’il faut recourir, « âme ». L’âme en nous n’est pas qu’intelligence. Elle est au principe de la raison, mais aussi de la volonté et des affections. Elle est principe d’unification. Et elle est, peut-être est-ce aujourd’hui le trait à souligner en priorité, le siège de l’éminente dignité de tout homme. Qu’il soit intelligent ou qu’il ne le soit pas, tout homme exige de nous un respect inconditionné. Il ne le doit pas à des compétences et à des performances. Il le doit à ce qu’il se contente souvent d’être, un être humain. Lorsque je ne pense pas, lorsque je ne travaille pas, lorsque je ne « fais » rien, pour cause de sommeil ou autre, je reste homme et mérite d’être reconnu comme tel. Reconnu comme homme, je ne le suis pas en raison de « valeurs » que les autres, une culture, un Etat, et autres, me confèrent. Je le suis en raison de ce que je « suis », et de rien d’autre. Et pour nommer ce que je suis, corps, intelligence, etc., ne suffisent pas. Ce que je suis, je le suis corps et âme ; l’âme donne vie à tout ce qui autrement serait inerte ou simplement mécanique.
« Je suis », dit la philosophie moderne, et « je » suffis, lorsque j’affirme que je suis, à rendre compte de ce qu’est un homme. Or, l’homme est toujours engagé dans des relations et loge en des lieux. Dans les deux cas, il n’est jamais abstrait ni jamais seul. « Je pense », ou « je vis », peu importe comment on traduit le « cogito » de Descartes, mais je ne le fais qu’en ayant une famille, un village ou une ville, une nation, en héritant de liens ou en nouant moi-même des liens. Tel est 1’homme concret, qu’on a le droit de ramener à tel ou tel trait essentiel, la rationalité ou la parole par exemple, mais qui incarne toujours son essence dans les conditions de l’existence. La famille est une famille, le village est un village, j’appartiens à des communautés petites ou grandes, et à chaque fois, nous rencontrons des manières d’être propres à tous ceux qui partagent ce qu’il faut bien appeler notre « nature ». Et parce que ces manières d’être sont toujours des manières d’être les uns avec les autres, les uns pour les autres ou les uns à proximité des autres, le pluriel s’impose lorsque 1’on parle de 1’homme : il s’agit toujours concrètement des hommes, il s’agit concrètement de « nous ». Aristote disait que nous sommes des animaux « politiques », qui vivent dans des cités, le stoïcien Chrysippe disait ultérieurement que nous sommes des animaux « communautaires », peu importent les termes. L’essentiel est qu’il n’est pas d’écologie humaine, bien comprise, qui n’intègre l’attention aux multiples demeures dans lesquelles nous résidons. Nous pouvons emprunter au poète T.S. Eliot des mots simples et vrais : « There is no life that is not in community », « il n’y a pas de vie qui ne soit en communauté ».
Parmi ces demeures enfin, on ménagera toujours une place d’honneur à celle qui constitue un, haut-lieu, l’église, le temple, etc., qui signifie notre volonté de nous mettre sous la protection d’une transcendance. Que ce soit sur 1’acropole des cités grecques ou sur la place du village européen, et ailleurs, cette place d’honneur à une réalité visible, et il faut s’en réjouir. L’architecture est toujours une réponse à des besoins, et elle est toujours un index des réalités. Nous avons besoin d’un toit, ne serait-ce qu’un appartement. Besoin, utilité, il faut manier prudemment ces mots lorsque nous parlons de ce qui est plus haut que tout, et dont Dieu est le nom. Sa maison et ce que nous y faisons n’entrent dans aucune logique utilitaire. Une foi commune est un ferment de vie commune — incontestablement. Cette vie commune ne peut se passer d’un lieu commun, visible et ouvert à tous. Cela dit, nous ne tenons pas un langage utilitariste. La maison bâtie pour Dieu ne « sert » à rien parce qu’elle fait plus que « servir à ». C’est le lieu dans lequel des hommes jouissent ensemble de ce qu’ils sont en louant leur créateur. Je termine en reprenant et complétant la citation de Eliot : « There is no life that is not in community And no community not lived in the praise of God », « Et nulle communauté qui ne soit vécue dans la louange de Dieu ».
La référence à Dieu a donc une dimension politique, dans le sens que si 1’on veut bâtir une « polis » humaine il est nécessaire qu’elle soit aussi la « cité de Dieu » ou, pour reprendre 1’enseignement du Pape François à ce sujet : «La nouvelle Jérusalem, la Cité sainte (Ap 21, 2-4) est le but vers lequel l’humanité tout entière est en marche. Il est intéressant que la révélation nous dise que la plénitude de l’humanité et de l’histoire se réalise dans une ville. Nous avons besoin de reconnaître la ville à partir d’un regard contemplatif, c’est-à-dire un regard de foi qui découvre ce Dieu qui habite dans ses maisons, dans ses rues, sur ses places. La présence de Dieu accompagne la recherche sincère que des personnes et des groupes accomplissent pour trouver appui et sens à leur vie. Dieu vit parmi les citadins qui promeuvent la solidarité, la fraternité, le désir du bien, de vérité, de justice. Cette présence ne doit pas être fabriquée, mais découverte, dévoilée » (Evangelii gaudium ,71).
Dans le sillon de ces propos du Pape François, je propose comme conclusion nous encourager les uns les autres à bâtir la « cité de 1’homme » à l’image de la « Cité de Dieu ». Les chrétiens avec leur frères en humanité, croyants ou pas, inspirés par leur foi désirent et ont le devoir de contribuer à la « polis » avec le sens de la liberté et la capacité à dialoguer entre les différentes composantes sociales, afin de travailler tous ensemble pour le bien commun dans le respect de la dignité de chacun.
Merci de votre attention.
Copyright – Mgr Francesco Follo

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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